RP FLASH - (isaac) love's night

Son plan fonctionne : son petit-ami fait un bond sur le côté. Hilare, il lâche une exclamation de surprise quand Isaac saute sur lui, alors qu’il lâche des petits « aïe aïe aïe » en le sentant mordre sa joue. Il revient dans ses bras, frottant sa joue une nouvelle fois. Je suis pas vilain d’abord, je teste juste ta résistance face à la peur, tu peux me remercier pour ça ! Il aborde une moue faussement boudeuse, en réalité il s’éclate beaucoup trop.

Tu aimes ces moments légers où tu peux te permettre d'être vraiment toi en sa présence. Car Leith t'aime et tu le sais mieux que quiconque, ayant pu faire en sorte que tout le monde soient au courant qu'il est déjà à quelqu'un, à toi. Levant les yeux au ciel, tu viens déposer un baiser sur son front avant de descendre ta main le long de son dos pour le caresser. Tu ne diras plus ça quand tu me feras ça et que je te plaquerai au mur avec un bras en-dessous de ta trachée car je t'aurais pris pour un tueur...

Le bisou sur le front, sa main qui parcourt son dos, il a l’impression d’être dans un jeu à embêter Isaac. Il devrait le faire plus souvent : il va chercher des méthodes pour l’enquiquiner, sans dépasser les limites bien sûr. Face à ses paroles, il déglutit et se mordille la lèvre, ne sachant pas s’il doit être intimidé ou charmé. Ouh… je le dirai pas, mais crois-moi que je serai impressionné. Par contre fais pas ça avec un couteau parce que si tu m’égorges je meurs un peu quoi…

Le regard ancré sur la télévision, observant les scènes gores qui s'y diffusent, tu vient finalement poser ta main sur sa hanche avant de le regarder. Tu devrais savoir que ce n'est pas mon genre d'utiliser ce genre d'armes... Je suis plus fouet et bandeau pour te faire taire et te torturer en même temps. Ta voix se fait plus grave alors que ta main libre attrape son menton et que tu l'embrasses avec amour. Mais pas ce soir... Ce soir, je veux juste t'avoir contre moi et passer une bonne soirée.

Ses joues se mettent à rougir violemment face à ses propos, mais heureusement la tension retombe à ce qu’il dit par la suite. Le baiser rendu, un sourire (vraiment) innocent se dessine sur son visage, alors qu’il pose sa tête sur son épaule, retournant confortablement dans ses bras. De toute façon on a des jours entiers devant nous pour profiter d’étreintes moins innocentes, alors… autant rester sages ce soir, hé hé. Soudain, il sursaute face à une scène du film, se sentant un peu idiot. Karma is a bitch.

Tu t’amuses toujours autant à faire rougir ton cadet, couvrant son visage de baisers dès que tu arrives à faire apparaître sa timidité. Le conservant contre toi, tu hoches la tête à l’entente de ses paroles. On à toute une vie devant nous... Car c’est avec lui que tu veux finir ta vie. C’est avec lui que tu veux fonder un semblant de famille. Soudainement, tu le sens sursauter et rigole, l’attirant un peu plus dans tes bras. Bah alors Park, tu as peur ?

Il aborde une moue boudeuse quand il le taquine, profitant tout de même du câlin. Il vient pincer sa joue, un peu pour se venger de cet affront (et aussi parce qu’il a envie de l’embêter). Pas du tout, Rosewood ! J’ai pas fait un bond énorme comme toi. Il tire la langue, tel un gamin.

Tu ne peux retenir tes rires, retrouvant cette légèreté qui te fait tant de bien quand vous êtes ensemble avant de venir attraper sa main et de l'embrasser là où se trouve votre tatouage. Ça ne change rien au fait que tu as eu peur, mon ange... Et tu trouves ça mignon?

Sa main attrapée, son regard s’attarde sur le tatouage qu’Isaac couvre d’un baiser. Celui qu’ils se sont faits il y a un moment, qui représente le jour où ils ont déclaré leur flamme, le quinze octobre. Il esquisse un sourire tendre, avant de doucement rire à sa remarque. Gare à toi, monsieur, je vais me mettre en tête de vouloir te faire sursauter dans l’heure qui suit. Insolent, ça c’est sûr.

Tu couvres sa main de baisers, remontant vers son poignet avant de rire doucement sous sa remarque. Et je me ferai un plais de te plaquer contre le sol pour te faire passer cette envie. Et ton regard se pose de nouveau sur le film, le regardant.