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mon bloc note
the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
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(#) Jeu 25 Fév - 21:32
regard dans le vide, sourcils froncés - marquent les interrogations et les doutes naissant; le jeune homme tape du pied de façon nerveuse alors qu’il est installé sur le bord de son sofa. lion prêt à bondir, alors qu’il joint ses mains devant son visage. ça cogne contre la cage, ça gronde dans l’être tout entier et finalement, il ne tient plus. il se lève, attrape clefs et veste et il file, côme. à vouloir panser les plaies des questions. et s’il pensait que son retour ne marquerait pas son absence, tout à changé, elle a changé et forcé de constater qu’ils ne sont plus ce qu’ils étaient - ce qu’il n’arrive pas à comprendre, ni accepter. côme, il n’a jamais accepter son départ, son éloignement soudain; à se demander ce qu’il s’est réellement passé pour qu’elle quitte sa vie. elle était tout ce qu’il y a avait de constant & de sain et elle est partie, laissant un creux béant dans sa poitrine qu’il a essayé de combler tant bien que mal, en vain. alors, c’est déterminé qu’il se dirige vers l’appartement de reena — le palpitant qui s’affole, fait vibrer les liens. peu rassuré, la peur bourgeonne dans l’âme quand il se souvient de ces fleurs qu’elle a reçu. lèvres pincées, il y a ce refus catégorique de la voir sourire pour un autre sans savoir pourquoi. sûrement, parce qu’aucun homme n’est assez bien pour elle. [ sûrement ] mains blanchies sous la force, accrochées au volant de sa voiture, c’est avec un dernier soupir qu’il relâche la pression avant de gravir les hauteurs. et il ne prend pas (plus) la peine de sonner, de s’annoncer - entre comme s’il était chez lui. « reeeena, my love » qu’il chantonne. les orbes qui vrillent, les sens en alertes. absolument pas prêt à tomber sur une silhouette inconnue à ses côtés, alors, il se protège, tant bien que mal. claque la porte derrière lui, le regard qui s’assombrit lorsqu’il se pose sur les fleurs offertes. une moue dédaigneuse se dessine et il lève les yeux au ciel. « ouais bof » qu’il marmonne, incapable d’accepter la réalité. « reeeenaaaaaaa » il est impatient, croise les bras contre le torse.

@Reena Yoo
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(#) Jeu 25 Fév - 21:57
passer le temps, tromper l'ennui, passe-temps commun, depuis le retour sur la terre promise. reena, elle fuit. se noie dans le travail - tout prétexte est bon pour ne surtout pas revenir vers lui - dans les rendez-vous, dans les sorties entre copines. rare journée de repos accordée dans le petit appartement, respirer entre les murs cosy, c'est avec surprise qu'en se levant et en allant chercher son courrier, elle avait trouvé cet immense bouquet sur le pas de sa porte, cadeau inconnu mais charmant. un prétendant dont elle a oublié le prénom ? qu'à cela ne tienne, elle prend, place le bouquet avec soin dans son salon, petite photo postée sur les réseaux avant de vaquer à ses occupations. ordonner son programme de la semaine, préparer ses rendez-vous, ranger sa chambre, filer sous la douche... entendre côme crier son prénom n'était pas sur le menu. face au miroir, dans la salle de bain, à essorer les longueurs décolorées, elle soupire. ignore une première fois. à trop le fuir, voilà qu'il vient jusqu'à toi reena. et il hurle encore, le reynolds, impatient de service, la porte que la gamine ouvre à la volée « QUOI CÔME » et se pointer dans le salon, en jean/soutien gorge, soupire avec force. « on peut plus prendre sa douche tranquillement dans ce pays. » pudeur abandonnée, elle traverse le salon, récupère sur l'étendoir un pull qui a eu le temps de sécher. « t'as un tournage sur brooklyn ? » qu'elle ronchonne, tissu sur la tête, tout en se dirigeant vers la cuisine pour allumer la cafetière. surtout, éviter les contacts visuels.
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(#) Sam 27 Fév - 0:03
et elle gronde, l’impatience; le souffle qui se fait rauque lorsqu’il l’expulse de son être. bras croisés contre le torse, à retenir le coeur battant, se contenir de faire quelque chose qu’il pourrait regretter. le visage qui se détourne lorsqu’il semble entendre quelques bruits dans l’appartement. elle est là, c’est un évidence. alors, le prénom résonne à nouveau et c’est une reena presque furieuse qui déboule dans le salon, la porte d’une salle qui claque après elle. le ton est désastreux, à froncer les sourcils lorsqu’il l’observe prendre le chemin dans la cuisine. la mâchoire se serre et instinctivement, ce sont des marques qu’il cherche sur son corps à moitié dénudé. à se racler la gorge, se forcer à détourner le regard lorsqu’elle râle. « ouais ouais » forcé de constater qu’il n’a pas grand chose à dire en guise de réponse; monsieur est venu sans prévenir. mais, il faut dire, qu’elle ne lui laisse pas la chance d’être présent comme il le voudrait. « non » ça sonne comme un claquement, à s’approcher de la cuisine. « je ne peux plus voir ma meilleure amie sans raisons ? » qu’il demande; à faire entendre et remarquer le vide qu’elle semble vouloir construire entre eux. « de nous deux, je me demande qui est le plus occupé ces derniers-temps » qu’il grogne, peu satisfait du manque d’attention qu’elle éprouve à son égard lorsqu’elle n’avait que lui il y a deux ans de ça. « ou peut-être que tu te prépares pour ton admirateur secret ? »
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(#) Dim 28 Fév - 11:17
la fuite est difficile quand c'est finalement lui qui suit, qui gravite autour d'elle. elle aurait du s'en douter, reena, savoir qu'à force de prétexter être occupée, il finirait par la voir. et si elle râle, si elle se plaint, elle demeure heureuse de pouvoir le voir. au moins un peu. savoir qu'il va bien, qu'il est toujours aussi beau, l'arrogance qui s'échappe des lèvres à la remarque de la blonde. elle roule des yeux jusqu'au ciel, reena, hausse les épaules tout en le regardant du coin de l’œil. « "sans t'annoncer", plutôt. t'aurais eu l'air malin si j'avais pas été seule. » petite pique décochée avec innocence, à très bien savoir ce qu'il sous entend, ignorance volontaire, quand elle ne fait finalement que ce qui est nécessaire. « je viens de revenir, évidemment que je suis plus occupée que d'habitude. » semi-mensonge, puisque effectivement, elle était souvent demandée depuis son retour, à enchaîner les projets. juste... pas aussi fréquemment qu'elle le laisse entendre à côme. le pull passe par dessus les épaules, couvre la peau dénudée, à se hisser sur le plan de travail pour attraper deux tasses dans le placard hors d'atteinte pour sa petite taille. automatiquement, le regard dévie vers le bouquet à ses mots, pointe d'entrain perce la voix : « tu les as vues ? tu sais de qui ça vient ? elles sont jolies hein. » elle redescend de son perchoir, tend une des deux tasses à son meilleur ami. « je me préparais pour personne, côme. » dit-elle finalement, levant dans sa direction ses grands yeux bruns. à sentir sa tension, à savoir qu'au fond, il est comme elle. possessif. mais pas de la même manière, pas de celle qu'elle voudrait.
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(#) Lun 1 Mar - 18:13
la mâchoire se contracte; le palpitant se met à gronder sous les piques lancées. elle n’est pas si innocente, reena. sait manier les mots et les expressions comme personne, se demande encore pourquoi n’est-elle pas actrice, elle ferait un carton dans le genre briseuse de coeur. les yeux se détournent; la pensée même qu’elle soit accompagnée lui est désagréable au possible, sans réellement savoir pourquoi. la peur d’être remplacé ? oui. mais, il y a ce petit quelque chose qu’il n’arrive pas à cerner et qui plombe son humeur un peu plus. elle se défend, mais rien à de sens. accepte la tasse tendue avant de relever son regard vers elle. « j’aurais trouvé ça étrange, que tu te prépares pour quelqu’un que tu ne connais pas alors que t’as si peu de temps libre. » du temps pour lui, mais pas pour moi ? le sourcil est relevé, la question reste en suspend sur le bout de ses lèvres alors qu’il s’approche du plan de travail. « assez pour dire que ce n’est pas mon style » ; pas forcément le genre de composition qu’il affectionne, trop aesthetic pour lui lorsqu’il préfère de loin la nature & la flore sauvage. « donc je dois faire quoi maintenant, pour te voir ? prendre rendez-vous ? et me préparer aux futures douilles que tu vas me mettre pour ne pas me voir ? » la tête se penche, le thorax se soulève sous la puissante inspiration. s’oblige à se calmer. « pourquoi tu m’évites ? » onyx perçantes sur la silhouette. « pourquoi t’es partie, même. » parce qu’il n’a toujours pas supporter le soudain abandon de sa part.
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(#) Lun 1 Mar - 19:31
elle pique, elle lance, renvoie la balle, à savoir pertinemment ce qu'il reproche. côme a décidé d'être désagréable, et elle ne lui fera pas le plaisir d'apaiser les choses aujourd'hui. « théoriquement, je passe la plupart de mon temps libre à rencontrer des gens que je ne connais pas encore. » y a que pour toi, côme, y a que toi qu'elle connaît depuis toujours et dont elle a essayé de s'occuper professionnellement. incapable de nier ses foutus s e n t i m e n t s. « j'ai toujours su que tu n'avais pas de goûts. » les fleurs, les filles... et si elle affiche un sourire, reena, on peut sentir la pointe de sarcasme dans sa voix. sauf qu'à ce jeu là, il est plus fort, côme, à mettre les deux pieds directement dans le plat, taper là où ça fait mal. à laisser la petite blonde interdite, sourcils haussés, peine à masquer sa surprise en enterrant sa bouche dans sa tasse de café. « je t'évite pas. » le mensonge est préfabriqué, balancé comme un projectile. défense ridicule face à celui qui la connaît par coeur, et elle le sait, ree. c'est précisément pour ça qu'elle a choisi de l'éviter plutôt que de continuer de nier. « je te l'ai répété cent fois, pour le travail. » opportunité saisie au canada, besoin de changer de paysages, et oui, de s'éloigner de toi. « pourquoi tu peux pas accepter le fait que j'aie d'autres clients ? que je puisse travailler ailleurs ? » tu l'a toujours prise pour acquise, reena. toujours à te suivre, toujours à te soutenir, en permanence derrière toi. « t'as idée du nombre de contrats que j'ai refusés à LA pour rester avec toi ? » à descendre de son perchoir, te défier du regard. moue de la gamine qui demeure faible. incapable de faire front trop longtemps. « il le fallait. c'est tout. » tu peux pas te contenter de ça, côme ? comme à chaque fois, la laisser être évasive et silencieuse, cacher le creux dans la poitrine sous sa joie et ses belles paroles. comme depuis qu'elle est gamine, au fond. tout pour pouvoir graviter autour de côme reynolds. même quand elle tente de fuir.
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(#) Mer 10 Mar - 16:34
et la vérité ne semble pas satisfaire le garçon, à ne croire aucun mot de ce qu’elle peut lui raconter - lueur de défi dans le regard, celui qui ne la quitte pas d’une seconde. à essayer de scruter le moindre signe, le moindre mouvement contraire aux mots qu’elle dise. « ne les connais pas tout court » qu’il marmonne à peine, mâchoire serrée. il est égoïste, presque possessif mais il ne peut rien y faire, pas quand cela la touche ou hanseol. les poings se ferment sur la table. la lèvre supérieure est mordue à la tique. le sourcil est relevé. « c’est vrai que toi tu en as » qu’il grogne, juge les fleurs d’un regard en biais sans vraiment se rendre compte de la bombe qu’il vient de lâcher. reporte son attention sur elle. « et je te répéterais cent une fois que je n’y crois pas » parce qu’elle ne peut pas partir du jour au lendemain, sans rien lui dire au préalable. et le constat tombe, c’est le lui le fautif, c’est lui qui oppresse, qui capture. un air surpris sur les traits. « t’es sérieuse ? » qu’il laisse entendre, voix vide d’émotion. « c’est pas une question d’accepter ou quoi, parce que jusqu’à preuves du contraire, t’étais en contrat avec moi, mais je ne savais pas que bosser avec moi t’étais si désagréable … tu ne m’en as pas parlé non plus, de tous ces contrats ô grandioses à LA. » ça cingle, ça claque. refuse d’admettre le fait qu’il est le seul coupable dans l’histoire quand elle s’est volatilisée sans un mot. « il le fallait … ? » la langue qui claque contre le palais, à se redresser légèrement. les muscles qui roulent de tensions sous l’épiderme. « il le fallait pour toi ou pour moi ? » à ne pas la lâcher du regard lorsqu’elle semble faiblir sous le sien. « et après tu me dis que tu ne me fuis pas ? » qu’il murmure, le coeur battant dans le thorax. « ose me regarder dans les yeux et me dire que tu ne me fuis pas. »
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(#) Mer 10 Mar - 16:57
côme le jaloux, le possessif, à jouer les grands frères quand elle se consume, reena, à vouloir plus d'eux, de lui. et ses excuses ne suffisent jamais, à contredire chaque propos, parce qu'il la connaît trop bien, sans être capable de voir - ou d'admettre - la seule vérité qu'il ne remarque pas. « parce que je les rejetais sitôt reçus. » opportunités remarquables pour reena et ses pinceaux, mais trop lointaines pour son coeur qui demeurait obstinément accroché à côme. sauf qu'il refuse d'entendre, de comprendre, à s'agacer à chacun de ses mots, l'ironie dans la voix quand il demande pour qui il avait fallu qu'elle prenne ses distances. réponse évidente : « pour nous. » pour le bien de votre amitié, pour préserver ce lien qu'elle chérit depuis son plus jeune âge, gamine incapable de faire une croix sur son meilleur ami. et il se redresse, côme, à se tourner vers elle, elle dont le regard fuit, faible distance en guise d'écart entre les deux adultes qui gardent, au fond, une âme d'enfant. car les caprices et les jalousies, ce sont des comportements d'enfants, hein côme ? ou peut-être que vous avez grandi, justement. alors elle se redresse, reena. à son tour à venir vers lui, à soutenir son regard. lourd silence au cours duquel elle se perd, encore. à détailler son visage, ce visage qu'elle était obligée de toucher tous les jours quand elle travaillait pour lui. sa bouche qu'elle effleurait de son pinceau, sans jamais pouvoir se les offrir. t o r t u r e qu'il lui inflige. et elle soupire. « je te fuis. » à probablement les condamner. parce qu'à entendre ça, tu ne vas pas être satisfait, hein ? « il faut que tu comprennes, côme, que toutes les vérités ne sont pas bonnes à entendre. » elle soupire, baisse les yeux sur les fleurs, puis se détourne pour retourner vers sa tasse. « déteste-moi si tu veux. mais crois moi quand je dis que ce que j'ai fait, je l'ai fait justement pour ne jamais en arriver là. »
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(#) Mer 10 Mar - 17:09
souffle coupé par la surprise, ou bien arraché par ses mots. il ne sait guère, il mets juste, surpris. béat. sourcils froncés, regard perçant. à ne pas comprendre comment en sont-ils arrivés là. le silence en guise de réponse avant de se reprendre, d’asséner la vérité sur ses propre pensées. sur celles qu’ils retenaient aussitôt la naissance. pour nous ? pour vous ? pour eux ? interdit, il la regarde se rapprocher, les regards qui s’affrontent, le coeur qui vrille quand les mots sont soupirés. et il détourne le visage; c’est comme une balle en plein coeur. déglutit difficilement, se sent petit sous son discours. « quitte à se faire mal, dis-là. dis moi cette vérité qui t’a poussé à me fuir. » et s’il aurait aimé une once de dureté, c’est un tremblement qui brise la phrase. ne s’attendait pas forcément à ce qu’ils en arrivent là. « et pourtant, regarde-nous. on y est quand même. » ça cingle, le visage qui se baisse. les poings qui se relâchent et il a l’impression que son monde est entrain de s’écrouler sans trop savoir pourquoi; ne voit pas la vérité derrière reena; [ elle est ta vérité ] « pourquoi ? » il a besoin de savoir. « dis-moi » c’est comme un souhait, murmuré alors qu’il la regarde à nouveau. « dis-moi pourquoi tu es partis, pourquoi tu me fuis. dis-moi pourquoi tu m’as abandonné. pourquoi tu ne reviens pas. » sais-tu le mal que tu lui as fais, reena ? lorsque tu es parti sans te retourner, lorsque les réponses se sont fait rare, quand les vu se sont enchainés ?
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(#) Mer 10 Mar - 17:23
et y a rien qui va comme elle le voudrait, à changer de route constamment, dévier vers une pente glissante, s'engager vers les ombres, celles qui lui brûlent la peau, lui mordent le coeur. elle sait qu'elle l'a blessé. elle le sait, mais elle n'arrivait pas à mentir, reena, elle pouvait pas décemment lui dire qu'elle ne le fuyait pas tout en soutenant son regard. la déception gronde, grogne, les mots font putain de mal. regarde-nous. justement côme, ce nous, elle veut pas le voir, elle y arrive plus, et ne comptait pas revenir tant qu'elle ne serait pas revenue à sa place. le regard est vide. elle ne dit rien. et quand il martèle les questions, elle ferme les yeux. « côme. » arrête, côme. la vérité ne te fera aucun bien. pire, elle balaiera tout sur votre passage. elle te fera fuir, toi, et c'est probablement aussi pour ça qu'elle a choisi l'ignorance, ree. parce qu'elle préférait être celle qui s'éloigne plutôt que d'être celle qui subit. mais il n'arrête pas. enchaîne les questions. « arrête. arrête. » pourquoi tu ne reviens pas ? « PARCE QUE J'TE VEUX COME. » le ton qui se hausse, la voix qui déraille, les paupières qui s'ouvrent quand elle recule, le regarde. « parce que toi tu t'obstines à me regarder comme la gamine du jardin des voisins, quand moi j'pensais à t'embrasser chaque fois que je touchais ton visage. » et elle préfère sans doute ça, reena. confier son attirance plutôt que de lui dire combien ça va bien au delà de ça. « alors j'suis désolée, mais si je me suis éloignée, c'est justement dans l'espoir de pouvoir te ramener cette reena. celle que tu veux que je sois. » à vider sa tasse de café dans l'évier, pour s'enfuir à travers le couloir.
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