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the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
(c) Disjointed Societies 2021
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(#) Sam 5 Jan - 20:16
Sanae
« Weight Of The World »

- Nier Automata's Ost.

Nom(s): Kurohyō, noir. Noir qu'ils sont. Le deuil à même l'âme, les éclats d'une jeunesse envolée, souillée, brisée, fracturée. Seul en reste cette rage, cette colère palpable dans les veines, qui menace de tout envahir. Ronger. Jusqu'à l'épuisement. Et le poids d'un fardeau qui s'écoule, dégouline, en lettre d'encre vermeille.
Prénom(s): Sanae, ce présent aux lèvres écarlates et à la psyché dégénérescente.
Date de naissance: 16/08/1991
Nationalité: Japonaise par le sang, Américaine depuis son adoption.
Origine: Au pays fantasque des lames dansantes, des yokaïs, des cerisiers fleuris et des masques d'albâtre aux lèvres écarlates. Là où le soleil levant règne en souverain archaïque depuis des éons. Elle est d'origine japonaise.

Statut financier: Pauvre. Seulement l'héritage d'une rage belliciste et de réminiscences déchues. Diplôme(s): //
Emploi(s): Tueuse à gages.

Orientation sexuelle: Pansexuelle.
État civil: Le cœur arraché, envolé, en des plaines glaciales, meurtrières. Et quelques rares ombres de reliquats enfouis.
Enfant(s): //

Aspiration: Protéger sa sœur adoptive jusqu'à son dernier souffle et faire d'elles des femmes libres.
Meilleure qualité: Pugnace.
Pire défaut: Sa fierté.
Plus gros secret: L'époque où elle mena sa propre vendetta contre ceux qui avait assassiné son clan et sa famille.

Qui je suis
Mon appartenance




(Black Panther.) Cette longue queue de cheval fouettant dans son dos comme une queue féline n'était plus qu'un souvenir échoué entre ses doigts maculés d'effluves métalliques. Une odeur nauséabonde. Âpre. Qui lui collait aux narines comme un vieux cauchemar qui se répète inlassablement. Poisseuse. Moite d'un liquide sirupeux dévalant sur les vallons de ses chairs marquées d'encres. Cette encre aux allures de suie, se moulant sous les lumières comme des ombres fragiles, nonchalantes. Cette baignoire et une cigarette pour seule consolation. Sa crinière rigide ressemblait à de ces algues mouvantes, coulant de perles humides contre ses tempes. Et au devant de ces traits impassible, le rougeoiement d'une cigarette réchauffant ces prunelles vides. Béantes. Un peu de cancer n'as jamais fait de mal à personne.(It's a man's man's world.)Quel est donc cette foutue caricature ? Les femmes, dont les regards ensorcellent se peignent les lèvres de pigments pourpres. Et les hommes, ces vaillants protecteurs assurant la sécurité, la tranquillité d'une vie, dans leurs travaux stables, suivant la lignée d'une carrière prometteuse. Une image, qui avec les années, avait fini par se déstructurer sous mes orbes sombres. On ne m'avait rien promis, si ce n'était ce que la vie allait avoir à m'offrir. Et ce monde. Celui pour lequel j'ai pataugé, neuf mois durant, dans ce cocon doux, chaud. Emmitouflée. Protégée. Tout ça, ça n'était qu'un lointain souvenir. Car dans ces longs corridors de portes coulissantes, de parquet grinçant et de ces grands jardins zens où résonnait le bruit des sōzu ou encore sous l'ombre d'un cerisier fleuri. Il n'y avait que de hautes statures masculines. Des statues d'aplomb, dont les peaux moirées d'encres et les fourreaux renfermant des éclats argentés, dentelés, finissait toujours par rejoindre le regard de mon père. Là. Juste derrière ces grandes portes dont on me privait les secrets. Là où leurs voix s'élevait comme autant d'échos dont je saisissais à peine les sens. Car dans un monde d'homme, les femmes se devaient de lire entre les lignes. (At last, we all going to die.)Ce sont les paroles qu'il a prononcé. Éructé, d'entre ses lippes fumeuses. L'odeur de ce tabac sucré s'infiltrant jusque dans mes poumons, mélangé aux effluves métallique de l'hémoglobine maculant la poudreuse. Sa lame n'était plus aussi étincelante lorsque les éclats de cette lune pâle, maladive, venaient à s'y porter. Elle semblait possédée. Animée. Comme de ces oni aux visages pourpres, décadents, dans le plongeon de leurs propres dégénérescences. Certains de mon clan, aimait à dire que les sabres possédaient leurs propres volontés. Mais la sienne, ne possédait aucune âme. Seul ce liquide nauséabond, ces perles rougies, dévalant le long de ses reliefs dentelés… Jusqu'au corps de mes parents. Amorphes. (Zombie.) Il pleuvait, à grosses gouttes. Toutes ces perles translucides, dévalant sur le fleuve ombrageux de ses prunelles. Cette petite fille aux mains si frêles, se déployant endolorie, en des ailes d'oiseaux fracturées. Qui peine à décoller, s'élancer dans les airs, bat un peu le vent, pour finalement venir se percher près de la vitre. Le clapotis du déluge pleurant ses perles évanescentes, s'écrasant contre le bitume. Et dans le loin. Comme un chant mélodieux perdu dans la trame du temps, sous les grains ensevelis, dans ce sablier éternel. Quelque chose. Qui résonne. S'éructe. Et plonge. Là, dans sa poitrine menue. Qui lui soulève le cœur et l'éteint. Nuls battements, que ceux de chimères envolées et d'éclats de rires évanouis. Seul ce fourreau serré contre elle, le manche de cette lame qu'elle caresse nonchalamment. Le réceptacle de ses réminiscences. (Kimi o mamoru, J.)J. C'était toi, cette gosse aux yeux bleus, aux sourires si grands, qu'il me permettais enfin, d'avoir un point de repère, dans cet univers si dense. Si noir, que je paraissais être aspirée dans le gouffre de ces néants. Ce poids trop lourd, sur mon échine, ce fardeau, dont tu semblais m'avoir libéré, l'instant de nos rires, de ces histoires mirifiques que l'on se contait, tard, le soir. Lampe de poche en main pour éclairer l'obscurité de nos draps trop grand pour nos corps minuscules. À se blottir, l'une contre l'autre, tandis que l'ombre d'un monstre grandissait sur les murs de cette chambre étriquée, prêt à l'avaler de sa noirceur pernicieuse. L'entente de ces pas s'approchant, me nouant l'estomac. De peur. Non pour moi. Mais pour toi, toujours pour toi, J. Quand je t'ai un jour dit que tu étais la plus fort de nous deux, je ne mentais pas, J. Tu l'as été, quand j'ai céder à la haine. Quand le prix du sang, m'a fait disparaître dans la nuit. (A Warrior Journey.) Il ne me reste plus rien là bas. Que des chimères. Des souffles d'outre-tombes. Des feus follets dansant sur un voile immatériel. Des soupirs enfouis, à même les anciens tombeaux de ma dégénérescence. Ces creux froids, vides. Il n'y a que  des  yokaï en vadrouille, des esprits perfides, pullulant sur le chemin de mes vadrouilles. La haine centenaire d'une famille endolorie. Les éclats mortels d'une lune déchue et le cri nocturne d'une déchéance belliqueuse. Rien que les ruines de mon âme et ma seule et unique amie depuis toujours : la colère. (End Of The Unknow.) Quand est-ce que la haine cesse ? Quand est-ce ce chant noir qui m'empli de fureur se taira-t-il enfin ? Quand est-ce que la symphonie vengeresse cessera-t-elle de bourdonner ses paroles vicieuses, insidieuses, jusqu'à ma psyché condamnée ? Jamais. Cela semble être un sombre tunnel dont on ne vois jamais la lueur chaleureuse de lumières lointaines. Il faut courir. Encore. Encore. Perdre le souffle, la raison, embraser la fatigue, la démence, l'inconscience. Les déglutis nauséabonds, les gargouillements de souffrance, les prunelles vides, béantes, l'odeur pestilentielle de chair flétrie. Les sens qui s'aiguisent, s'exacerbent. Et la douleur, comme un carburant. Une nouvelle façon de me sentir vivante. Qui m'enivre, m'aspire, dans ces contrées charbonneuses aux noms érodés par le temps. L'Enfer n'as pourtant qu'un seul nom. (Bipolar Nightmare.) Les lames sont ce que la nuit appartiens à la noirceur. Les mensonges à la véracité. La trahison à la loyauté. L'amour à la haine. Un papier filigrane, dont les grains se révèlent au toucher et ces formes, divagues, nébuleuses, sibyllines, à la vision. Ma vie a toujours été comme ce fil intangible, où dansent l'union des âmes et du désespoir. Ces espoirs ternis sous la monstruosité d'un sang immaculé. Depuis toujours, j'étais tracée par l'ombre d'un fantôme. Qui me hantais, s'égosillait en d'âpres visions funestes. Tout ces maux que le voile retint avec ardeur. Tout ces mots… Que je n'aurais jamais l’occasion d'entendre. Éteint, comme la dernière bougie survivante de la pagode. Étiolé par la brise d'une nuit sans lune. Car là où l'astre aurait du se montrer, il se cachait, derrière ce rideau cotonneux de nuages épais. Comme un enfant se cache innocemment les yeux. Un déglutis sourd, suivis d'un gargouillis nauséabond poursuivis le tracé de ma lame. Mes prunelles se fermaient, lourdes. Et le sang battant à mes tempes, n'était plus qu'un lointain souvenir. Ce soir, la lune était morte. Et dans sa chute, je venais d'emporter ses dernières lueurs. (Weight Of The World.)Une guerrière ne se plaint pas. Jamais. Elle endure farouchement les épreuves, les embûches, sans rechigner, reculer. La peur n'est qu'un tremplin sur lequel elle se doit de rebondir. Il n'y a que la chute pour les faibles. Le vide d'un gouffre enténébré. J'avais perdu une mère, un père, un frère et certainement ma raison. Le peu de miettes de battements amorphes. Mais il me restait une soeur et je me devais de la retrouver.(Fight like a samurai, die like a samurai.) Les poings pleuvant sur mon visage, mes lippes closes et pourtant, prêtes à s'éructer en de paroles vaines, la douleur incrustée à même le derme et ces bras moulés de cuirs ceinturant les miens. C'était un plongeon. Un saut, que j'avais fait volontairement, sans l'ombre d'un doute. Aucun traitement de faveur. Une sorte de hara-kiri prémédité. Je possédais un cuir bien plus coriace qu'il n'en avait l'air. Et même si mon esprit, semblait se scinder de lui-même hors de cette cage thoracique compressée. Mes yeux, eux, le pourfendaient de toute ma superbe orageuse. Car même au pied du mur, affranchie de ma liberté, j'étais comme de ces félines sauvages, rêvant de landes, de forêts, sur lesquelles se perdre. À marquer, territorialement. Il avait cette lueur dans les yeux, celle qu'on tente d'arracher à de ces gamins rêveurs, qui subsiste, année après année. Et pourtant, ses poings fermés, ses bagues mordant ma peau de leurs piqûres dentelées, n'avait rien de ceux d'un adolescent. Je le haïssais. Et même lorsque la souffrance me faisait perdre pieds, je n'oubliais pas le fleuve nocturne de ses orbes transperçant les miennes. N'avais-je pas été faite pour ça, après tout ? Une femme, née pour se battre comme un homme. Et je le savais… Qu'il n'aimait pas ça. Qu'on le défie, qu'on lui tienne tête, de la force d'un simple regard. À peine avais-je vu ces silhouettes évanescentes se fondre dans l'obscurité du hangar, que sa poigne m'avait retournée sur le dos. Ce qui s'en était suivis, était une réminiscence de plus que j'aurais souhaité effacer des limbes de ma psyché. Le goût métallique, ferreux, de son sang entre mes lèvres et son regard noir, furent les dernières choses que j'aperçus.


Groupe choisi: Nightwalker
Membre du groupe depuis: 20/12/2018
Surnom au sein de ton groupe: Black Panther, cette féline nonchalante, placide, aux prunelles froides, meurtrières, emplies de desseins sombres, nébuleux, endormis.
Comment as-tu réussi à intégrer le groupe: Elle, qui dans sa condition de femme à demandée à être traitée comme un homme. Passée à tabac et portant ses stigmates la fierté d'un sacrifice belliqueux. Et toujours. Toujours l'espoir de retrouver celle qui emplie ses cauchemars de rêves. D'espérance.

Ton rôle/ta spécialité au sein du groupe: Tueuse à gages, efficace, à la gâchette sans remords et sans regrets. Une arme. Un cœur recouvert d'une épaisse couche de glace et de pierre.  
As-tu déjà tué quelqu'un: Trop nombreux pour être comptés.
Jusqu'où irais-tu pour le groupe ?: Tout. Tout. Si la vie de sa sœur est menacée.
Comment perçois-tu le code d'honneur ?:  Si ça tenais qu'à elle, elle serais déjà libérée de cette emprise. Mais sa sœur l'y a lié. Et elle se dois de le respecter.
Signe distinctif: Un N et W entrelacés discrètement derrière l'oreille.
Moyen de transport: À pieds pour l'instant, mais il y a bien une moto qui lui fait de l’œil et pour laquelle elle compte économiser.

Anh Wisle est joué par:
Kaotika
Prénom: Tatiana Âge: 22 ans Pays: Pays des baguettes Multicompte: nop Présence: 6/7 Comment t'as connu le forum: Via des chinoises et bazzart Tes attentes envers DS: Pour l'instant ? M'éclater, trouver à nouveau le goût du rp et faire en fonction de ce qui se passera, je me laisserais emporter par l'inspi  I love you  Commentaire: J'ai passé la journée à stalker le forum et j'suis loin d'être déçue  Sanae Kurohyō • Anh Wisle 2691757678


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(#) Sam 5 Jan - 20:34
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Ex (♂/♀) Plus jeune, alors qu'elle était encore cette jeune fille à l'esprit vagabond aux pensées chaotiques, aux mœurs impudiques, délibérées, vous, vous êtes connus et avait fini par vous lier dans le secret de nuits proscrites. Puis à ses seize ans, sa disparition à l'autre bout du monde pour n'en laisser aucune traces, seulement quelques regrets amers, aigres.

BFF (♂/♀) Elle qui sous ses airs farouches ne laisse rien transparaître. Seulement cette placidité nonchalante, âpre. Qui se défile, comme de ces longues cigarettes jonglant entre ses doigts. Elle qui se mute, se braque, se mure dans ses propres murmures. Pourtant il te suffit de ta simple compagnie pour éclairer sa noirceur acariâtre. Elle que tu a su dompter par la simple force de ton regard et tes sourires contagieux.

Client(e)s (♂/♀) Une tête à abattre ? À faire taire une bonne fois pour toute. Elle est celle qui réalisera tes songes enténébrés, tes désirs de vices et tes penchants mortels.
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(#) Sam 5 Jan - 20:38
Ce personnage putain faint
J'ai trop hâte de lire ce que tu en feras excited
Bienvenue parmi nous!
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(#) Sam 5 Jan - 20:41
MERCI BIEN. JE PREFERE.

Sanae Kurohyō • Anh Wisle Giphy

MUCH LOVE.

Sanae Kurohyō • Anh Wisle Giphy
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(#) Sam 5 Jan - 20:41
Ton vava Sanae Kurohyō • Anh Wisle 3201353416


Bon courage pour ta fiche Sanae Kurohyō • Anh Wisle 3751872206
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(#) Sam 5 Jan - 20:46
Bienvenue ! excited

Et je tiens à dire que j'adooore ton avatar, ton perso a l'air badass à mort excited

Je veux en savoir plus !

Sanae Kurohyō • Anh Wisle Giphy
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(#) Sam 5 Jan - 20:50
BIENVENUUUUEEEE
Sanae Kurohyō • Anh Wisle Giphy
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(#) Sam 5 Jan - 22:18
Vous êtes trop des amours, merci de votre accueil les pipous Sanae Kurohyō • Anh Wisle 3751872206 Sanae Kurohyō • Anh Wisle 372046429
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(#) Dim 6 Jan - 3:03
Sanae Kurohyō • Anh Wisle Giphy
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(#) Dim 6 Jan - 11:21
Bienvenue à toi sur DS! Sanae Kurohyō • Anh Wisle 3751872206 bon courage pour ta fiche et j'espère que tu t'amusera bien parmi nous Sanae Kurohyō • Anh Wisle 1375993461
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