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mon bloc note
the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
(c) Disjointed Societies 2021
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(#) Jeu 11 Mar - 16:51
la courbe de ses lèvres danse dangereusement avec l’amusement; le coeur s’échauffe, le corps s’embrase lorsqu’il se retrouve sous la jeune femme, c’est un soupir délicat qui s’envole - les pupilles se dilatent un peu plus lorsqu’elle semble vouloir prendre le contrôle, à marteler son désaccord sur la façon dont il se voit. une lueur de défi qui brûle dans le regard quand elle hausse le ton; c’est alors qu’elle n’est plus la gamine de son enfance. les mains s’agrippent naturellement sur les hanches, à l’approcher plus de lui quand elle sert sa prise autour de ses jambes. « c’est ce qu’elles disaient toutes » et il grogne, il continue, fait bouillonner la tension. menton coincé entre ses doigts; à ne pas retenir le soupir d’excitation de se voir dominer ainsi. son front contre le sien. « alors ne t’arrêtes pas » qu’il râle. les poumons qui se gonflent de son parfum. les yeux qui se relèvent vers elle. « c’est ce que tu veux n’est-ce pas » les mains qui remontent le long des hanches, se glissent sous le pull. « c’est ce que t’as toujours voulu » tel un serpent, il charme, il susurre, frôle son visage du sien avant de reprendre le contrôle, encercler la taille pour prendre le dessus, se retrouve entre ses cuisses. « si t’es pas comme elles, prouve moi le contraire » et c’est comme une rage, celle de vouloir exister, mais aussi de prouver le contraire. le coup de bassin qui se fait brusque. « hein, reena … montre moi que t’es pas comme elles » 
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(#) Jeu 11 Mar - 17:09


et quand pour lui toute est un jeu, pour elle tout semble devenir trop réel. enfant perdue dans ses propres gestes, postures anodines lorsqu'ils étaient bien plus jeunes, prend une toute autre dimension aujourd'hui. il provoque, côme, il attise, et elle se sent faiblir. « il s'agit pas que de moi. » qu'elle râle, à le maudire pour savoir se rendre si aisément désirable. et tu le sais qu'elle te veut côme, tu sais qu'elle te résiste, sa peau qui se soulève sous tes doigts qui s'imposent sur sa peau, hanches qui se découvrent à mesure qu'il relève son haut. « tu regretteras. » et qui est-ce que tu essaies de convaincre reena, lui ou toi ? les rôles reviennent s'inverser, le dos trouve le matelas, le bassin qui se presse trop fort contre le sien, à lui voler un gémissement, abandon de l'enfant. « ça sera irréparable.. » les avertissements ne sont plus que murmures contre sa bouche, quand le coeur l'emporte sur la raison. « j'te déteste côme. » et pourtant le corps dit le contraire, quand elle cède, remplit le vide, tire ses lèvres jusqu'aux siennes. c'est brusque, c'est violent, c'est demandeur quand elle embrasse reena, qu'elle mord la lèvre inférieure, supplie contre sa bouche : « repousse moi... » avant l'irréparable.
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(#) Ven 12 Mar - 10:00

poupée qui n’est pas si docile; si le corps répond à chacun de ses caresses embrasées, de ses souffles percutant, l’esprit se confond en une barrière impénétrable - à tenir sur le chemin de la réalité. « toi, ou moi ? » qu’il geint, le regard plongé dans le sien. la lueur de défi qui embrase tout l’être de la voir presque se perdre. et lorsque le changement se fait, lorsqu’il reprend les reines, oh qu’il est excitant de la voir réagir au coup de reins, à se demander si elle est si fébrile lorsque les corps s’unissent. le rictus se marque en coin. le rire qui s’échappe. « menteuse » et ça se murmure contre son visage; parce que tout, mais pas ça. et ça s’implose; multitude de couleurs lorsqu’elle vient quérir ses lèvres d’un geste rageur, le grognement qui s’étire le long de la colonne alors que ses mains s’agrippent au tissu. et y a comme un déclic, une voix tonitruante à l’intérieur de sa tête qui s’explose contre les parois de son crâne, aussi désagréable que le son mélodieux de la cinquième symphonie contre le tableau. et il s’écarte, se redresse. le souffle court, fort, à la regarder de haut. elle est finalement comme les autres. la mâchoire qui se serre. « t’étais prête à le faire. » le visage qui se détourne, une brûlure au niveau du coeur. il ne sait plus quoi penser; lèvres pincées pour réprimer les sanglots, il se dégage, sort du lit. la main qui tire sur les pointes. « t’es comme toutes les autres reena, à vouloir mon corps pour ensuite quoi ? le clamer sur internet ? tu dis que tu n’aimes pas les autres mais … » il s’arrête, refuse de dire des méchancetés. « je devrais y aller. »
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(#) Ven 12 Mar - 10:16
elle le veut. à s'en arracher la peau, à lui offrir son coeur sur un plateau, elle le veut. et quand les bouches s'entrechoquent, quand l'abandon sonne aux portes, ça fait autant de bien que de mal. parce que dans ce baiser y a un goût de première et de dernière fois. séparation brutale. le corps qui s'écarte, la mine déconfite, et le coeur qu'il prend et qu'il brise sans même le savoir. t'es comme toutes les autres, et elle le sait ça côme, mais pas dans le sens que tu entends toi. elle sera jamais de celles qui gagnent ton coeur autrement que par amitié, et c'est pour ça qu'elle dira rien. encaisse la douleur. les larmes qui brûlent les opales. « va-t-en. » à couper ses mots, ne plus vouloir les entendre. elle attrape un oreiller pour lui jeter dessus. et pour la première fois, c'est de la rage qu'elle tourne dans ta direction côme : « J'AI DIT VA-T-EN ! CASSE TOI ! JE VEUX PLUS TE VOIR CÔME, DÉGAGE DE CHEZ MOI » si c'est comme ça que tu la vois, autant ne plus se voir. et tu vois, vous aurez fini par faire ce qu'elle redoutait de base : vous briser, elle et toi.
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(#) Ven 12 Mar - 18:05

la haine déborde du bout de ses lèvres, tel un poison brûlant. la mâchoire se contracte, les poings se serrent et côme, il se retient d’hurler à son tour. parce qu’elle n’avait pas le droit de le désirer, parce qu’elle n’avait pas le droit d’être comme toutes ses filles; elle était spéciale reena, elle était différente - mais tout change. tout a changé. et l’abandon sonne encore plus férocement quand l’oreiller est reçu, quand, sans un regard - au risque de lui faire mal, il ne garde que le silence lorsqu’il fait claquer la porte de la chambre derrière lui. les pas sont lourds, le coeur cogne si fort et les mains s’accrochent rageusement aux cheveux quand il quitte l’appartement. première et sûrement la dernière fois qu’il le visitera. « putain » qu’il grogne, le goût encore sucré de ses lèvres contre les siennes. elle n’avait pas le droit, de le désirer physiquement, elle n’avait pas le droit de l’embrasser, ni de vouloir craquer, elle n’avait pas le droit de le chasser lorsque c’était elle qui était en tord. c’est l’esprit sombre d’idées qu’il file; s’envole. à fuir jusqu’au petit matin, liquide carmin distillé d’un ambré bien trop fort pour les sens. à vouloir oublier l’affront, le mensonge et la perte qu’elle a causé.
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