TOPIC DE GROUPE • La rentrée des associations

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Uniforme de Lawrence:

La foule commençait à s’amasser dans une masse compacte, curieuse et avide de sensation forte. Debout devant le périmètre cachant la scène de crime, je vois même certains de ces connards sortir leur téléphone pour faire des selfies. Mais c’était quoi ces gens? Mon visage CACHÉ par mes grosses lunettes de vision infrarouge et le reste ne mon uniforme me couvrant en entièreté sauf mon menton, je savais que je pouvais aider mes collègues ici SANS CRAINDRE qu’on me reconnaisse…sauf que c’était sans compter la grande subtilité de certains de mes collègues, justement. Un long soupire franchi mes lèvres lorsque Mayer vint me rejoindre non seulement en utilisant mon surnom et mentionnant mon travail sous couverture. Mais elle était complètement folle ou elle me détestait vraiment au point de vouloir me faire buter? Bordel, ce n’était pas pour rien que je me faisais chier depuis huit ans à cacher ma véritable identité, que je ne développais pas de relation durable et que je me terrais dans une putain de boutique de fleur ! Me rapprochant d’elle, je lui ai saisi le bras et sans même remonter mes lunettes pour la regarder dans les yeux et j’ai murmuré en sifflant : « Tu cherches à me faire buter ou quoi? Bordel, t’a besoin qu’on te rappel le sens du mot infiltré? En passant, même si je ne porte pas mon uniforme à tous les jours, je reste un des vôtres alors arrête de te penser supérieur et aide-moi à empêcher ces idiots de prendre des photos du cadavre pour leur profile Community, t’es lieutenant, ça devrait être ta priorité plutôt que de tenter de faire de l’humour ». Oui, c’était agressif comme remarque, mais elle risquait ma vie avec ses vannes à deux balles! J’enquêtais pas sur des voleurs de glaces, mais bien sur des assassins, des membres de gangs et des meurtriers! Heureusement, Madelyn arriva à temps pour m’empêcher de pousser encore plus loin mes remarques acerbes. Évidemment qu’elle n’était pas en fonction, ses vêtements civiles le montraient bien qu’elle n’était pas la version flic d’elle-même. « Je propose que tu ailles interrogé les employés des lieux pour voir si des caméras couvre le périmètre afin de voir si on as des images du tueur. Lieutenant Mayer, je suppose que vous voudrez prendre les… » Commençais-je à dire avant de m’interrompre en voyant Hope. Merde…elle reconnaîtrait peut-être ma voix, celle-là. Me raclant la gorge alors qu’elle partait vers la pleureuse, je reprends ma phrase comme si de rien était : « …le contrôle des opérations pendant que je fouille les témoins ici présent? »

Très mécontent, rappel @Ellie G. Mayer son rôle d'agent infiltré et le fait que ça doit rester secret avant de demander à @Madelyn Sylvester d'aller voir les caméra de sécurité. Reconnait @Hope Montgomery et ça le déconcentre légèrement avant de proposer à @Ellie G. Mayer de diriger l'opération pendant qu'il fouille les témoins aka tout le monde. #fdo

Hey non mais il est malade celui-là? D'où il m'attrape par le bras? J'avoue que ma blague n'était peut-être pas du meilleur ton, mais je trouvais que son attitude était complètement disproportionnée par rapport aux paroles que je venais d'avoir. « Hé ben, moi qui étais contente de te voir. Visiblement ce n'est pas partagé. » J'ai regardé lentement sa main fermée autour de mon bras, sans me démonter. « D'une, je ne pense pas avoir crié, absolument personne d'autre que toi n'a pu m'entendre. Deux, personne ne peut te reconnaître accoutré de la sorte. Trois, tu serres mon bras un peu trop fort. » Non mais sérieusement, il se prenait pour qui? Il fallait qu'il prenne des cours de yoga, du thé oolong ou quelque chose pour se détendre. J'ai haussé un sourcil en le regardant fixement. Il me semble que Lawrence n'était pas mon supérieur hiérarchique et cette remontrance n'avait pas lieu d'être, on avait un peu mieux à faire, lui comme moi.

Heureusement une autre tête connue fit son apparition ce qui eut pour effet de concentrer les efforts de Lawrence sur autre chose que sur moi. « Made! Salut! » Fis-je avec un mince sourire pour changer de sujet. Et 'vla l'autre qui m'appelle par mon grade maintenant «Lieutenant Mayer»... pfff. Je t'en foutrais des lieutenants Mayer. Je crois qu'on est pas aussi proches que je le pensais, ou bien je l'avais vraiment contrarié avec cette histoire de couverture.

Une jolie jeune femme s'approcha de nous pour nous proposer de l'aide comme elle était infirmière. Je lui offrais un sourire gratifiant. « C'est gentil à vous Madame. A priori pas de blessés à déplorer autre que ce monsieur pour qui, malheureusement, il n'y a plus rien à faire... » Elle s'éloignait de nous pour aller réconforter la personne qui avait découvert le corps un peu plus loin. Je la regardais s'éloigner tout en répondant à Swamson « Oui oui, je vais reprendre le contrôle des opérations ici, merci. » Fis-je sèchement à destination du policier. La police scientifique n'allait certainement plus tarder maintenant pour prendre des photos et relever des indices. En attendant, il fallait juste éviter que les infos ne fuitent avant les communiqués de presse et pour cela, éviter que l'attroupement de curieux devant la scène de crime ne soit trop près des toilettes et surtout du cadavre. « Excusez-moi je vais vous redemander de reculer. Vous êtes encore trop près. Il n'y a rien à voir, circulez, vous comprenez quand je vous parle? » C'était comme si il fallait répéter le même message à chacun des individus présents face à moi. Ils ne pouvaient pas comprendre quand je m'adressais à leur voisin. Ils n'étaient pas du genre à obéir, malheureusement pour nous « Hey il est connu ce mec non? » Soupir. « Reculez Monsieur. » La soirée va être longue.

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Ellie se prend le bec avec @Lawrence O. Swamson car il a peur qu'elle ait grillé sa couverture, ce que selon elle, elle n'a pas fait. Elle répond à @Hope Montgomery qu'elle ne peut pas les aider et salue @Madelyn Sylvester qui vient de les rejoindre. Ellie essaie de faire reculer les badauds mais ils sont assez curieux et difficiles à garder à distance.

Rien ne lui semble familier, petit gamin perdu dans la masse il se retrouve à être encore une fois invisible aux yeux de tous. Il déteste les soirées, il déteste se montrer comme ça en public si seul. Il aimerait être chez lui à faire ce qu’il sait faire de mieux, chercher la perfection ( alors qu’elle est juste à sa porte ). Les pensées vagabondes et il ne fait même pas semblant de s’intéresser à la cause de toute manière il a bien assez de bénévoles pour le faire à sa place. Il aime l’association mais pas au point de faire semblant d’être totalement investit. C’est un crie perçant qui vient rompre le brouhaha ambulant, les têtes se tourne et une agitation commence à remuer un peu la salle. Il regarde à droite à gauche cherchant une raison à cette panique générale. Il aura suffi d’une seconde pour que tout bascule et pour que la panique commence à l’envahir. Il n’est pas habitué aux situations stressante Tomo, c’est quelque chose qui serait capable de lui faire perdre les pédales «  Qu’est-ce qu’il se passe ? » Il demande à une première personne qui a l’air de l’ignorer. Il commence à bouger cherchant une âme qui pourrait lui répondre, qui pourrait le sauver. La police arrive le périmètre est bouclé et il ne peut aller nulle part. Sa valise va devoir l’attendre un petit moment. « Mais qu’est-ce qu’il ce passe ?!! » Il entend le mot morte, sang, et son cœur ne fait qu’un tour il part à la recherche de quelque’un, du moins il sait parfaitement qui il cherche priant intérieurement pour que rien ne lui soit arriveé. Même dans les pires situations il pense à elle.


Tomo est seul et commence à paniquer lorsqu'il comprend que la situation est grave. Il cherche quelqu'un qui pourrait l'aider tout en cherchant également quelqu'un qu'il connait dans la foule.

Je suis tiraillée entre l'idée d'offrir un grand sourire à Ellie lorsqu'elle me salue, ou montrer mon air vraiment concerné parce qui se passe. Les gens paniquent de plus en plus et je reste concentrée sur ce que Lawrence me dit lorsque je demande si je peux aider. J'hoche la tête : bonne idée, surtout parce que je n'ai pas mon arme sur moi donc il ne faut pas forcément que je sois en première ligne. Je n'ai même pas mon uniforme de flic donc je ne peux pas faire grand chose. "Pas de soucis, je m'en charge !", que je lui lance avant de faire demi-tour et de me faufiler entre les gens qui paniquent autour de moi. Je vois alors un jeune homme (Tomoaki) qui a l'air totalement perdu et qui ne sait pas où donner de la tête. Je fronce le nez, me dis que ma mission peu attendre et je décide d'aller le voir, glissant ma main sur son épaule. "Hey, je suis Madelyn, je bosse pour la NYPD." Je me dis que ça va le rassurer que je lui parle un peu. "Soufflez un coup, ça va, pas de panique, d'accord ?" Je prends une grande inspiration pour lui montrer comment faire. Mon background en psychologie aide pas mal.Je lui offre un sourire rassurant et je lui explique, la main toujours sur son épaule. "Il y a eu un accident dans les toilettes des hommes. Restez un peu à l'écart, la police arrive et risque de venir vous interroger, d'accord ?" Mais le principal, c'est de ne pas interférer avec la police et d'être coopératif. Et surtout, de ne pas panqiuer.

Salue @Ellie G. Mayer et écoute les ordres de @Lawrence O. Swamson, décidant d'exécuter ses ordres. Elle croise ensuite @Tomoaki Mikitani et décide de s'arrêter pour lui parler et le rassurer.

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Uniforme de Lawrence:

Serrer son bras un peu trop fort? Quoi? Mais de quoi parlait-elle? Je pensais avoir devant moi une lieutenant de police, pas une statuette de porcelaine. Bien évidemment, l’étreinte de mes doigts autour de ses bras n’étaient pas une caresse, mais je n’étais pas non plus en train de le lui casser. Ah Mayer, elle en faisait tout un plat simplement parce que j’étais arrivé avant elle sur les lieux. Ce n’était tout de même pas de ma faute si elle était lente comme un escargot alors que moi j’étais vif comme un kangourou ! Haussant mes épaules lorsqu'elle mentionna son ton de voix qui n’était suffisamment pas élevé pour qu'on entende la mention de mon surnom ou de mon attachement forcé aux fleurs, j'ai roulé les yeux vers le ciel en soupirant. « J'oubliais que tu étais fragile comme une feuille sécher, Mayer. Ça doit être terrible d’être dans ce job tout en étant aussi frêle. En attendant que tu trouve la force de marcher sur ton orgueil pour t'excuser, je vais tenter de nous préserver d’un second décès » Dis-je malicieusement, moqueur et narquois en tout temps, même lors de ce genre de crise. Que serait la vie sans un peu de légèreté ?

Madelyn vint ensuite nous rejoindre pour offrir son aide et approuva mon choix d'aller visionner le contenu des caméras de surveillance pendant qu’Ellie s'occuperait de diriger les actions futures. Moi, je fouillerai les gens présents à la recherche de l’arme du crime ou même d’un indice. Sauf qu'Hope vint nous interrompre pour offrir son aide. Par chance, elle repartit en direction de la hurleuse sans que je n’ai à lui parler. Je commençais à fouiller les premiers visiteurs lorsque d'autres membres des forces de l'ordre nous rejoignit et qu'un des leurs déclara que tout le monde devait partir après avoir laissé un nom et un numéro de téléphone pour les contacter.« Non, mais il déconne celui-là où quoi? » Tonnais-je en direction de mes deux collègues féminin. « Si on fait ce que ce crétin dit, le meurtrier va nous échapper ! C’est complètement stupide et maladroit comme décision! » Tonnais-je avec mécontentement à voix haute sans me soucier de manquer de respect. Ce crétin était de mèche avec le tueur ou quoi? « Monsieur, mesdames…je vous demanderais de videz vos poches s'il vous plaît. Ensuite vous pourrez quitter si tout est correct » Dis-je en me rapprochant d'un trio. Ma voix n’acceptait aucun refus. Nous étions sur une scène de crime, ce n’était pas le temps de vouloir jouer les têtes fortes contre les forces de l’ordre.


Se moque gentiment de @Ellie G. Mayer et de sa propension à tout exagéré avant de se figer devant les ordres stupides des nouveaux venu @L'infiltré qui semble vouloir favoriser la fuite du tueur par leurs décisions douteuses. Interpelle gentiment @Axel Simons, @Arabella Vanderosen et @Noah Mancini afin qu'ils vident leurs poches. Ils seront les premiers d'une longue série, si on ne l'en empêche pas.

Les yeux qui quittent pas la scène sans trop savoir pourquoi, le sang sur le sol et les idées qui partent dans tout les sens. T'es clairement pas à l'aise face à ce qu'il se passe actuellement, tu repenses aux dernières semaines et tu ne sais pas quoi penser. T'as pu voir qu'on ne connait pas vraiment les gens, qu'une partie d'eux est souvent cachés, est-ce que c'est ces gens qui ont pu faire ça ? Surtout dans un endroit pareil, comment c'est possible ? Tu sens de plus en plus ton ventre qui se tort dans tous les sens, tu vas finir par gerber si tu ne bouges pas, si tu restes comme ça à regarder et on te sort de tes pensées. Tu entends la voix d'une femme et tu relèves la tête pour la regarder. Oui, oui.. pardon.. Complètement à l'ouest, le visage qui a sûrement dû changer de couleur, mais tu te recules. Tu pourrais retourner au stand de la SF, c'est ce que tu devrais faire pourtant tu ne restes pas loin. Tu bloques Carter, tu bloques et ça craint.

ootd. des cris se font coupant dans son élan de parole la jeune femme en face d'elle. leurs regards se tournent et se posent sur celle qui venait de pousser ses cris ayant briser le calme et le sérieux qui c'étaient installés autour des stands. et en quelques secondes les choses c'étaient suivies. Eleanor se retrouvait désormais seule avec elle même. Madelyn l'ayant laissé pour rejoindre l'espace du musée qui attirait d'un coup toute l'attention et tous les regards : les toilettes. rester ici ? la gamine n'y songeait même pas. et c'est alors au bout de quelques secondes qu'elle laissa son corps la guider vers la foule qui se créait. laissant ses pas se faire dans les allées entre les stands, se frayant un chemin parmi les personnes agglutinées dans ce petit périmètre. tous présent dans le seul but d'être capable de voir ce qu'il se passait. si elle espérait pouvoir voir quelque chose à son tour. comprendre l'agitation autre que par les brides de mots qu'elle entendait, mais tout ce qu'elle pu voir entre les personnes étaient très flou et elle fut bien vite arrêté dans sa marche par un officier qui tend le bras devant elle. secouant négativement de la tête et lui demandant son nom et prénom. respectant les ordres qui lui avaient été donné.