La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
Perséphone est heureuse de voir qu’il n’est pas parti, elle sait très bien qu’entre eux c’est surement comme une évidence. Elle sait très bien qu’il est son patron, mais elle n’a pas osé aller vers lui dire qu’elle le trouve charmant. Elle est rarement allée dans son bureau, en temps normal elle allait pour signer un contrat mais c’est tout. Elle se dit que maintenant elle ira souvent le voir dans son bureau pour lui faire un petit bisou et le serrer dans les bras. Elle n’aura pas honte de lui bien au contraire, elle sera heureuse de montrer qu’elle est une femme heureuse. Elle lui a ouvert son cœur, elle sait très bien qu’elle ne peut pas se passer de lui.
La jeune femme a défait sa chemise, elle l’a jeté au sol pour admirer son torse tellement parfait. Elle sait très bien lire dans ses yeux qu’elle est belle. Elle n’a jamais eu ce genre de regard avec les autres hommes qu’elle a connu. Elle se met à rougir quand Hadès lui dit qu’elle est belle, personne ne lui a dit ce genre de choses :
« Merci pour ton compliment, tu es tellement attentionnée avec moi. Je me sens tellement bien avec toi. Je veux bien que tu me masses, je suis heureuse qu’un aussi bel homme puisse me chouchouter comme tu vas le faire. »
Elle frémit quand elle sent les mains de cet homme sur ses hanches. Elle embrasse doucement son torse et défait son débardeur. La jeune femme est maintenant à moitié nue devant lui et l’embrasse à nouveau. Elle caresse le corps de l’homme qu’elle vient de masser et lui sourit doucement, en passant une main dans ses cheveux.
« Quand j’aurais besoin d’un câlin je viendrais te voir dans ton bureau si tu es tout seul. Je te ferais aussi un bon massage comme tu as eu toute à l’heure. Je suis sûre qu’on a des tonnes de choses à vivre toi et moi. Notre histoire ne fait que commencer non ? J’ai hâte de sentir tes mains sur moi. »
La jeune femme s’allonge sur le ventre et commence a fermé les yeux pour profiter de ce petit moment de détente et de proximité avec cet homme merveilleux.
Je caresse ses hanches. Je la regarde dans les yeux et je baise son cou. Elle retire son haut, mes yeux dévirent sur sa poitrine. Elle est si ferme, ses mamelons sont roses et parfaits. Je viens caresser le contour de son sein. Je cesse ma caresse. Dans mon pantalon sa frémissait de nouveau. Je la laisse aller se mettre sur le ventre.
J’ai hâte de te voir dans mon bureau.
Une fois qu’elle est étendue sur le ventre, je me place les genoux de chaque côté de son corps, me retrouvant au dessus d’elle. Je pose mes mains sur ses épaules et je commence mon massage, frottant mes pouces vers ses omoplates, je presse avec mes paumes en dessous de ses épaules. Je descends mon massage le long de sa colone jusqu’à la naissance de ses fesses.
Ta peau est si douce, tu es aussi tendue que moi ma belle.
Mes mains plongent dans son short et je caresse ses fesses de toutes leurs rondeurs. Si elle refuse que je la touche là, elle va me le dire. Alors je continue mes caresses, massant son joli fessier en faisant des ronds. J’avais tellement envie de la prendre, de la posséder. Je retire mes mains et je descends son short.
Tu aimes que je te touche les fesses? Tu veux que je continue?
Perséphone frémit quand Hadès la touche, elle se sent tellement désirer par cet homme. Elle est en pleine possession de ses moyens. Elle sent sa bouche dans le creux de sa nuque, elle laisse échapper des petits bruits de satisfaction. Elle se laisse faire, elle sent que son regard dérive sur sa poitrine, la jeune femme se laisse faire. Elle se met en position pour se faire masser, aucun homme ne lui a fait cela avant. Elle sait et elle voit bien qu’il est complètement différent des autres.
« Je viens peut-être que je viendrais pour autre chose si tu vois ce que je veux dire mon cher. »
Elle se laisse complètement aller, elle sait qu’ils vont être tous les deux consentants. Elle le sent dominer la situation, elle se sent excitée pace qui est en train de se passer. Elle ferme ses yeux et laisse échapper des petits bruits de satisfaction. Elle trouve qu’Hadès un excellent masseur, elle est encore tendue de ce qui a pu se passer pendant ces deux dernières semaines. Elle affiche un petit sourire en coin et elle lui dit :
« Je sais très bien que je suis tendue, mais tu es un très bon masseur en tout cas. Continue ne t’arrêtes surtout pas. Je suis aux anges, tu ne sais même pas à quel point. Je te remercie pour ce délicieux massage et moment avec toi Hadès. »
J’ai tellement envie de la prendre, qu’elle m’appartienne. Elle semble ne pas refuser mes avances, c’est une bonne chose. Peut-être qu’elle aurait pu trouver cela trop tôt, mais non, elle se retourne même face à moi, alors que je me touche discrètement. Sur le cou, j’ai cru à un refus de sa part, mais son petit sourire en coin me montre le contraire et ses paroles aussi.
J’ai envie de bien plus qu’un massage oui…
Je trouve qu'il fait chaud dans la pièce, ce n'est sans doute que moi qui le pense, alors que je sais que c'est à cause de cette tension sexuelle qui rôde entre nous. Mon front se pose contre le siens, je suis haletant de désir.
Elle a tellement envie d’être prise par cet homme, la tension est tellement présente entre elle et lui. Elle sait très bien qu’elle ne peut plus se passer de lui maintenant. Perséphone a envie d’appartenir à Hadès, elle sait qu’elle peut lui faire confiance comme elle a été franche avec lui. La jeune femme ressent la même chose que lui. Elle continue de sourire en coin, elle se mordille la lèvre inférieure comme si entre eux une véritable connexion s’est établie.
« Si tu me montrerais ce que tu veux dire par bien plus qu’un massage. »
Elle désire se donner à lui, elle est consciente de tout ce qui est en train de se passer. Elle caresse son corps avec envie. Elle sent qu’elle a envie qu’il puisse aussi la toucher comme elle est en train de faire avec lui.
Elle prolonge en autorisant l’accès à sa langue et lui caresse sa joue. Elle est tellement heureuse et elle a tellement envie de lui. Elle se met sur lui et sourit largement en posant les mains d’Hadès sur son corps et le regardant. Elle le regarde avec intensité et lui répond :
« Je suis prête Hadès. Plus que tu ne peux l’imaginer. »
Perséphone est tellement excitée par cette situation, elle l’avait bien trouvé très charmant depuis pas mal de temps. Elle se sent tellement attirée encore plus depuis un moment, elle n’avait pas osé de franchir le cap. Elle s’est sentie en confiance, elle se dit qu’elle a bien fait, ils sont maintenant nus dans son lit. Elle répond à chacun de ses baisers, elle se sent tellement plus avenante. Elle écarte de plus en plus ses cuisses pour l’accueillir entre ses cuisses.
Elle sent qu’il est le bon, elle se sent prête à tout avec lui. Elle l’embrasse doucement en lui souriant :
Je suis tellement bien en ce moment. C’est la première fois que je désir une femme autant de cette façon et je peux dire que j’en ai eu des femmes dans mon lit, mais Perséphone sera maintenant la seule et la dernière que je mettrais dans mon lit à l’avenir.
Je serais son protecteur. Je ne laisserais personne s’approcher d’elle. Je sens que ma jalousie va faire surface quand je ne la serai pas à mes côtés, à des milliers de kilomètres de moi.
Elle regarde cet homme qu’elle aime, elle en est sûre et certaine. Elle ne peut pas se passer de lui une chose est certaine. Elle caresse sa joue et continue de l’embrasser avec envie tendresse, elle est heureuse de passer ce moment charnel avec lui.
J'étais à l'apogée se cette union entre Persephone et moi. Je l'embrasse avec passion et désir. Je respire de plus en plus fort.
Je caresse sa joue et je lui souris. Je la regarde avec admiration.
Tu es si belle, j'ai le souffle court J'ai jamais pris autant mon pied tu sais.
Je suis tellement bien. Je suis son dieu des enfers, elle est ma déesse prisonnière. Personne du sexe masculin ne peut l'approcher quand je suis dans les parages. Je me sens possessif envers elle.
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Perséphone est heureuse de voir qu’il n’est pas parti, elle sait très bien qu’entre eux c’est surement comme une évidence. Elle sait très bien qu’il est son patron, mais elle n’a pas osé aller vers lui dire qu’elle le trouve charmant. Elle est rarement allée dans son bureau, en temps normal elle allait pour signer un contrat mais c’est tout. Elle se dit que maintenant elle ira souvent le voir dans son bureau pour lui faire un petit bisou et le serrer dans les bras. Elle n’aura pas honte de lui bien au contraire, elle sera heureuse de montrer qu’elle est une femme heureuse. Elle lui a ouvert son cœur, elle sait très bien qu’elle ne peut pas se passer de lui.