La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
Dans Manhattan tu es Thomas, cet homme qui doit se faire si bon et qui n'as pas le même divertissement que dans Brooklyn. et pour une fois depuis longtemps tu fais quelques choses qui t'intéresse réellement. Ta vie vas à toute vitesse en ce moment, métro boulot dodo, c'est exactement ce qui résume ta vie comme des milliers de Américain, tu n'as plus le temps pour ta petite sœur qui est venu vivre chez toi pour quelques temps. Mais aujourd'hui, tu prends ton temps et tu pars penser à autre chose qu'à ce coronavirus, ce fameux covid-19 qui fais en sorte que tu fasses des heures interminables à l'hôpital en tant qu'interne. La tête dans les étoiles, à la découverte des planètes, tu ne regardes pas spécialement où tu met les pieds qui se trouve eux sur terre. Mais c'est soudainement que tu te retrouves percuté par une jeune femme aux cheveux court reflet blond plutôt appétissante mais tu n'es pas là pour te mettre quelqu'un sous la dent. Tu te dois de rester un homme respectable qui ne pense pas qu'au sexe. Vous étiez dans les étoiles. Thomas ce que tu peux être lourd avec tes jeux de mots plus que navrant. Vous inquiétez pas, il n'y as pas de mal. Et puis je peux comprendre je ne regardais pas moi-même. Que tu fais savoir à la ravissante femme afin de la rassurer. Apres tout tu es beaucoup plus fort qu'une simple bousculade. Un besoin d'évasion, vous aussi ? Que tu lui demandes afin de poursuivre la conversation.
Novembre est à nos portes, mais Halloween s'impose impérieusement avant le mois des morts. La RHC a décidé d'organiser un grand banquet costumé ouvert à tous afin de se réunir pour se rappeler à quel point il était bon d'être ensemble et surtout pour oublier la terreur qu'éveillait les gangs et @The Vigilante. Un banquet où les rires seront plus forts que les larmes et le plaisir plus fort que l'angoisse. Sauf que nous sommes sur un lieu que l'on dit hanté et que certains murmures ne sont pas ceux des convives.
Méfiez-vous visiteurs, Halloween réserve souvent des surprises et pas que des bonnes...
Détails
Où : L'ancienne culture de citrouille
Heure : 21h00
Quand IG : 30 Octobre 2020 Quand IRL : 25 Octobre 2020 jusqu'à inactivité
Qui :Ouvert à tous
À ajouter dans vos rps pour signaler votre entrée/sortie
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Le corps de Lawrence était complètement détruit par la chute de cinq étages qu’il avait faite en tentant d’escalader le mur extérieur séparant la fenêtre de la cuisine de celle de la chambre de sa sœur aînée en état de crise. Le fait qu’il ait été complètement épuisé physiquement et mentalement, qu’il ait une jambe brisée et qu’il ait été inconscient quelques instants avant qu’Hope lui annonce que sa sœur s’était enfermée dans sa chambre n’avait pas arrêté son geste. Il avait toujours été comme ça, sa sœur passait avant tout. Sauf que cette fois, son impulsivité et sa surdité face à l’épuisement de son être lui avait presque été fatal.
Brisé. Son esprit était brisé par tout ce qui se passait dans sa vie. Entre l’abandon de ses collègues des forces de l’ordre, sa boutique qui était en train de le mettre sur la paille, ce plâtre hérité de la violence rencontre avec la femme de Connor, le viol d’Hope par un de ses collègues de travail et l’arrivée de sa sœur autiste dans sa vie de façon permanente, il n’avait plus eu le loisir de complètement se détendre, depuis un long moment. C’était normal que son corps ait choisi de flancher à cet instant.
Cassé. Quelque chose s’était cassé en lui, il avait perdu de sa joie de vivre si caractéristique. Était-ce parce qu’il s’était aperçu qu’il n’était que de passage dans la plus grande majorité des vies qu’il frôlait de sa présence ou simplement parce qu’il avait l’incroyable impression d’être un raté? Peut-être un peu de ces deux théories. La seule chose que le policier savait à cet instant c’était qu’il n’avait plus nécessairement envie de se battre. C’est là que son cœur lâcha une première fois dans l’ambulance. L’acharnement des ambulanciers à le maintenir en vie l’empêcha de trouver le repos éternel auquel il aspirait sans même le savoir.
Fracassé. Tout son corps lui faisait mal. Qui avait dit qu’on ne souffrait pas lorsqu’on était dans le coma. Après de longues heures passées au bloc opératoire à se faire réparer le corps et les organes de tout ce qui avait été brisés et déchirés, on l’avait transporté aux Soins Intensifs, intubés, sur moniteur et sur respirateur. Pourquoi? Simplement parce que dans son coma, Lawrence n’avait pas encore décidé si vivre l’intéressait encore, donc son corps refusait de réapprendre à respirer par lui-même. On aurait pu croire qu’il était mort si ce n’était des capteurs sur ses tempes qui percevaient une activité cérébrale.
Mort. Par deux fois, son cœur flancha au point qu’il mourut techniquement pendant quelques minutes. Oui, son esprit avait choisi que la mort serait plus favorable et accueillante que vivre. Sauf qu’il entendit le nom de Viola et d’Hope pendant qu’on s’acharnait à vouloir le maintenir en vie. Comme quoi il n’avait pas le droit de les abandonnés, qu’il n’avait pas passé à travers toutes ces opérations pour crever anonymement dans un lit d’hôpital.
Viola. Sa sœur avait encore besoin de lui. Elle était peut-être bien la seule à avoir besoin de lui.
Hope. Non…elle aussi avait besoin de lui.
Il n’avait pas le droit de mourir. Pas aujourd’hui. C’est ainsi que trois jours après sa chute du cinquième étage de son immeuble, Lawrence ouvrit ses yeux. Encore foutrement souffrant mentalement, mais décidé au moins de ne pas mourir.
Tiziano a mit tout en place pour organiser une soirée pour les CR. Une soirée avec quelques invités externe à la famille des Corbeaux. Le but étant de vendre un maximum et pourquoi pas obtenir de nouveau petit client sur le long terme. La soirée à lieu dans un ancien entrepôt que Tiziano a réussit à obtenir par le propriétaire du lieu. Un homme que les CR ont une paire de fois « aidé ». Un endroit où le son de la musique ne dérangera pas spécialement le voisinage. Avant que tout soit mis en place, le gérant de la branche de drogue à mit au parfum les corbeaux qui sont charger de la drogue. Un bar a été mit à disposition avec quelques serveurs et la musique commence déjà a raisonner dans l’entrepôt. Quelques personnes sont déjà présentes à l’endroit. Tiziano, lui est tranquillement installé à l’une des tables de fortunes. Maintenant, restent à voir si la soirée sera aussi profitable et bonne que ce qu’il l’espère.
Lieu : Un entrepot vide, réaménager pour la soirée sur Staten Island. A savoir : - Un bar paiment est a votre diposition. (première conso gratuite) - Des tables sont a votre disposition. - Un DJ est présent, la musique resonne dans l'entrepot. Une piste de danse est aussi présente. - Des corbeaux sont spécialement présent pour vous vendre de quoi vous amusez. Qui : Les corbeaux + tout les joueurs désirons profiter de la soirée.
❝ donne moi l'courage d'aller bouffer tous les nuages. écoute mon cœur, écoute la rage, écoute ce texte anthropophage. ❞La chute de l'empire des pétales. Andrew O'Flanagan adorait son travail. Célibataire depuis la naissance à cause d'un physique plus que disgracieux, il avait trouvé le véritable bonheur seulement lorsqu'il était devenu inspecteur pour la compagnie d’assurance : À votre bonne santé ! Pourquoi? Parce qu’il aimait trouver les petites failles des contrats et annoncer de son ton le plus doucereux avec une mine faussement compatissante qui ne bernait personne qu'en fait, l'incident ne serait pas couvert et remboursé par sa compagnie. Chaque contrat était unique, bien évidemment mais ils avaient tous un point en commun : ils avaient tous une failles qui donnait presque entièrement toujours raison aux assureurs.
Dans ce cas-ci, il n’avait même pas eu besoin de chercher une faille dans le contrat puisque celui en charge avait oublié de payer sa cotisation depuis six mois. Bien sûr, l'homme avait tenté de l’amadouer en lui promettant de payer les mois manquant d’un coup, mais c’était impossible. « Si c’était aussi facile, on ferait faillite monsieur Swamson... » s’était moqué le courtier en chantonnant en continuant d’évaluer les pertes. À tous les coups, il recevrait les félicitations de ses patrons pour ce dossier. Après tout, les compagnies d’assurance détestais payer. Sauf que le fleuriste accepta mal le résultat de son évaluation et la confirmations qu’ils ne paieraient pas puisqu’il se saisit de son col de chemise pour le secouer. « C’est….109 800 dollars….pour être exacte… » Croassa t-il difficilement, la gorge serrée par la poigne de cet homme qui ne ressemblait pas à un fleuriste. « Je vais…appeler la police ! » Rajouta t-il lorsque Swamson l'eut jeté au sol. Joignant les gestes à la parole, il composa le numéro des policiers sous le rire presque démoniaque du fleuriste qui sembla trouver son geste désopilant.
Pourquoi était-ce lui qui tombait toujours sur les fous?
J’étais complètement hors de moi, je n’arrivais juste pas à y croire. La boutique était dans j état de ruine avancé. Trempé des pieds à la tête, un air profondément épuisé bien que colérique et dément inscrit sur chaque trait de mon visage. J’avais réussi à évacuer l’eau, mais à quel prix ? L’eau avait déjà tout saccagé, les sols étaient parsemé de fleurs aux pétales déchirées et de boue nauséabondes, les murs sentaient la moisissure et j’avais même trouvé de l’amiante en ouvrant celui de la salle des employés. L’eau avait complètement détruit l’électricité de l’immeuble, me plongeant dans une obscurité angoissante. Détruit…malgré tous mes efforts, tout ou presque serait à arracher et à reconstruire en neuf. Mes doigts étaient si fripés par l'humidité permanente dans laquelle ils avaient été plongés en quasi permanence ces dernières heures que la peau saignait de partout. J’étais dans un état lamentable et je n’avais qu’une envie, boire un verre -veuillez comprendre une bouteille- de bourbon bien caller dans une baignoire bouillante, Connor entre mes cuisses…mais c’était impossible pour le moment vu que le mec des assurances venaient de terminer de faire le tour de l’atelier pour évaluer les dommages.
« COMMENT ÇA, VOUS NE PAIEREZ PAS ? ON PARLE DE 100 000 PUTAIN DE DOLLARS! » Grognais-je violemment en attrapant le col du misérable agent d’assurance maigrelet, au teint cireux et au costume pelucheux qui semblait venir d’une autre époque. J’avais envie de lui enfoncer sa putain de tête de croque-mort aux cheveux graisseux dans son cul tellement sa mine satisfaite me répugnait et m’horripilait à cet instant précis. Il semblait tellement heureux de m’annoncer que je devais tout payer les dommages causés par le bris des canalisations de ma poche ou déclarer faillite « Vous ne pouvez pas sérieusement ne pas m’aider bordel! Je n’ai pas 100 000$ ! Personne à 100 000$ et vous le savez ! » Continuais-je à l'engueuler en le secouant comme un prunier, malgré ses supplications pour que j’arrête.
Need for SpeedBedford avenue, la nuit à son plus sombre…et pas une voiture de flic à l’horizon. Les dimanches étaient l’une des meilleures journées pour courser dans l’illégalité puisque la populace se couchait tôt pour recommencer leur routine de la semaine à venir. Nous ne serions pas dérangés par des soulards ou des camés, enfin…pas en grande quantité en tout cas. Ma mustang noire remaniée pour la course de rue bien stationnée sur la ligne de départ aux côtés de six autres bagnoles, j’observais les bolides de la compétition avec un air moqueur d’inscrit sur mon visage. Normalement, je ne courrais pas avec ce groupe alors je n’avais aucune idée de ce que j’allais affronter. Marley m’avait simplement appelé quelques heures plus tôt pour me demander si j’avais le temps de participer à une course puisqu’il lui manquait un pilote et bien que le check up de ma voiture n’était pas fait, j’avais accepté. J’avais besoin de me défouler…besoin de ce surplus d’adrénaline pour me sentir vivant et tout oublier les merdes qui se tombaient sur la gueule dernièrement…et pour cesser de me sentir seul. Terriblement seul.
Le flot de spectateur circulait encore entre les différentes voitures, commentant les moteurs des uns, les peintures des autres pendant que des femmes circulaient entre les bagnoles, très peu vêtue. Les joies du monde de la nuit. Bien évidemment, les films comme Rapide et Dangereux avaient une forte influence sur ce qui se passait ici et sur les agissements des plus jeunes, mais au final, c’était beaucoup plus drôle qu’exaspérant. « Hey, ma jolie » Sifflais-je à voix haute en direction d’une jeune femme vêtue d’une jupe de jeans si courte qu’on voyait le galbe de ses fesses et d’un soutif en dentelle rouge sans rien par-dessus. « Tient prend ça pour donner le départ, si tu ne veux pas utiliser ton soutif » Rajoutais-je en sortant un drapeau à carreau de ma bagnole sous les cris outrés de la foule et des conducteurs qui espérait sans doute se rincer l’œil un peu.« Arrêtez de jouer vos chiens en rut et aller prendre place derrière votre volant, j’ai une course à gagner » Dis-je en sortant le 1000$ d’inscription en billet de banque pour le tendre au bookmaker. Ici, je n'était plus Lawrence, le flic ou le fleuriste, j'étais Cactus, le mec à la Mustang de Ghostbuster. Ici...c'était la vraie vie qui se jouais.
Depuis quelque temps, je ne me reconnais vraiment plus. Je sais que j'ai changé par bien des côtés, je suis devenu moins naïf et heureusement, mais je sens que je suis également devenu plus sombre. Il y a eu cette dispute avec Momoka, j'ai pris conscience à ce moment-là, que je devais arrêter de me laisser marcher sur les pieds. Bien que je sois toujours ce mec gentil, j'ai cette sensation que je suis capable de me comporter de manière beaucoup plus froide et méchante maintenant. De toute manière, on ne peut pas vivre sa vie de cette manière, on doit pouvoir aussi faire preuve de dureté et je crains l'avoir compris bien trop tard. J'en ai d'autant plus pris conscience lors des obsèques de mon grand-père. Je le connaissais très mal, mais le peu que je savais de lui était que c’était un véritable roc, aux idées bien arrêtées et aux méthodes parfois douteuses et pourtant, il était respecté par énormément de monde. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé pour de bon que la noirceur avait du bon, dans certaines situations. Malgré tout, je ne voulais pas non plus renoncer à mes principes, je souhaitais rester le plus honnête possible avec moi-même. La gentillesse était toujours récompensée et la méchanceté punis. Je suis peut-être encore un peu idéaliste, mais c'est comme ça qu'on m'apprécie... En tout cas, je l'espère.
Cependant, aujourd'hui, j'avais cette sensation que je devrais me montrer bien moins gentil qu'à l'accoutumé. J'avais énormément de boulot pour Momo, puis je devais également retourner à l'ASPCA, faire un tour dans le bronx, si je ne trouvais pas de pauvre chat ou chien abandonné. C'était autant de sources de stress, qui, je le sentais allait obscurcir ma bonne humeur. Je le sentais très bien en sortant de chez moi, pour remonter une des principales artères de Manhattan pour rejoindre Rakuten US. J'ignore pourquoi, mais, bien avant que cette situation se présente à moi, je savais que j'allais finir de mauvaise humeur bien avant d'arriver au travail, ce matin. Ça ne manqua pas, quand ma mallette s'écrasa au sol, éparpillant mes dossiers un peu partout sur le trottoir, quand une personne me percuta violemment l'épaule. « Bordel ! Vous ne pouvez pas faire attention où vous marchez ? », lançais-je en me tournant vers la personne, avant de m'agenouiller pour essayer de rattraper mes papiers avant qu'ils s'envolent tous.
A Fiery throng of muted angels giving love but getting nothing back. People help the people, and if your homesick, give me your hand and I'll hold it. People help the people, and nothing will drag you down.
la main glisse dans les cheveux azurés avec une nervosité non-dissimulées. les allées, restaurants, magasins, bijouteries, lui donnent le vertige de par leur nombre, de par leur bruit. voudrait-il s'enterrer, lui qui a récemment perdu toute énergie, rongé par l'angoisse et le désespoir de savoir un proche dans un état pitoyable, rongé par la brûlante sensation de ne rien pouvoir y faire. voudrait-il ne pas être là. pourtant, n'est-ce jamais que le meilleur moment pour être là ; lui qui se morfond des peines que lui offrent sa vie convenable, qui oublie chaque jour les horreurs que furent le quotidien de sans-abri. lui qui a fréquenté la rue, sa violence, mais aujourd'hui s'octroie trop souvent le luxe d'oublier quand eux ne le peuvent pas. c'est dans ces instants de faiblesse que ((h a n s e o l)) retrouve du cœur à l'ouvrage pourtant, et plus que jamais, ressent ce besoin de venir en aide à ceux qui ont perdu foi en l'Homme, et n'attendent plus personne sur qui compter. alors se perd-il dans les dédales. les bras sont chargés d'un carton usé, probablement tiré d'un de ses déménagements. les vêtements s'empilent dans celui-ci lorsqu'il passe de boutique en boutique, quémandant poliment les articles abîmés des réserves au nom de la RED HARVEST CROSS ; cependant, rares restent les magasins qui lui font don, et ses espoirs s'amenuisent au fil des heures. épuisé, le coréen finit par s'installer en terrasse d'un café, un milkshake dans la main, le fruit de ses efforts à ses pieds. jusqu'au drame ; deux enfants en pleine course qui se prennent les pieds dans le carton, lequel se renverse au sol. et lui qui, dans un réflexe absurde, se relève d'un bond, renverse la boisson sur les vêtements durement obtenus. se fige, s'autorise une grimace anéantie, finalement se rassoit en gémissant ; le dos de la main vient masser le visage fatigué. « merveilleux... »
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