Belle matinée (Tizibel) #5

22 septembre – 9h00.

Abel il se réveil enfin, la tête un peu dans le cul, il à vraiment besoin de son habituelle café clope, mais avant, il faut qu’il secoue son frère de gang, alors doucement il s’approche du lit de Tiziano, et dans un élan de connerie il table-flip le lit. « Aller debout ma précieuse. » Abel il rigole un peu, il n’a pas envie de s’emprisonner de nouveau dans un sale mood comme la veille, alors il faut au moins ça pour bien commencer la journée. Le métis il jette un regard sur son meilleur ami, l’italien qui à chuter contre le sol, allait-il râler ou bien comprendre la supercherie d’Abel ? Ce dernier ne risque pas de rester en vie très longtemps si le rital est de mauvais poil, alors il lui sourit et il ajoute « Aller viens je te sers ton café et je te donne une clope, ça te va ? » Abel il sort rapidement de la chambre pour aller dans la salle commune pour servir deux tasses de café qu’il dépose sur la table, il salut quelque gars qui sont déjà réveillé et il attend un peu avant de finalement retourner dans la chambre avec les deux cafés qu’il dépose sur la table de chevet. Il tend une cigarette à Tiziano et il s’en allume une dans la foulée. « Bon, aujourd’hui on se bouge un peu pour ta soirée, après le déjeuné j’irais rejoindre Casey au salon de tatouage, faudrait que j’y soit pour quatorze-heure. » il tire sur sa cigarette et attend de voir ce que son meilleur ami va lui proposer.

@Tiziano Castello

22 septembre – 9h00.

Sans même comprendre ce qu’il vient de se passer. Tiziano ce réveil avec perte et fracas ! Il entend la voix d’Abel. « Espèce de connard ! » Lâche-t-il avant d’émettre un léger rire. Tiziano, il est rarement de mauvais poil le matin. Surtout que malgré tout, il a bien dormi cette nuit. « Tu as plutôt intérêt enfaite ! Si tu ne veux pas que mon humeur ne change pas. » Alors qu’Abel quitte la pièce, Tiziano enfile un jean et un tee-shirt. Bon, Tiziano au réveil ne faut pas trop lui en demander non plus. Il faut qu’il émerge de sa nuit. Et il ne peut pas le faire sans un café et une clope. Lorsque Abel revient, Tiziano remets tout en place et s’assoie sur le lit, il s’allume une clope et prend le café. « Merci. Yes ! Nous avons pas mal de boulot en plus ! » Il boit un peu de café, même s’il est encore bouillant. « Il va falloir que je mette des gars sur quelques coup avant que l’on commence à bosser sur le reste. »

22 septembre – 9h00.

Abel il bois un peu de café, il se crame un peu la bouche, mais il en a grandement besoin, puis il tire sur sa clope, et finalement ses yeux se pose sur Tiziano. « Pas de soucis, vois avec les mecs, et on avise après, je pense que je peux gérer seule pour les groupes électrogènes, met si tu veux venir, je te promets une mission éclaire, et avec aucun accro, je crois que le gars n’est pas chez lui en ce moment. » Abel il sait que ça leur fera du bien une mission sans aucuns problèmes pour une fois, alors il ajoute « Demain soir ? » Abel il tire une nouvelle fois sur sa clope, et rapidement il la termine et l’écrase dans le cendrier, cette fois il était temps de boire son café. Il en boit plusieurs gorgées minimes pour s’habituer à la chaleur du liquide, et il boit la moitié restante d’une traite, il lâche un soupire avant de poser la tasse. « Bordel que sa réveille. Bon, on se bouge de la piole ? » Ils seraient certainement mieux dans le bureau de Tiziano avec une carte de la ville pour planifiés les choses.

22 septembre – 9h00.

Le café lui fait du bien. Les idées de Tiziano se mets tranquillement en place. Il tire de nouveau sur sa clope avant de lui dire simplement : « J’marche avec toi pour les groupes. Ça me fera du bien de bouger un peu. » En effet, si Tiziano reste enfermé chez lui à rien foutre, il va ruminer encore et encore. « C’est parfait pour demain mec ! » Il termine sa clope ainsi que son café par la même occasion. « Tu m’étonne ! Mais j’te jure que cela ne vaudra jamais le café de la mama ! » Lance-t-il avec un petit brin de nostalgie. Cela fait un mois qu’il n’a pas eus de nouvelle de sa mère. Enfaite, depuis qu’il a été contraint de l’interné de force. « C’est parti ! J’vais vite fait voir les gars pour leur dire ce où ils doivent se planté aujourd’hui. Nous, on va aller faire un petit tour dans le stock. »

22 septembre – 9h00.

Abel il l’écoute et il ressent bien que le rital il à besoin de positif, alors il sourit quand il sent la nostalgie de l’italien qui parle du café de sa mère, Abel il ne sait pas trop quoi dire alors il se contente de ne rien dire, et puis Tiziano il se bouge un peu, et Abel le suit, le stock, c’est vraiment quelque chose de très important pour le gang, si jamais le stock commence à baisser, le gang aura du mal à suivre le rythme de la demande, alors en effet c’était très important que les stock soient régulièrement vérifié. « Va pour le stock, d’ailleurs la production ça va en ce moment ? » Car si Abel n’est qu’un simple membre, il s’intéresse quand même à ce qu’il y à au-dessus, il aime savoir ce qu’il vend, et s’il peut promettre une nouvelle arrivée à ses clients. Il s’étire un peu le métis, il prend les tasses, et il les dépose dans l’évier de la cuisine commune au passage, suivant ensuite Tiziano, il allait l’écouter parler au gars pour leur donner leur point de vente pour la journée, et ensuit ils iraient voir où en sont les stock de drogue.

22 septembre – 9h00.

« Il me semble qu’Elias est sur une nouvelle drogue, mais je n’ai pas trop de nouvelle. Il faut que je le croise pour voir ça avec lui. » Tiziano, il file voir les quelques membres qui sont dans sa branche pour discuter avec eux, et les missionner pour la journée. Il leur parle aussi de la soirée qui aura bientôt lieux. Lorsque tout est bon, il rejoint Abel, lui donne une tape dans le dos. Ils sont partis les corbeaux. Ensemble, il se dirige vers l’endroit où est stocker la drogue. Tiziano, il espère que tout va bien pour le coup, car là.. Si tout roule comme il le désire. La soirée risque d’être super ! « Lorsque tu partira rejoindre ton salon, j’irais voir Lenny. » Lance-t-il avec un petit sourire. Puis aussitôt après, il rit avant de claquer : « Bordel ! Tu ne peux même pas t’imaginer comment j’ai envie de me la jouer chef lorsqu’on sera là-haut ! »

22 septembre – 9h00.

Abel il écoute l’italien, et il rigole, c’est vrai que lui il écoute principalement les ordres que lui donne Tiziano, car il n’a pas réellement de contact régulier avec leur sous-chef et encore moins avec le big boss. Il lui donne une grande tape dans le dos, avant d’ajouter. « Aller grande folle prend tes couilles et fait le ! Je crois que le boss et le sous-chef son pas là. Profite de ton heure de gloire. » Abel il rit encore, car il sait que son ami en est tout à fait capable, et en même temps il aimerait beaucoup voir la scène, alors bien entendu que le métis il le pousse à le faire. Et puis bien entendu Abel il en profite pour ajouter « Si tu le fait, je joue les sous-chef, rien que pour le fun » bien entendue les gars la-haut ils vont vite comprendre que les deux amis leur font une belle blague à leur sauce, et qu’il n’y à rien de sérieux, alors Abel il garde le sourire, et il fait signe à Tiziano de monter.

22 septembre – 9h00.

Cela fait un moment que Tiziano n’a pas croiser Roan ou même le big boss. Tout ce qu’il espère, c’est que tout se passe bien de leur côté. Pour l’instant, Tiziano, il compte bien se faire un peu plaisir. Après tout, sa place il l’a mérité ! D’autant plus, que le métis le pousse à le faire. « Non mais, t’e mon bras droit mec ! » Certes ce n’est pas vraiment officielle. Mais comme les deux CR sont toujours l’un avec l’autre. C’est régler. Bon pour le coup, la gueulante de Tiziano n’aura rien de vraiment sérieux ! Il va même falloir qu’il prenne sur lui pour ne pas exploser de rire. Il finit par monter pour rejoindre le lieu de stockage. Les corbeaux présents ne sont pas nombreux. Le regard de Tiziano est dure. Ils les regardent un par un. Puis il s’avance dans le plus grand silence. « Sérieux, mais qu’est-ce que vous foutez ! Vous croyez que vous étes ici pour vous branlez ou quoi ? »

22 septembre – 9h00.

Abel il suit son meilleur ami qui vient de lui attribuer un rôle qui n’existe pas réellement au sein des CR, mais le corbeau il s’en fiche, du moment qu’il fait le travail qu’on lui demande, et qu’il reste dans les clous, il veut bien endosser tout les rôles du monde qu’on lui confiera, surtout si il peut travailler en coordination avec Tiziano, car il fallait le dire, les deux ensembles ils arrivaient toujours à se sortir de n’importe quel impasse. Abel il observe le rital faire sa petite crise non sérieuse, et il manque de rire, se retenant de toute ses forces avant de lui-même prendre la parole. « Allez bande de feignasse à frange, au boulot, vous avez entendue, vous êtes ici pour bosser. » Les quelques CR présent ne comprenne pas réellement ce qui leur tombe dessus, et Abel il n’est pas doué pour ce genre de chose, alors c’est le premier à exploser de rire en voyant les moue interrogatives sur les figures de ses camarades de crimes.

22 septembre – 9h00.

Il s’est très bien qu’Abel va avoir lui aussi du mal à se retenir de rire. Puis dans un élan de connerie, il continue à faire son faux furax ! Il s’approche d’un des CR : « Toi, tu me fais chier ! Ou est-ce que tu en ranger la prise péritel pour de WIFI ! Je t’ai déjà expliqué que l’on n’attache pas les sachets avec le fil de la wifi merde ! » L’un des CR commence à rire. Il le regard, il s’avance vers lui, puis il croise les bras d’un air hyper sérieux. « Et toi ! Tu vas aller me chercher la casserole carrée pour éviter que le lait ne tourne pas. Et puis, il va peut-être falloir mettre cette putain de fougère ! J’en ai besoin pour avoir l’occasion de me cacher avec le fil de cette foutu wifi ! » Il continue à les regarder sérieusement. Le pire, c'est que les gars ce regarde en cherchant à comprendre ce qu'il vient de dire.