(1.) Ancien catholique, Gabriel a grandi dans une famille où Dieu a la place centrale. Venant d’une famille très nombreuse, Gabriel est l’avant dernier de cette petite troupe. Une place qu’il a bien dû mal à accepter
(2.) D’un caractère libre, l’anglais avait la place de la bête noire, celui qui n’écoutait jamais et qui remettait tout en question. Le martinet et le bâton étaient ses principales punitions, autant dire que ses mollets et ses hauts de cuisses sont encore marqué
(3.) il a fini par quitter sa famille à 16 ans, allant vivre dans un squat pour pouvoir survivre. Il a beaucoup travaillé pour gagner de l’argent en tant que prof de tennis et également vendeur dans un magasin bio en même temps que ses cours de lycéen. Il recevait également de l'argent venant de son sauveur qui avait plus le rôle de son aîné jusqu'à aujourd'hui encore
(4.) il a fini par recevoir une bourse en plus de l'argent que lui filait son sauveur et les boulots qu'ils faisaient pour commencer ses études à Yale en criminologie puis a continué ses études avec un master en science afin de pouvoir déboucher dans la police criminelle où il avait déjà fait un stage. autant dire que sa vie rimait avec études, boulot et bénévolat.
(5.) A l'heure actuelle, Gabriel n'a plus aucun contact avec ses parents bien qu'ils continuent à cotoyer la plupart de ses frères et soeurs. il a encore bien dû mal à s'en remettre faisant beaucoup de crise nocturne et le touché est loin d'être sa tasse de thé.
(6.) Regard malicieux, sourire au coin, mèche rebelle, tu es ce qu’on peut démarquer de
garçon banal car honnêtement tu l’es si on fait outre ton passé sectaire. Tu as pourtant toujours eu cette envie de
liberté, laissant ainsi ta soif de connaissance et ton côté
aventurier ressortir au monde.
(7.) souriant, dents blanches délicates toujours à vue d’œil, tu gardes un côté
blessé, un côté
mystérieux qu’il est presque impossible de déchiffré. Tu as dû grandir tellement vite de ton côté, toi garçon maintenant devenu homme
mature, tu as su faire de ta vie un royaume que tu
chéris.
(8.) Après tout, tu t’es montré
bosseur et déterminé dans la poursuite de ton avenir, hors de question de demander de l’aide, tu es bien trop
fier. Il faut dire qu’à tes yeux ton
intelligence te suffirais et ce fut totalement le cas.
(9.) Pourtant au fond de toi, tu gardes un certain désir de
reconnaissant, tu as cette envie de te sentir
aimé bien que la peur d’être blessé soit flagrante.
(10.) Il est vrai que tu es quelqu’un de plutôt
méfiant, toi qui t’attaches pourtant facilement mais quand il s’agit de passer le pas, c’est toujours un pas en plus.
serviable et volontaire, c’est bien la seule chose que tu appréciais dans le côté catholique de ta famille. Tu étais toujours celui qui était prêt à aider autrui durant des représentations et du volontariat, tu continues encore aujourd’hui toi qui a été dans la même galère.