(1.) Elle est la fille du papa mafieux, Aleksandr Zakhraov, elle ne connaît pas sa mère et n’a jamais demandé à la connaitre. Elle est bien vivante, mais elle n’a jamais supporté le travail de son homme, elle a décidé une année après son accouchement, de disparaitre à jamais. Inya a donc été élevé par son père et par son gang, elle ne connaît que des hommes depuis sa naissance et cela ne l’a jamais perturbé.
(2.) Inya n’a jamais voulu quitter le cocon familial, sa famille c’est le gang de la mafia, elle a découvert des gens extraordinaires, et pour elle, aucune de ces personnes ne sont des criminels. Ils travaillaient simplement pour gagner de l’argent et faire vivre leurs familles. C’est à ce moment-là que son père a vu qu’elle avait une bonne âme et qu’elle était faite pour reprendre les rênes après lui.
(3.) Elle n’a pas forcément eu une enfance simple, car son père comme ses potes étaient connus comme le loup blanc. Personne n’osait s’approcher d’elle, de peur d’avoir des problèmes et des représailles par la suite. Elle passa donc une grande partie de son enfance seule; ou avec les personnes qui étaient tout comme elle, rejetée. Mais Inya est passé au-dessus de ça, maintenant quand elle y repense, ça la fait sourire, car clairement maintenant, elle préfère être seule que mal accompagnée.
(4.) Elle adore la danse, elle pratique ce sport depuis maintenant des années. Elle n’a jamais voulu danser devant des personnes sur une estrade, elle préfère danser dans la rue avec ses amis. Se retrouver à minuit et quelques et danser jusqu’au bout de la nuit dans des endroits différents. Son père est au courant et cela ne l’a jamais dérangé, il y avait toujours quelqu’un de son gang qui était présent pour la surveiller et surtout la protéger.
(5.) Cette femme est totalement différente, elle a deux faces. La journée, elle est habillée très bien, tailleur, jupe, talons, toujours bien maquillée et coiffée. La nuit, elle porte simplement des jeans, des sweats, elle s’en fiche d’être maquillée ou pas. Elle n’a pas besoin de ça pour diriger la mafia, pour aller faire du sport et trainer avec des potes. Cette femme, c’est le jour et la nuit, c’est impressionnant.
(6.) Elle ne le cache pas, mais elle a des difficultés pour dormir, il est très rare qu’elle s’endorme seule. Elle couche un peu à gauche et à droite, mais parfois elle a juste besoin de sentir la présence de quelqu’un pour s’endormir. Depuis qu’elle a tué plusieurs personnes, elle n’arrive pas à se débarrasser de leur visage. Elle les voit dans son sommeil et quand elle se retrouve seule, elle se réveille facilement une dizaine de fois dans la nuit, transpirante, le souffle coupé.
(7.) Derrière ses airs d’ange, se cache un réel démon. Elle n’hésite pas à sortir son arme et tirer, elle n’a aucune pitié et c’est son père qui lui a appris. Elle n’est pas du genre à se faire marcher sur les pieds, plutôt le contraire. Elle se fait respecter à la lettre, que ça soit dans son travail qu’au sujet de sa mafia.
(8.) Inya part régulièrement en voyage pour respirer un coup et vider son esprit. Elle adore voyager, elle a déjà fait le tour du monde et elle aimerait pouvoir le refaire. Le pays qu’elle a adoré reste la nouvelle-zélande, pour ses cultures, son histoire. Elle part également souvent dans des festivals, elle adore la musique, elle en écoute en permanence.
(9.) Elle s’est fait tatouer plus d’une fois, elle a le symbole de la mafia de son père sur les côtes, des dates et des petits tatouages un peu partout sur le corps. Bien évidemment à des endroits qu’on ne voit pas forcément, elle a réfléchi à chaque endroit car chaque tatouage représente une partie de sa vie et elle n’a pas forcément envie que tout le monde soit au courant.
(10.) Elle n’est pas compliquée à cerner, il suffit de ne pas l’énerver et de l’agacer, tout se passera bien. Elle a beau avoir un caractère de cochon, elle reste une humaine et non un robot. Même si elle fait tout pour cacher ses sentiments, elle ressent toujours quelque chose au fond de son coeur. Même si elle paraît si forte, si sûre d’elle, ce n’est qu’une impression, il y aura toujours une faille.