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Uniforme de Lawrence:

C’était un véritable zoo ici. Entre ceux qui paniquaient et les surexcités qui tentaient de prendre en photo la scène de crime, conserver ce putain de masque qui cachait mon visage afin de voiler mon identité se révélait être un véritable calvaire. Par chance, plusieurs de mes collègues arrivèrent en renfort. Les saluant alors qu’ils se dirigeaient vers des gens pour tenter de disperser la foule. Sauf qu’à mon avis, ce n’était PAS une bonne idée…sauf que tant que je resterais simple officier, jamais je ne pourrai prendre des décisions. Peut-être était-il temps de passer mon examen pour devenir lieutenant? « Monsieur Mancini » Fis-je la lecture de la carte d’identité. Cet homme semblait nerveux, sa main tremblait et il ne semblait vraiment pas à l’aise devant moi. « Vous êtes pressé de partir monsieur? » Demandais-je en gardant sa carte de service afin de conserver sa trace. Mon regard passa aux deux femmes qui l’accompagnaient. Aucune ne semblait vouloir faire de mouvement pour bouger. « Vous savez que de ne pas répondre à une demande officielle d’un agent de police est considéré comme de l’obstruction à la justice et passible d’un arrêt et même passible de sanction judiciaire? » Demandais-je avant de tourner mon regard vers l’avocat. « Monsieur pourra sans doute vous le confirmer » Rajoutais-je en désignant Noah. « Vous pouvez partir Monsieur Mancini, mais il se pourrait qu’on vous appel bientôt » Annonçais-je d’une voix autoritaire.

Salue distraitement tous ses collègues nouvellement arrivé {#}fdo{/#} et choisi de se concentré sur les gens qu'il a interpellé. Trouve le silence des femmes {@=1076}Axel Simons{/@} et {@=596}Arabella Vanderosen{/@} suspect, mais beaucoup moins que l'attitude de {@=1005}Noah Mancini{/@}

Vous êtes en voiture, en patrouilles déployées sur tout New York, prêtes à intervenir si le besoin se fait ressentir. T'es toute courbaturée, t'as tout donné à ta séance d'entraînement la veille et t'as super mal dormi, ton chien a été malade. Tu soupires en terminant ton Starbucks, maigre consolation, alors que ton équipier conduit en observant les alentours. Votre radio grésille et t'entends le code. Un corps a été découvert. C'est juste à côté de vous, vous êtes mobilisés. Tu lèves les yeux vers ton équipier, qui avait déjà appuyé sur l'accélérateur et tu déclenches les avertisseurs sonores et lumineux. Laissez passer.

Vous arrivez sur place en même temps que d'autres équipes. Les portières se claquent à l'extérieur du Musée alors que vous vous engouffrez dans le grand bâtiment. Deux lieutenants sont déjà sur place, et lorsque tu passes près de ton collègue de l'ESU Lawrence, tu le salues d'un geste de la main, avant de t'éloigner. Les gens sont en état de choc, mais ta priorité, c'est leur sécurité. Vous ne savez pas comment cet homme et s'il a bien été tué, vous ne savez pas par qui... ni si le tueur est encore là. S'il vous plaît, veuillez sortir dans le calme. Par ici, t'exprimes-tu d'une voix claire en effectuant des gestuelles vers la sortie, léger sourire qui se veut rassurant aux lèvres et qui contraste avec le ton cassant de la lieutenant. Tu en profites quand même, pour scruter leurs visages à tous. Parce que si assassinat avéré, le meurtrier est parmi eux. Et probablement parmi ceux qui tentent de rester pour surveiller le travail de la police.

Des équipes sont en extérieur pour écouter vos témoignages et vous rassurer. Vous retrouverez vos proches dehors. Les gens cherchent leurs amis, leur famille. C'est un brouahaha sans nom mais qui finalement, s'estompe, petit à petit, à mesure que les gens sortent du musée. Un coup d’œil à la scène te lève le cœur. Tout ce sang ; tu n'es pas nouvelle, mais il faut croire que ça te fera toujours quelque chose. Tu aperçois alors un jeu homme, {@=630}J. Warren Cooper{/@} protégeant une jeune fille ( {@=1179}Aurora Swan{/@} ). Tu te frayes un chemin jusqu'à eux et t'approche. Monsieur, tout va bien ? L'une d'elle faisait une crise de panique ? Respirez un bon coup, c'est terminé. Si je peux me rendre utile, dites-le moi.

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Uniforme de Lawrence:

La foule commençait à s’amasser dans une masse compacte, curieuse et avide de sensation forte. Debout devant le périmètre cachant la scène de crime, je vois même certains de ces connards sortir leur téléphone pour faire des selfies. Mais c’était quoi ces gens? Mon visage CACHÉ par mes grosses lunettes de vision infrarouge et le reste ne mon uniforme me couvrant en entièreté sauf mon menton, je savais que je pouvais aider mes collègues ici SANS CRAINDRE qu’on me reconnaisse…sauf que c’était sans compter la grande subtilité de certains de mes collègues, justement. Un long soupire franchi mes lèvres lorsque Mayer vint me rejoindre non seulement en utilisant mon surnom et mentionnant mon travail sous couverture. Mais elle était complètement folle ou elle me détestait vraiment au point de vouloir me faire buter? Bordel, ce n’était pas pour rien que je me faisais chier depuis huit ans à cacher ma véritable identité, que je ne développais pas de relation durable et que je me terrais dans une putain de boutique de fleur ! Me rapprochant d’elle, je lui ai saisi le bras et sans même remonter mes lunettes pour la regarder dans les yeux et j’ai murmuré en sifflant : « Tu cherches à me faire buter ou quoi? Bordel, t’a besoin qu’on te rappel le sens du mot infiltré? En passant, même si je ne porte pas mon uniforme à tous les jours, je reste un des vôtres alors arrête de te penser supérieur et aide-moi à empêcher ces idiots de prendre des photos du cadavre pour leur profile Community, t’es lieutenant, ça devrait être ta priorité plutôt que de tenter de faire de l’humour ». Oui, c’était agressif comme remarque, mais elle risquait ma vie avec ses vannes à deux balles! J’enquêtais pas sur des voleurs de glaces, mais bien sur des assassins, des membres de gangs et des meurtriers! Heureusement, Madelyn arriva à temps pour m’empêcher de pousser encore plus loin mes remarques acerbes. Évidemment qu’elle n’était pas en fonction, ses vêtements civiles le montraient bien qu’elle n’était pas la version flic d’elle-même. « Je propose que tu ailles interrogé les employés des lieux pour voir si des caméras couvre le périmètre afin de voir si on as des images du tueur. Lieutenant Mayer, je suppose que vous voudrez prendre les… » Commençais-je à dire avant de m’interrompre en voyant Hope. Merde…elle reconnaîtrait peut-être ma voix, celle-là. Me raclant la gorge alors qu’elle partait vers la pleureuse, je reprends ma phrase comme si de rien était : « …le contrôle des opérations pendant que je fouille les témoins ici présent? »

Très mécontent, rappel {@=1178}Ellie G. Mayer{/@} son rôle d'agent infiltré et le fait que ça doit rester secret avant de demander à {@=1180}Madelyn Sylvester{/@} d'aller voir les caméra de sécurité. Reconnait {@=1086}Hope Montgomery{/@} et ça le déconcentre légèrement avant de proposer à {@=1178}Ellie G. Mayer{/@} de diriger l'opération pendant qu'il fouille les témoins aka tout le monde. {#}fdo{/#}

« Ici Central, code 187 au Metropolitan Museum of Art. Que toutes unités à proximité se rendent sur place. »
Voilà comment, en dix secondes, une patrouille classique du soir mortellement ennuyeuse devenait une enquête pour meurtre. Les forces de l’ordre allaient affluer sur les lieux comme des gamins autour d’une boulangerie à la sortie de l’école. L’adrénaline afflue. «  On y va! »

A l’arrivée, beaucoup beaucoup de monde. Il devait y avoir un genre de soirée entre les murs du MMA. « Visiblement on est les premiers. Il faut fermer le périmètre, que personne ne sorte d’ici pour le moment. » Soufflais-je à mes coéquipiers en pénétrant dans le musée. Les cordons jaunes commencent à être tirés partout autour du musée. Vérifier les versions de tous les invités sur place, prendre leurs coordonnées… Ca allait prendre une éternité. Il fallait que les renforts arrivent... « Fermeture du périmètre en cours. Demande d’unités autour du périmètre pour inspecter les environs. Possibilité d’un ou plusieurs 417A à l’intérieur ou à l’extérieur du périmètre. Je me dirige vers la scène de crime. » En avançant vers les toilettes, d’où tout le monde fuyait en courant, je parlais calmement dans mon émetteur quand j'entendis quelqu'un parler d'une voix forte. « Je vais vous demander de garder votre calme et de reculer » Voilà de sages paroles, celles de {@=1004}Lawrence O. Swamson{/@} que je connaissais. Il avait réussi à arriver avant moi sur la scène de crime, pendant que je demandais aux officiers d'empêcher les sorties du musée. Foutu Larry, il ne pouvait pas s'empêcher de me voler la vedette.

J’avançais prudemment pour ne pas risquer d’endommager des preuves ou de me faire percuter par la foule qui s’éloignait désormais de la scène de crime. Je bute dans une femme complètement figée devant la scène, {@=195}Carter Carmichael{/@} « Excusez-moi Madame, vous ne pouvez pas rester ici. C’est une scène de crime maintenant. » Je pose une main rassurante mais ferme sur son épaule pour la faire partir mais elle semble perturbée, ce qui me semble normal vu les circonstances. « On va s’en occuper, ne vous inquiétez pas.» Je la contourne pour avancer jusqu'à Lawrence. « Salut Larry. Alors, tu n'avais plus de roses à vendre? Tu viens me piquer mon boulot? » Fis-je avec un sourire en coin. Je ne pouvais pas m'empêcher de me moquer gentiment de lui.

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Ellie arrive sur la scène de crime suite à l'appel aux {#}fdo{/#}. Les sorties du musée sont bouclées par les officiers. Elle parle à {@=195}Carter Carmichael{/@} pour lui faire quitter les abords de la scène de crime et se moque légèrement de {@=1004}Lawrence O. Swamson{/@} qu'elle connaît bien.

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Uniforme de Lawrence:

Il était assez rare que je ferme la boutique pour profiter d’un peu de temps libre et je l’avais fait aujourd’hui. De toute façon, si le proprio n’en était pas content, il pouvait se donner la peine de venir travailler un peu ou embaucher quelqu’un qui s’y connaissait vraiment en fleur! Main dans les poches, je me rendais lentement au QG des forces de l'ordre en faisait le plus de détour possible afin de rendre ma destination finale imprévisible à un observateur éventuel. Cette façon de faire générait une bonne perte de temps , mais assurait la conservation du secret sur mon appartenance aux forces de l’ordre. Sauf qu’une fois au QG, l’appel dénonçant le meurtre d’un homme très riche et connu de New York lors d’un événement pour la rentrée des associations me pris en sandwich entre le devoir et ma couverture ; on avait besoin de moi, mais à tous les coups, ça me grillerait pour de bon. « Je viens » Annonçais-je finalement avant de mettre mon uniforme de l’ESU spécial terrain. Uniforme noir, gilet pare-balles, arme de services et surtout, casque avec micro intégré qui cacherait mon visage presque en entier et ainsi mon identité.


Arrivé sur les lieux, quelques collègues ce sont occupés de verrouillé tous les accès qui pourrait éventuellement servir de voie échappatoire au tueur pendant que des patrouilles quadrillaient les environs extérieurs en cas de fuite déjà amorcé. « Je vais vous demander de garder votre calme et de reculer » Ordonnais-je d’une voix forte et calme en voulant créer un périmètre de sécurité qui isolerait la scène de crime afin d’éviter la contamination des éléments de preuves par des mains trop curieuse. « Agent 7 en place, devant la scène de crime. Besoin d’enquêteur et de renfort » Annonçais-je d’une voix étrangement sérieuse a mes collègues dans ma radio émetteurs.


Lawrence arrive sur les lieux du crime et établi un périmètre de sécurité pour protéger la scène de crime après avoir fait verrouiller toute les portes de sortie afin d’éviter d’éventuelles fuites. Seul les flics poster aux accès peuvent ouvrir les portes sur demande d’un supérieur. {#}fdo{/#}