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mon bloc note
the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
(c) Disjointed Societies 2021
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Marla Katz
Marla Katz






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Surnom : Kiddo, Katz.
Âge : 29
Origines : Allemandes.
Occupation : Étudiante aux Beaux-Arts vendant ses services en tant qu'artiste free-lance et Fleuriste, en job étudiant.
Lieu de résidence : Maisonnette (Queens) avec Mathias. ♡
A New York depuis : ses dix ans.
Situation Amoureuse : Il n’y a que les yeux de l’amour qui comptent.
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Trigger Warning : J'aborde en rp : conflits familiaux, violence (physique, mentale, infantile), manipulation, délinquance, sexe, enlèvement, pauvreté (ancienne SDF), troubles du comportement alimentaire, pensées suicidaires, anxiété, dépression, relations toxiques, addiction (somnifères).

Je refuse de jouer : cruauté animale (non, non et re-non), viol, prostitution, mort.

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☽ DON'T BE AFRAID ☾
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KATZINI » LES MOTS QUE L'ON NE DIT PAS. Eztv
dans la nuit
Elle était belle dans la nuit, à la lueur de la lune ronde. Des rubans dansent dans ses cheveux et le vent rie à ses côtés. Sur les chemins parsemés d’étoiles, elle brille de mille feux. Ses mains implorent le ciel au temps qui se suspend. Une envolée d’oiseaux nous rappelle, qu’elle était belle, elle.
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KATZINI » LES MOTS QUE L'ON NE DIT PAS. VEo0rLeU_o
RPs : 0
Pseudo : BRAINDEAD.
Pronom : Elle.
Messages : 813
Faceclaim : Charleen Weiss.
Crédits : Romanov (avatar), Myself (signature), Ethereal (icons).
Inscription : 22/11/2020
Multicomptes : Baby Meï.
Nombre de mots par RP : 200 - 600 mots.
Fréquence de RP : Lorsque j’ai envie.
Je suis plutôt : Dark et chill.
Young Idiot
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01
ingame
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hors-jeu
Citoyen de NYC ✧
(#) Dim 20 Déc - 8:16
❝ les mots que l'on ne dit pas. ❞
-- (katzini 7).


Le téléphone valdinguait et elle savait, qu’elle regretterait cette action, Marla, en l’entendant claquer si violemment sur le parquet. Elle était sur les nerfs, la jolie et rageait intérieurement. C’était dans cet état qu’il la mettait, constamment, Noah, dès qu’il lui écrivait le moindre message. Dès que ses prunelles croisaient les siennes. Incapable d’apaiser le brasier animant son être, Marla. Elle voyait rouge, noir, la haine pure. La colère folle. La rage et l’injustice, sans jamais avoir les réponses qu’elle attendait. Avec le temps, elle aurait dû lâcher l’affaire, se dire que certains ne voyaient pas le mal dans leurs actions et pourtant, la brune, elle s’y accrochait. Comme si ses aveux l’aideraient à aller de l’avant, remportant cette lutte impossible entre lui et elle. Elle et lui, une association qui lui donnait envie de vomir, de crier à rompre ses cordes vocales. Et elle se levait d’un coup, oubliant, sur l’instant, qu’une plaie scindait la chair de sa cuisse. Grimaçant en soufflant lourdement, voyant un peu les étoiles dans l’action. Pas encore cicatrisée, cette plaie défigurée par des doigts désireux de visiter au-delà son derme laiteux et des points façonnés à la va-vite, pour éviter de se vider de sang. Marla, elle repensait constamment à la douleur, à l’évanouissement qu’elle avait effleuré, à chaque coup d’aiguille. Les larmes se mêlant aux plaintes cuisantes, se retenant de hurler à la mort et qu’on la trouve dans une telle position de faiblesse. Le palpitant saccadé, sa progression fut lente jusqu’au divan, sur lequel elle passerait la nuit, comme lorsqu’elle n’avait personne avec qui dormir. Le sommeil rendu impossible sans cachetons et corps contre lequel se blottir. Lui permettant la grande évasion. Arpenter des songes délicats, sans avoir peur de hurler à en briser la voûte étoilée. La lutte de tous les possibles : l’addiction, les cauchemars et la douleur d’une jambe, qu’elle s’appliquait à soigner. Éviter de faire un retour à l’hôpital, de se retrouver submerger par le prix exorbitant de la santé dans ce satané pays. Alors, Marla, elle s’accrochait, se sachant tranquille pour la nuit, quand bien même Noah s’installait-il dans ses pensées, face à cette émission de pâtisserie, Yogi lové dans ses bras. Ces messages défilaient dans sa tête, l’aveu en demi-teinte d’une possible présence de sentiments. Connard. Les mâchoires serrées et l’expression close, impassible, qu’elle s’efforçait d’afficher. Cela passerait. Comme à chaque fois. Et ce fut un aller simple vers une nuit calme, où elle ne dormirait pas, Marla. Veillant, attendant d’être demain, pour se réfugier dans d’autres bras que ceux de son animal de compagnie. Minuit était là, depuis si longtemps, que cela lui paraissait une éternité. Le cœur, lui, manquait un battement, en entendant ce bruit contre la porte d’entrée du loft. Elle attendait, quelques secondes, que cela passe, mais un nouveau résonnait. Elle se levait, péniblement, en sweat et culotte, les doigts pressés contre le large pansement de sa cuisse blessée. La démarche boiteuse, langoureuse, si bien qu’il y eut un troisième et quatrième coup, s’accrochant finalement à la poignée. Un regard à travers l’œil de la porte et elle ne comprenait pas, la divine, pourquoi la gueule de l’avocat se trouvait à l’arrière. Elle lui ouvrait donc, se tenant d’une main contre le cadre en bois, les prunelles céruléennes glissaient d’abord sur la petite allée qu’il avait traversé et le portail refermé. Se posant, ensuite, sur son visage, l’expression fermée, épuisée, qu’elle affichait également. Le reflet dans le miroir. Marla, elle ne disait rien, se contentait de le regarder, de ses mirettes océaniques, où se déchaînaient marrée et vagues. Une tempête sur le point de tout ravager. Les prémices de quelque chose de destructeur. Violent. Intempestif.
(c) TORTIPOUSS.


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Invité ✧
(#) Lun 21 Déc - 8:16
❝ les mots que l'on ne dit pas. ❞
-- (katzini 7).


Dire que ça m'amuse serait un bien grand mot, mais il faut dire que ce petit sourire qui se dessine sur le coin de mes lèvres à la fin de notre conversation démontre bien qu'elle continue encore à m'amuser, Marla. C'est marrant, parce que même si ça me fait sourire, je sens bien que ça m'embête un peu, cette histoire. Parce que la haine qu'elle me lance à la figure n'est pas totalement justifiée. Une mauvaise action. Une, au milieu de beaucoup d'autres qui étaient positives dans la vie de la demoiselle. Elle est clairement là où elle est aujourd'hui grâce à moi. Si je ne lui avais pas payé cet appart, si je ne l'avais pas aidé avec les Beaux-Arts, elle serait probablement en train de se cailler le cul dans les rues gelées de New-York a regarder le beau monde faire des excès pendant les fêtes de fin d'année alors qu'elle crève la dalle dans un coin délabré de la ville. Je laisse cependant le temps passer, je prépare mes vacances avec Bella, mais la conversation reste dans un coin de ma tête. Je réfléchis, calcule, essaie d'anticiper. Donc si elle veut aller mieux, elle a besoin que j'avoie ce que j'ai fait ? Je en suis pas assez stupide pour faire ça par sms, je ne veux pas me faire encore avoir par Hush. J'ai pas envie qu'on ait une relation conflictuelle parce que je pourrais avoir besoin d'elle à un moment ou à un autre et j'ai donc besoin que cette relation soit positive. Je sors des locaux de Mancini & Cie assez tard et, alors que je suis en route vers chez moi, je me surprends à soudainement faire demi-tour et me retrouve assez vite face à l'immeuble où vit Marla. Un long soupire sort de ma bouche, sourcils légèrement froncés alors que j'observe la façade. Est-ce que c'est intelligent de faire ça, Noah ? S'il y a bien un truc que je sais à propos de Marla, c'est qu'elle est sensible à ce genre de chose. Je montre jusqu'à chez elle et je toque. Une fois, deux fois, peut-être même trois ou quatre fois, je ne me rends pas très bien compte. Je sens bien qu'elle n'a pas envie que je sois là, quand elle ouvre la porte. Un léger sourire se dessine sur mes lèvres et je fais un pas en avant, me penchant légèrement pour regarder un peu à l'intérieur de chez elle. "Tu me fais visiter ?" Parce que je ne suis jamais venu. C'est chic, donc donc. Ça te change du bitume, hein Marla ? J'hausse les sourcils en la regardant de haut en bas et je finis par dire, "Va enfiler un pantalon, faut qu'on parle." Pas envie qu'on affiche sur les réseaux que je traine avec elle en culotte, parce que je me ferais tuer sur le champs et elle aussi.
(c) TORTIPOUSS.


Marla Katz
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Occupation : Étudiante aux Beaux-Arts vendant ses services en tant qu'artiste free-lance et Fleuriste, en job étudiant.
Lieu de résidence : Maisonnette (Queens) avec Mathias. ♡
A New York depuis : ses dix ans.
Situation Amoureuse : Il n’y a que les yeux de l’amour qui comptent.
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Trigger Warning : J'aborde en rp : conflits familiaux, violence (physique, mentale, infantile), manipulation, délinquance, sexe, enlèvement, pauvreté (ancienne SDF), troubles du comportement alimentaire, pensées suicidaires, anxiété, dépression, relations toxiques, addiction (somnifères).

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Elle était belle dans la nuit, à la lueur de la lune ronde. Des rubans dansent dans ses cheveux et le vent rie à ses côtés. Sur les chemins parsemés d’étoiles, elle brille de mille feux. Ses mains implorent le ciel au temps qui se suspend. Une envolée d’oiseaux nous rappelle, qu’elle était belle, elle.
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Citoyen de NYC ✧
(#) Lun 21 Déc - 10:11
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La porte s’ouvrait sur ce visage qu’elle méprisait, au plus haut point. La gueule des cauchemars, digne représentant de ce qu’il y avait de plus malsain en ce monde. Cela se voyait, à l’expression qu’elle affichait et aux yeux, se levant au ciel, qu’elle ne voulait pas le voir, Noah. Qu’il cesse de lui courir après, pensant que son dernier message était clair. En vain. À l’image de tous les efforts faits jusqu’à présent, Marla, épuisée de lutter et de s’accrocher, lorsque rien ne portait ses fruits. Elle baissait ses yeux, en bloquant le passage de sa jambe valide en le voyant se pencher. Son foyer, ses règles. Prête à en découdre s’il le fallait, en dépit de sa gambette blessée. Un long silence s’installait, le fixant de ses mires colériques, reflétant une délicate marrée, dans le fond de ses azurs. Elle laissait les minutes s’égrainer, hésitant, à lui fermer la porte au visage ou à laisser une chance, après cet échange houleux. La guibole finissait par lui laisser le passage libre, se décalant en baissant les yeux, le temps qu’il passe, explore la grande pièce à vivre, où tout tenait. Qu’il prenne même l’escalier de la mezzanine jusqu’à la salle de bain et l’atelier s’il le désirait, elle s’en fichait. La poupée fermait la porte à clés derrière lui et avançait péniblement jusqu’au lit défait de la grande pièce où tout tenait. Le temps de saisir un short ample, chutant à peine sur le pansement. Elle ne parlait pas, Marla, enfoncée dans un mutisme, la tête de mauvais jours. L’air boudeur et agacé. Loin d’être ravie de le savoir ici, entre ces murs, où elle se sentait en sécurité, mais également le théâtre de ses nombreuses nuits d’horreur. C’était comme pénétrer son intimité et elle n’aimait pas ça, quand bien même le laissait-elle explorer comme bon lui semblait. Elle se laissait tomber lourdement sur le canapé, sans un mot. L’on sentait que sa belle frimousse était tendue, que le moindre commentaire pouvait la faire vriller. Elle faisait des efforts, se retenant d’exploser en saisissant sa trousse de soins. Marla, elle estimait que c’était le bon moment pour nettoyer et changer son pansement. Alors, elle décollait le pansement à l’aide d’une solution anti-adhésive, dévoilant les points de suture. Ceux irréguliers, fait dans l’urgence par la demoiselle, après que l’on ait fait sauter ceux précis des soignants. Soupir lourd. La plaie avait une salle gueule, certes, l’on pouvait voir qu’elle était plus large qu’auparavant, que les contours rouges étaient douloureux. Elle s’y était habituée, à la chair suintante et aux croûtes, qu’elle devait retirer. Aux quelques saignements qui parvenaient, parfois. Jamais à la douleur et aux inconvénients. « Je t’écoute. » Qu’elle finissait par dire en attrapant une pince à épiler, pour retirer les croûtes formées, permettant à la plaie de mieux cicatriser. Et les prunelles se posaient enfin dans celles de Noah, une compresse de désinfectant pressée sur la blessure. Pourvu que cela ne s’attarde pas et qu’elle obtienne ce qu’elle désirait de lui, tentant de lui offrir une énième chance. Se rattraper, lui permettre d’avancer au lieu de piétiner dans sa rancœur tenace : le commencement de toutes ces épreuves terribles. Tout ne pouvait pas être noir, pas vrai ?
(c) TORTIPOUSS.


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(#) Jeu 24 Déc - 8:30
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Je ne suis pas tellement sûr de ce que je viens faire ici. Il faut dire que le mensonge est un peu ma seconde nature, au fil des années. Le métier d'avocat peut être exercé de manière noble par les personnes bien intentionnées, mais on ne peut pas dire que ça soit mon cas. J'aime être avocat parce que ça me donne un pouvoir tout particulier, celui de connaître toutes les lois, de pouvoir jouer avec, les contourner. J'aime être avocat car plaidoyer est probablement ma partie préférée, regarder les membres du jury dans les yeux, essayer de comprendre leur penser, de les amener là où je veux les amener. Parce qu'il ne faut pas croire que la vérité sort entre les quatre murs d'un tribunal, oh ça non. Ça n'est pas à celui qui dit la vérité, qu'on laisse sortir libre. C'est à celui qui arrivera à donner l'histoire la plus convaincant et pour ça, il faut souvent manipuler la vérité. Mentir. Il faut croire que je me sens d'humeur rédemptrice, ces derniers temps. Si je ne me vois pas comme quelqu'un de bien, je vois la manière dont Bella me regarde. Elle est pire que moi. Et elle m'aime parce que je ne fais pas partie de son milieu, parce qu'elle ne sait pas à quel point je suis enfoncé dans son milieu. Elle aime l'image lisse de moi, l'idée que je suis qu'un avocat, un peu atypique, certes, mais un avocat qui veut juste vivre sa vie confortablement. Elle n'a pas totalement tord, même si j'ai peur qu'elle découvre un jour que je ne vaut pas mieux qu'elle, au final. Je le vois cet air blasé, quand elle ouvre la porte, Marla. Elle ne veut pas que je sois là, elle risque d'être surprise par ce que j'ai à lui dire. Peut-être que je peux devenir le gars bien que Bella pense que je suis ? Comme si avouer à la demoiselle que j'ai bien envoyé quelqu'un pour lui faire peur va changer quelque chose. J'observe chaque recoins de son appartement car comme on dit, l'intérieur de chez quelqu'un reflète qui il est. Silencieux, je la regarde s'habiller, difficilement avec ce pansement sur sa jambe. Rien que de le voir me donne des frissons, repensant à tout ce sang sur mes mains, mes fringues, dans la voiture de mon chauffeur. Mon attention est attiré vers elle quand elle se laisse lourdement tomber dans le canapé, décollant son pansement pour faire apparaître sa plaie. Une légère grimace se dessine sur mon visage et je détourne le regard, les mains qui glissent dans mes poches alors que je fais le tour du salon, regardant chaque objet, chaque photo. « Je t’écoute. » Je la regarde et je soupire doucement en la voyant gratter ses croûtes. "Tu devrais pas faire ça.", que je lance avant de m'approcher rien qu'un peu, les mains toujours dans les poches, essayant d'afficher l'air le plus désinvolte possible. "Si tu grattes les croutes ça va jamais cicatriser." Mais fuck, Noah, pourquoi tu t'en mêles, qu'est-ce que ça peut bien te faire ? Je soupire à nouveau et je secoue la tête, comme pour me recentrer sur la raison de ma visite. Je m'installe dans le canapé, à l'opposé d'elle, continuant à l'observer avant de détendre mon bras sur le dossier de ce dernier, demandant calmement, "Pourquoi est-ce que tu veux absolument que je te dise que c'est moi, Marla ?" Qu'est-ce que ça va bien changer ? Surtout si elle sait. Elle sait déjà que c'est moi, que j'ai envoyé Bella pour lui faire peur alors pourquoi elle a besoin de l'entendre ? Est-ce qu'elle essaie de me piéger ?

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Marla Katz
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(#) Jeu 24 Déc - 11:22
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Le pansement immaculé ôté de la cuisse blessée, elle le suivait du regard, Noah. Qu’il soit devant le mur de photos, où il n’y avait que des photos de ses ami(e)s, à la décoration : passant par les plantes aux œuvres, cette invitation à exposer son travail et le maigre portant de vêtements. Toute une vie dans une grande pièce, l’intimité mise à nue. Et la plaie aérée pour le faire frissonner, Noah, impitoyable quand elle le voulait, Marla. Désormais habituée à devoir nettoyer sa plaie et la désinfecter, plusieurs fois par jour, depuis qu’elle se l’était jouée grande soignante, dans cette salle d’art. Une plaie, qui ne serait plus qu’un mauvais souvenir d’ici quelques semaines, hâtive de remarcher correctement et de cesser les soins, même si la balafre resterait imprégner sur le derme laiteux. Pièce à part entière de cette émanation morcelée. Elle l’ignorait, en même temps, Noah, pas décidée à être la brune à l’écoute, attentive, à répondre à chaque provocation. Un regard suffisait pour lui faire comprendre à quel point elle le haïssait, à quel point elle le trouvait monstrueux. Le monstre. En voilà, un surnom qui le sortait de cette apparence si lisse et parfaite de l’avocat, gorgé de vices qu’il en ruisselait, de cette noirceur, de ce mal incarné. Un tas de pensées néfastes naissaient de ses nuits d’horreurs. Souhaitant qu’il périsse, qu’un ennemi l’achève et qu’il cesse de parasiter ses songes, qu’il arrête de se pointer dans sa vie, sans être le bienvenu. L’on voyait bien à quel point elle le détestait, Noah, dès qu’elle posait ses mires azurés sur lui. La haine pure, sans détour. Incapable de prétendre. Et elle prenait sur elle, tellement intensément, qu’elle serrait les poings, laissait la trace de ses ongles sur sa paume. « Pourquoi ? » Marla, elle riait nerveusement, passant ses mains tremblantes sur son visage. « Tu me fais passer pour une folle, une menteuse, alors que je veux juste savoir la vérité. » Elle avait besoin de ses aveux, pour arrêter de se torturer, de penser qu’elle était fautive et que cette soirée de violence, n’était qu’une connerie, rien d’important. Le commencement de sa nouvelle descente aux enfers. « Je veux arrêter de me prendre la tête et de culpabiliser pour quelque chose que tu as commencé. » Il aimait bien trop se complaire dans tout ce chaos, Noah, alors dans le fond, même si elle obtenait des excuses, Marla ne pouvait pas s’empêcher de se dire qu’il faisait ceci pour l’avoir dans sa poche lorsqu’il aurait besoin d’elle. L’apaiser pour mieux l’utiliser. Un énième jouet dans sa collection. Elle ne replongerait pas, assurément, dans ses filets. « Tu vois, c’est comme si la personne qui t’as agressé te disait que tu es fou, que tu inventes tout et que rien de tout ça n’est arrivé. Tu réagirais comment, Noah ? D’être accusé un truc que tu n'as pas voulu ? » À part abattre ses cartes d’avocats et resserrer sa cravate devant les jurés, avec ses propos vicieux et sa gueule si lisse, que l’on lui donnerait le bon dieu sans confession. Il avait bien vrillé au tribunal, lorsqu’elle l’avait accusé de cette tentative de viol, pas vrai ? Ce sentiment d’injustice, galvanisant l’être, gorgeant de haine. Elle en était à ce point de non-retour, Marla, en ne le quittant pas des yeux. Se retenant d’exploser, de le cogner à n’en plus pouvoir. De lui faire autant mal qu’elle. Incapable de retenir ses émotions. Passionnelle jusqu'à exploser.
(c) TORTIPOUSS.


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Invité






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Invité ✧
(#) Mar 29 Déc - 4:31
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-- (katzini 7).


Je sais que ça pourrait me mener à ma perte de me soucier autant de ce qui se passe avec Marla. Elle m'a déjà plus ou moins foutue dans la merde de manière indirecte avec ce spotlight, qui m'a valu bien des ennuis et qui m'a fait perdre des alliés, aussi. Mais il y a une partie de moi qui n'arrive pas à se foutre de ce qui lui arrive. C'est très contradictoire, parce que je sais que je dois l'avoir dans ma poche et je sais que mon intérêt est d'avoir une relation positive avec elle mais c'est plus compliqué que ça, parce qu'il y a cette haine dans son regard qui ne s'éteint pas, malgré tout ce que j'ai bien pu faire après son agression qui aurait pu rattraper ça. J'hausse les sourcils quand elle dit que je la traite de menteuse et automatiquement, je secoue la tête, me penchant en avant en appuyant mes avants bras sur mes genoux, joignant mes mains en la regardant, "Je n'ai jamais dit que tu étais une menteuse, Marla." Je continue de l'observer, de l'écouter et je soupire doucement. Je sais ce que c'est, que d'être victime d'une injustice mais ça n'est clairement pas ce qui s'est passé dans sa situation. Je sais qu'elle essaie d'utiliser ce qui s'est passé devant le tribunal contre moi et elle a raison de le faire : je suis le premier à déformer la vérité, à al prendre et à l'utiliser à ma guise pour que ça m'avantage. "Tu veux vraiment savoir ce qui s'est passé ? Parce qu'il n'y a pas de fumée sans feu Katz et si ce qui t'es arrivé n'était pas entièrement prémédité, tu l'as bien provoquée toute seule, comme une grande. Alors épargne-moi deux secondes tes petits airs de victime et d'agneau blessé qui a besoin d'être secouru, parce que si ça marchait au début, ça n'est plus le cas maintenant." Pas maintenant que j'ai gouté à la douceur de ses gifles, de ses mots remplis de venin et de la vision d'une Marla violente dans des combats de rue où moi même, je ne me risquerais pas d'aller. Je fais une légère pause, prépare tous les mots qui s'apprêtent à sortir de ma bouche dans ma tête, comme pour une plaidoirie. Être avocat, c'est donner la meilleure version possible d'une histoire. C'est ce que je m'apprête à faire ici. Je me lève, calmement, parce qu'être debout et elle assise me donne une position de pouvoir et de contrôle. "On m'a parlé de toi dans l'affaire que tu connais, dont tu as été témoin cet été. Quand j'ai compris que tu étais à la rue, je me suis arrangé pour te mettre dans ma poche et j'ai acheté ton témoignage en t'offrant un appartement qui se trouvait dans le même immeuble qu'un membre d'une organisation avec laquelle je travaille. Pour ta sécurité, être sûr que l'organisation adverse qui avait essayé d'acheter ton témoignage ne vienne pas te chercher la merde ou te faire du mal. Le but était de te protéger, Marla." Noah qui arrange la vérité, pour faire croire à Marla qu'il n'a été que bon pour elle dès le début. "Et puis, y'a eu cette gifle. Pas à cent pour cent méritée, si tu veux mon avis." Mes mains glissent dans les poches de mon pantalon, je fais le tour du salon, "J'ai mis ça sur le coup du stress et j'ai laissé passer. Sauf qu'après ça, t'as été très désagréable avec moi par message pour une raison totalement inconnue. Toi même tu as du te rendre compte que tu avais fait n'importe quoi, puisque tu t'es excusée par la suite mais c'était trop tard." Je m'approche d'elle, m'assoie juste à côté, "Tu vois Marla, on en arrive pas là où j'en suis en étant un enfant de choeur. Et t'en sais quelque chose.", que je lance, plein de sous-entendu en regardant autour. On ne passe pas du béton chaud de New-York à un loft pareil en plein Manhattan en six mois. Je le sais, elle le sait. Je ne suis pas le seul à avoir des cadavres dans mon placard. "Parce que je voulais être sûr que tu nous filerais pas entre les doigts et que tu comprennes que malgré ma grande générosité, il faut pas se foutre de ma gueule, j'ai demandé à quelqu'un d'aller te faire peur." Je la regarde, répétant, "Te faire peur." Pas te casser la gueule. Et ça, c'est un fait. "J'ai juste pas réalisé que je n'avais pas été assez clair avec cette personne qui t'a, visiblement, fait du mal physiquement. Mais c'était pas du tout mon intention et quand tu y réfléchis bien - et je sais que t'es maligne, Marla -, c'était pas du tout dans mon intérêt de vouloir te faire du mal physiquement parlant. Pas alors que tu étais le témoin clef de mon affaire." Je me redresse et m'adosse au canapé, ne la quittant dans mes yeux. "Alors bien sûr, que je suis désolé, Marla. Mais je pensais que c'était plutôt clair, quand on voit tout ce que j'ai fait pour t'aider après cette histoire." Et ça serait hypocrite de sa part de dire le contraire. Les Beaux-Arts, le tribunal, le combat de rue qui a mal tourné la dernière fois. Tout ça, ça n'était pas juste de la générosité de ma part. C'était moi, qui essayait de me rattraper.

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Marla Katz
Marla Katz






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Surnom : Kiddo, Katz.
Âge : 29
Origines : Allemandes.
Occupation : Étudiante aux Beaux-Arts vendant ses services en tant qu'artiste free-lance et Fleuriste, en job étudiant.
Lieu de résidence : Maisonnette (Queens) avec Mathias. ♡
A New York depuis : ses dix ans.
Situation Amoureuse : Il n’y a que les yeux de l’amour qui comptent.
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Trigger Warning : J'aborde en rp : conflits familiaux, violence (physique, mentale, infantile), manipulation, délinquance, sexe, enlèvement, pauvreté (ancienne SDF), troubles du comportement alimentaire, pensées suicidaires, anxiété, dépression, relations toxiques, addiction (somnifères).

Je refuse de jouer : cruauté animale (non, non et re-non), viol, prostitution, mort.

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dans la nuit
Elle était belle dans la nuit, à la lueur de la lune ronde. Des rubans dansent dans ses cheveux et le vent rie à ses côtés. Sur les chemins parsemés d’étoiles, elle brille de mille feux. Ses mains implorent le ciel au temps qui se suspend. Une envolée d’oiseaux nous rappelle, qu’elle était belle, elle.
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Pseudo : BRAINDEAD.
Pronom : Elle.
Messages : 813
Faceclaim : Charleen Weiss.
Crédits : Romanov (avatar), Myself (signature), Ethereal (icons).
Inscription : 22/11/2020
Multicomptes : Baby Meï.
Nombre de mots par RP : 200 - 600 mots.
Fréquence de RP : Lorsque j’ai envie.
Je suis plutôt : Dark et chill.
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Sûrement, serait-elle fascinée par l’écran télévisé, à l’heure où Noah se dressait pour compter leur sinistre histoire. Des souvenirs amers relatés face à une Marla qui ne le regardait pas, les prunelles rivées dans le vide, à seulement écouter. Esprit d’analyse encore intacte, chaque mot était pesé : elle le savait, le déduisait, le comprenait. Le métier qui voulait ça, elle n’en demeurait pas moins alerte. Marla, elle s’était endurcie avec le temps. Quand bien même demeuraient les songes malléables et les pensées abouliques, Marla, elle s’était accoutumée du tempérament de Noah. Le rendant si prévisible à ses yeux, lorsque celle-ci butait constamment sur chaque mot, chaque comportement observé et méprisé. Ainsi, l’on comprenait son long silence, le laissant mener à bien et à terme sa harangue, sans cesser de bloquer sur des tournures, des propos enjolivés pour la faire passer pour l’ingrate de l’histoire, pour amoindrir les actions cruelles qu’il avait commis. Manque de recul, sûrement, pour celui qui jouait sur les mots, piochant dans le sac des excuses et autres poudres illusoires, qu’il jetait aux visages de ceux crédules. Vint enfin l’heure de la fin et la poupée demeurait muette, même s’il lui faisait désormais face sur le canapé, ses mirettes d’un bleu transperçant, plongées dans les siennes. La gueule imperméable et ce rictus, figé, en coin, aux lèvres désirables. « Lorsque Ashton m’a balancé, tu en as profité. Tu as tenté de me faire peur puis de m’amadouer, avec tes propos mielleux et tes fausses attentions. Bien sûr que tu devais me mettre dans ta poche, pour gagner ton affaire, Noah. Ça, je le comprends. Mais : tu ne peux pas me reprocher de m’être défendue quand j’ai compris que tu te servais de moi. Ça ne fait plaisir à personne de le réaliser. Certes, je t’ai donné un coup-de-poing, sur le coup de l’énervement : je me suis excusée, pas vrai ? On aurait pu en rester là, te contenter de ma culpabilité et mes excuses, mais non… » L’amertume pointait le bout de son nez. « Tu m’as poussé dans mes retranchements, alors je t’ai mal parlé. J’aurai pu t’ignorer, oui, mais je ne l’ai pas fait. Erreur, oui. Je venais de couper les ponts avec Ashton, qui a été une partie de ma vie et cette histoire l’a bousillé. Je t’en voulais, je lui en voulais, mais j’en voulais surtout à moi. Et toi, Noah, qu’est-ce t’as fait ? T’as voulu me faire peur, mais le message était très clair : fallait qu’on m’abîme pour que je comprenne et à aucun moment, t’as refusé. Ne me sors pas d’excuses ou de mots enjolivés : tu savais très bien ce qui m’attendais, tu connais juste trop bien tes propos préparés pour l’assumer. Tu voulais me faire mal. » Le ton se voulait calme. « Il y a eu quelques jours avant que cela arrive, tout de même, mais comme tu dis : c’était trop tard. » Foutaises. Et elle eut un rire nerveux, Marla. Démontant certains propos, approuvant d’autres. « Ce n’est pas de la générosité, Noah : pourquoi tu ferais tout ça pour moi ? Tu veux simplement me mettre dans ta poche, pour qu’un jour, lorsque tu auras besoin de moi, je sois là, pour t’aider. Il n’y a rien de généreux, que de l’intérêt, dans tout ce que t’as pu faire pour moi. Et moi, j’en ai profité, parfois. J’en avais besoin. » La réalité qui se dessinait. « Je n’aurai pas dû te cogner et mal te parler, je m’en suis excusée. On aurait pu en rester là, mais non, ce n’était pas assez pour toi. Pour moi. On se tire vers le bas, à celui qui blâmera le plus l’autre. Qui sortira vainqueur, immaculé, de cette histoire. Qui remportera la lutte. Et depuis ça, tout est un Enfer, Noah. Tout. » Cela était une constante descente au purgatoire, au milieu des squelettes et charognes. « Et je suis incapable de te croire, Noah, de te faire confiance. Même si tu t’excuses et essaies de te rattraper, je n’y arrive pas. Je t’en veux trop. Je m’en veux trop. Je n’y arrive pas. » La voix s’éteignait dans des mots difficilement prononcés, luttant pour que l’émotion ne vienne pas imprégner son éloquence. En vain. « Je sais que tu es autre chose que ce monstre que je vois et décris, je le sais. Je le vois. Et je comprends que ce soit plus confortable de te réfugier derrière ce masque d’avocat impitoyable. » Alors que, par réflexe, Marla s’apprêtait à poser sa main sur la sienne, elle annulait son geste, se contentant de poser son visage sur le dossier du canapé, après s’être entièrement tournée vers lui, au début de son discours. Yeux dans yeux. « On n’a vu que la pire façade de l’autre. Et je ne veux plus de cette violence avec toi. » Et c’était bien là le souci de leur quête visant à blesser l’autre, à le toucher, un peu plus, chaque fois. Une mission épuisante. « On mérite du repos, tu ne penses pas ? » Elle était touchée, Marla, à en juger l’humidité de son regard océan et sa voix, si calme, si douce, que cela évoquait la caresse d’une plume. Marla : prête à jeter les armes, à prendre un chemin plus sain, pour elle, pour lui, s’en venait, finalement, serrer la paume de Noah de la sienne. Tendrement. Affectueusement. Premier pas accompli vers une guérison, qu’elle espérait, vertueuse.
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(#) Mer 30 Déc - 9:21
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J'essaie de défendre mon affaire du mieux que je le peux. Je sais que je n'ai pas besoin de le faire, en réalité. Je ne lui dois rien, à Marla. Mais Noah pense toujours à ses intérêts et c'est toujours mieux d'avoir des amis que des ennemis. Des ennemis, je m'en suis fait assez au cours de ces dernières années, je n'ai pas besoin d'en ajouter des nouveaux à une liste un peu trop longue du haut de mes 28 ans. Installé sur ce canapé, je la regarde, attendant qu'elle réagisse, qu'elle dise quelque chose. Je ne m'attends honnêtement pas à ce qu'elle me croit et pourtant, je viens de lui donner la vérité. Si elle ne veut pas la prendre, alors c'est son problème, pas le mien. Lorsqu'elle parle d'Ashton et du début, de notre rencontre, je secoue la tête, attendant qu'elle finisse jusqu'à sa déclaration comme quoi je voulais lui faire mal. "Je t'ai menti parce qu'Ahston m'a demandé de te mentir. Marla, si ça n'avait tenu qu'à moi, je m'en foutais de te dire que c'tait Ashton qui t'avait balancé. Il m'a demandé de ne pas te dire que c'était lui, parce qu'il ne voulait pas que tu lui en veuilles. Il m'a demandé de t'installer dans le même immeuble que lui. On ne se connaissait pas toi et moi, je n'avais aucun intérêt à tourner notre relation en quelque chose de négatif." Je soupire doucement, "Si tu relis ce putain de sms tu lis pas "abîme-la". Mais au contraire, j'ai demandé "ne l'abîme pas trop", parce que ça n'était pas censé être violent. Je te le redis, c'est la vérité. Maintenant si tu ne me crois pas, tant pis pour toi." J'accepte d'être le grand méchant de son histoire, c'est un rôle qu'on a l'habitude de me donner et je m'y suis fait, avec le temps. Je l'observe, continuant avec son discours et je ne peux pas m'empêcher de sourire quand je l'entends dire qu'on se tire vers le bas, qu'on fait que se blâmer, se battre. Ce qu'elle a du mal à comprendre, c'est qu'elle se bat toute seule. Depuis bien longtemps. Mais ce sourire disparait quand elle dit qu'elle ne me croit pas. Ce sourire disparait parce que la rage monte. Elle monte parce qu'elle me demande la vérité, que je lui donne et qu'elle la rejette. Alors qu'est-ce que tu attends de moi, Marla ? "Pourtant je viens de tout te dire. Une vérité qui pourrait me faire perdre mon droit d'exercer si t'avais été assez maligne pour m'enregistrer.", que je lance, presque vexé. Vexé d'être venu ici pour rien, vexé de lui avoir offert une vérité qui aurait du rester bien au chaud quelque part sans jamais n'est dévoilée. Mon regard fixé dans le sien, je laisse quelques longues secondes après sa question. Réfléchissant à comment je dois répondre, quels mots je dois utiliser. Encore et toujours. Comme si j'étais dans un tribunal devant madame le Juge. "Tu es la seule à nous imposer cette violence, Marla", que je lance presque dans un souffle. Et si elle y réfléchis bien, peut-être qu'elle comprendra qu'elle se l'est imposée toute seule qu'elle nous l'a imposé. Je n'ai rien fait d'autre que m'excuser et l'aider, depuis son cassage de gueule. Elle est celle qui a été piquante avec les mots, qui m'a rejeté, m'a détesté, même quand elle est chez moi et que je lui offre un emploi. "Je n'ai jamais voulu me battre avec toi.", que je dis à nouveau, pour insister sur ce point, malgré les larmes qui coulent sur ses joues et ce regard de chien battu. "Alors la vraie question, c'est est-ce que t'es prête à mettre ta haine de côté ? Ou est-ce que tu veux juste que je me lève, que je quitte cet appart et qu'on arrête définitivement de se parler ?" Je me redresse et me lève, glissant à nouveau les mains dans mes poches. "Parce que si c'est ce que tu veux, alors soit. Je sors de ta vie, mais si c'est le cas, je pourrai plus t'aider. Et inversement." Mais j'insiste sur le fait que je ne pourrai plus l'aider.

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Marla Katz
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Surnom : Kiddo, Katz.
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Occupation : Étudiante aux Beaux-Arts vendant ses services en tant qu'artiste free-lance et Fleuriste, en job étudiant.
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A New York depuis : ses dix ans.
Situation Amoureuse : Il n’y a que les yeux de l’amour qui comptent.
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(#) Mer 30 Déc - 19:47
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Elle en avait assez, Marla, de ce bourbier, dans lequel ils étaient enfoncés. Les torts étaient admis, certes, mais elle ne pouvait pas s’empêcher de lui en vouloir, de lui souhaiter du mal. Le penser malhonnête et calculateur, même si le mot vérité était imposé à la table des règlements de compte. Elle ne disait plus rien, cette fois-ci, Marla, parce qu’elle avait tout dit, qu’elle se savait en règle et ne souhaitait plus entendre parler de tout ça, de cette histoire qui l’avait rendu folle pour d’une fois. Laisser tomber et passer à autre chose, si le cœur le voulait, si la tête le souhaitait. Elle ignorait comment se positionner, Marla, l’esprit dictait autre chose que le palpitant en peine. Il n’y avait plus rien à faire face à Noah, qui manierait les mots et faits à sa guise, pour avoir l’air d’un héros. Le jeu percé, depuis quelque temps, Marla, elle en restait épuisée de cet acharnement. De ce truc qui n’était même plus un amusement, avec le temps qui s’égrainait et les épreuves qui marquaient, martelaient. Elle en soupirait, longuement, prouvant tant son épuisement que sa lassitude face aux propos de Noah, l’air de dire ‘tant pis, on laisse tomber, ça sert à rien’. Ses paumes glissaient sur son visage, qu’elle frottait de sa peau délicate, refermant finalement la trousse de soin, laissée pour morte, sur la table basse. Et cette même grimace, éternelle, de douleur, étirant ses pulpes en essayant de se lever. L’échec d’une première tentative et l’injure étrangère qui roulait hors des lippes charnues, tenant presque fièrement sur ses gambettes la seconde main. Elle lui passait à côté, pour prendre un verre d’eau. Éteindre les étincelles d’amertume, résidant en son fort intérieur. L’émotion balayée, quand bien même, des traces d’humidité apparaissaient sur ses pommettes, bien trop souvent caressées par une peine incommensurable. L’hésitation, elle, était réelle : Marla, elle ne voyait plus vraiment sa vie sans Noah dans les parages et pour autant, s’il n’était plus là, sa tête brune le ressentirait. Soulagée. Les minutes passaient et elle ne disait toujours rien, la croupe pressée contre le comptoir de la cuisine. Prunelles perdues dans un flou étranger. Maelström de songes. Les tempes pressées par ses doigts. « À quoi bon ? » Que sa voix mélodieuse finissait par laisser passer. « Quel intérêt t’aurait à me garder dans ta vie ? » S’il lui ouvrait des portes et lui offrait une certaine protection, Marla, elle, n’avait rien à offrir. Elle ne faisait que prendre et emprunter, en espérant, pouvoir rendre la pareille, un jour. « Je n’ai rien à t’offrir. » C’en était presque désolant, cette misère intempestive. Ce regard désabusé que sa beauté lui offrait, en guise de réponse. Les mains se posaient sur ses cuisses fébriles, ne supportant pas de rester debout trop longtemps. Si faiblarde qu’une brise pourrait la briser et l’envoyer valser, Marla. « Et je ne veux plus profiter de toi. » L’approcher pour son argent, Marla, elle n’en voulait plus, de ces avantages lui donnant l’eau à la bouche. De ces billets qu’il pouvait agiter sous ses pupilles dilatées par l’envie de toujours plus s’en sortir. Survivre : quête quotidienne. « Qu’est-ce que tu veux, toi ? » Elle ne donnait pas encore de réponse, la poupée, refusant de se dévoiler plus intimement. Plutôt se mutiler que d’avouer qu’elle s’y était attachée, qu’elle voulait sincèrement être son amie. Avoir été là pour lui quand il avait besoin de parler lui avait fait du bien, mais Marla, elle avait les ressentiments sous sourdine. Si démonstrative avec son corps et ses affections, mais le cœur se faisait timide, pudique. Refusant les déclarations d’amitié et d’amour. Pas encore prête à tout perdre. Et puis… « Est-ce que je te plais, Noah ? » Qu’elle demandait, d’une impulsion. « Est-ce que tu as des sentiments pour moi ? » Retour à l’expéditeur, face à ce qu’il lui avait demandé, la veille, dans ses messages. Qui l’avait fait plus rire qu’autre chose, sans exclure l’hypothèse que cela pouvait être réel du côté de Noah. Après tout, il semblait blesser sur le moment, face à l’hilarité de la poupée. Et ses prunelles se redressaient, pour scruter celles de Noah, à peine éclairés par le clair de lune. Chercher une étincelle de sincérité. Un bruit de télévision en fond. L’océan heurtant les abysses.
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(#) Dim 3 Jan - 9:18
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S'il y a bien une chose que j'ai appris, au fil des années, c'est qu'on peut toujours trouver son compte quelque part. Même si on ne s'y attend pas, il y a toujours quelque chose à récolter, quelque chose qui pourrait nous avantager. La relation la plus bizarre et improbable peut nous apporter du positif et je ne sais pas pourquoi, je suis presque persuadé que ça pourrait être le cas, entre Marla et moi. A quoi bon se battre sans cesse ? Cela ne nous apporte que de la rancoeur et du ressenti négatif, alors qu'on pourrait s'entre aider. Je vois bien la surprise son visage quand elle me demande à quoi bon, alors que je suis debout, prêt à quitter le luxe de son loft si elle me le demande. Je n'insisterais pas, je me contenterai de respecter sa demande. J'hausse les sourcils en regardant autour de moi, "Rien à m'offrir ?" Je ris en secouant la tête : comment peut-elle être aveugle sur ses propres qualités ? Comment peut-elle se rabaisser, elle qui était dans la rue il y a six mois et qui se retrouve aujourd'hui dans un loft pareil en plein Manhattan ? Est-ce qu'elle le fait exprès ? Est-ce un jeu, auquel elle joue ? Je regarde la demoiselle et j'attends quelques longues secondes avant de répondre à sa question : ce que je veux ? "Je veux juste qu'on arrête de se faire la guerre. Que tu arrêtes de me faire la guerre" Parce que je continue de le dire haut et fort : cette guerre, elle la fait toute seule. Je n'en ai jamais voulu et je ne me suis jamais réellement battu. Oh, ça non. Elle ne ferait pas la fière, si je m'étais vraiment battue, Marla. Une trêve, un accord de paix, c'est tout ce que je demande et c'est d'ailleurs pour ça que je me suis déplacé aujourd'hui, pour ça que je lui ai dit tous ces mots précédemment. Puis cette question. Totalement absurde, qui sort de nulle part. Mon regard ne quitte pas le sien mais ma surprise se veut présente sur mon visage. "Je ne suis pas très difficile, en terme de femmes", que je lance en haussant les épaules. Bien sûr, j'ai un style, comme tout le monde, mais on ne pioche pas exclusivement dedans. Mettez Marla et Bella à côté et on voit bien, qu'il y a une petite ressemblance, un.. style. Mais elle a beau être mon genre de femme physiquement parlant, cela ne vient en rien se mêler à de quelconques sentiments. "Je suis absolument dingue, de la femme avec qui je suis.", que je réponds. "Je n'ai pas de sentiments pour toi, Marla. Juste de la sympathie, pour une raison qui m'échappe quand je pense à toute la haine que j'ai récolté de ton côté." Je soupire doucement et je m'avance vers la porte d'entrée de son loft, me tournant vers elle en lui souriant. "Je t'ai donné la vérité que tu voulais. Fais-en ce que tu veux, ça m'est égal" Si elle ne veut pas croire en la sincérité de mes mots, alors tant pis. On ne pourra pas dire que je n'ai pas essayé et pour moi, c'est le principal. Avoir essayé.

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