La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
Je marchais depuis des heures déjà, la nuit était tombée depuis maintenant trois heures. Je soufflais, je ne savais pas quoi faire de ma nuit. Je m’ennuyais et je ne voulais pas retourner dans ma maison. Cette grande maison vide. Personne ne m’y attendais si ce n’est mon chien, mais il doit bien dormir à cette heure. Puis il a déjà tout ce qui faut de toute façon.
Mon regard se pose sur ma bouteille de vodka dans ma main, elle était presque vide déjà. A cette remarque dans ma tête, je me mets à rire. Je ne sais pas pourquoi je ris mais je ris. Puis, là je remarque que non, je ne devrais pas rire alors je me stop directement à cette pensée. C’est bien, je m’écoute au moins. Je termine ma bouteille en marchant pas vraiment droit mais je ne m’en rendais même pas compte. Une fois que ma bouteille fut vide, je la met à la poubelle car même bourré je garde les bonnes manières visiblement. Sauf que bon.... J’avais encore soif et je me suis dis que je ne m’étais jamais bourrée à n’en plus finir alors pourquoi ne pas tester ? Mais je n’avais pas de bouteille, je n’en avais plus. Je ronchonne et je me place devant une personne. Une femme ? Un homme ? Je n’en sais rien, mon esprit était ailleurs de toute façon. “ Vous n’aurez pas hm.. Boisson ? “ Demandais-je à cette personne. Mais elle me jette juste un sale regard avant de partir loin de moi comme si j’étais une pestiférée. Je continuais alors ma quête d’une nouvelle bouteille sauf que j’avais toujours la même réponse alors je commençais à verser mes larmes. Personne ne voulait m’aider à trouver mon graal du soir. Le monde est pitoyable. Mais au fond de la rue, il y avait une autre personne alors je me précipite vers lui comme si c’était mon dernier espoir. Je me freine dans mon allure, essoufflée, les cheveux dans tous les états, les yeux bien rouges de pleure. Je prends peut être deux minutes avant de sortir un mot. “ Bonjour !” disais-je assez fort, puis je levais les yeux au ciel et je secouais la tête. “ Bon’oir...” Je plissais un peu les sourcils comme pour réfléchir des mots que je voulais dire. “ Je sais déjà ce que vous allez dire mais CHUUUUUT” Je posais mon doigt sur la bouche avant de pouffer de rire suite à cette phrase. Je ne sais pas pourquoi, je trouvais ça drôle. “ chut chut chut.” Je ris encore avant de reprendre mon sérieux. “ comment vous dire... Je suis à la recherche du Graaal. Vous savez ?[/b]” Je l’observais longuement comme si j’attendais une réponse mais je ne lui laissais pas le temps de répondre pour le moment. “ [b]Je sais ce que vous allez me dire, ou plutôt faire. Vous allez soit me traiter de connasse, soit partir sans un mot comme un lâche ! Je le sais, tout le monde à fait ça ce soir hahaha. Ces gens malpolies, qui ne veulent pas aider les autres. ET MOI QUI LEUR DONNE TOUT. Ridicule. Riducule. RIDICULE.” Je soufflais longuement comme pour prendre une respiration puis je laissais tombé mes épaules. “ alors ? Vous allez me faire quoi vous ? M’aider ou fuir comme un débile ?” je posais rapidement mes mains sur ma bouche en faisant de gros yeux. “ OUPS, je vous ai traité de débile, je suis débile. Mon dieu qui n’est pas là, si ça se trouve vous n’êtes pas débile vous ! Je me trompe ?”
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Eli Jiang
Surnom : Eli, c'est tout, bye.
Âge : 29
Origines : Coréennes et Vietnamienne
Occupation : Il a fait des études en infographie, du théâtre, il a abandonné. Il passe ses journées à apprendre à hacker avec son père, à jouer à la guitare et à suivre les cours de théâtre
Lieu de résidence : Manhattan, une nouvelle maison avec un espace encore plus grand... Avec toute sa famille
A New York depuis : Qu'il est né.
Situation Amoureuse : Bof bof, hein. Pas trop son truc, il dirait quand même pas non à une fille s'il peut dormir chez elle un temps avant de la plaquer.
Tel un chat noir qui se balade dans les rues, en quête d'un but, il se retrouve dans le Queens. Il a appris cette nouvelle et ça l'a bien contrarié, sa Kitty s'en va et il ne sait pas pour combien de temps et ça l'a vraiment soulé. C'est vraiment pas juste qu'elle parte, mais qu'il ne puisse pas venir. Donc là, il est dans le Queens pour aller à une boite de nuit, seul en plus, mais il se retrouve vite emmerdé par une femme qui lui dit bonjour. Il répond juste par un grognement.
Il allait continuer son chemin, mais elle plaque la main contre sa bouche pour dire chut. "Meiuhuih..." et elle se met à rire alors qu'il retire la main de sa bouche, énervé. "ouais bah va te faire foutre avec ton Graal, moi j'suis pas là pour jouer au Roi Arthur avec une personne torchée." grogne-t-il assez soulé de ce comportement de cette femme. Mais elle se met à parler, encore et encore, il essaye de marcher, mais il se fait suivre, donc forcément ça ne l'aide pas tant que ça. "vous savez ce qui est ridicule ?" tente-t-il de placer, mais encore une fois, elle parle encore et encore. Eli souffle assez frustré. Déjà qu'il est énervé, et cette fille venue de nulle part en rajoute une couche, elle le soule vraiment que... "Débile ? Tu m'insultes de débile et tu t'excuses sur ça ? T'en dois pas connaître de ces insultes toi." répond-t-il provocateur avant de poser le doigt sur le front de la femme pour la pousser un peu de lui. "déjà tu dégages de mon espace pauv' conne. Ensuite, je t'ai dit d'aller te faire foutre avec ton Graal, j'ai pas que ça à faire." et il pointe du doigt la femme encore. "et pis qu'est ce que tu leur donne ? Pas ton cul en tout cas, t'es pas trop mon genre et j'doute que tu sois le genre baisable pour les autres." Il plisse les yeux et secoue la tête avec un dégoût.
Le roi Arthur ? Il venait de me comparer au roi arthur ? Je faisais de gros yeux avant de pouffer de rire. En quoi je ressemble à un roi ? Je n’ai pas une tête de roi si ? “ Oh ça va là ! Je ne suis pas un mec non plus ! Je n’ai pas de gros muscles ou un pénis entre mes jambes !” Disais-je en posant mon regard vers le bas comme pour vérifier. “ Ok, je recherche le Graal, mais c’est une métaphore petite tête ridicule !” Je soufflais longuement d’exaspération avant d’arquer un sourcil. Je parlais, parlais qu’il ne pouvait pas forcément d’en placer une, et ça, je n’y peux rien, c’est ma nature... Parler. Parler alors que je ne parle pas de mon malheur, c’est ironique non ? Car je pense que j’en aurais grandement besoin sauf que je ne veux pas emmerder les autres avec mon histoire, et s’intéressent personnes de toute façon. Puis voilà qu’il me sort que je ne connais pas d’insulte. Je le regardais d’un air surpris cette fois ci. Il est sérieux là ? “ Meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeec !” Disais-je sans pour autant que ça soit fort mais l’alcool dans mes veines ne m’aide pas à parler correctement. “ Je reste juste poli ! Mais si tu veux des insultes et des grooooosses, je peux t’en donner ! T’es sérieux là ? Tu juges les gens alors que tu ne les connais pas ? Elle est bien belle l’humanité tient !” Je passais mes mains dans mes cheveux pour les remettrais en arrière, j’avais chaud ma parole, beaucoup trop chaud. Puis à ses dernières paroles, je le fixais comme si j’étais choquée par ses propos vis-à-vis de moi. Sans que je contrôle quoi que ce soit, je viens à lui donner une bonne gifle. “ Oh le coréens, chinois, ou japonais là, tu te calmes tout de suite ! Tu me prends pour une salope, c’est ton problème mais tu le gardes pour toi car je n’en suis pas une ! Et si tu crois que t’es mon genre, tu te gourre totalement ! Mon corps n’appartient à mon mari ! Alors certes, il est mort, ouais, mort, mais je lui appartiens, alors va te faire foutre espèce de connard ! Je te demandais juste un putain de service ! Si dans ta minable vie tu n’es pas prêt à aider les autres, et baaaah.... Grève ! Je voulais juste boire, alors ton jugement gratuit tu peux te le mettre au cul et bien profondément! ” Puis je viens de me rendre compte de ce que je venais de faire il y a quelques minutes. Je l’avais littéralement gifler. Je ris un peu à cette pensée. “ désolée pour la gifle.”
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Eli Jiang
Surnom : Eli, c'est tout, bye.
Âge : 29
Origines : Coréennes et Vietnamienne
Occupation : Il a fait des études en infographie, du théâtre, il a abandonné. Il passe ses journées à apprendre à hacker avec son père, à jouer à la guitare et à suivre les cours de théâtre
Lieu de résidence : Manhattan, une nouvelle maison avec un espace encore plus grand... Avec toute sa famille
A New York depuis : Qu'il est né.
Situation Amoureuse : Bof bof, hein. Pas trop son truc, il dirait quand même pas non à une fille s'il peut dormir chez elle un temps avant de la plaquer.
Une métaphore...? Eli ricane, en restant le plus dédaigneux possible en plus. "On sait jamais avec les perchées comme toi, t'peux parler très bien au premier degré en vrai, donc bon..." Surtout qu'il a bien vu qu'elle a cherché à se vérifier quand même... "Ouais bah tu m'as jugé comme étant quelqu'un qui va t'aider à trouver ton Graal. Alors bon, on est dans la même sauce..." Il est de plus en plus blasé qu'énervé en vrai. Il trouve ça ridicule de sa part et il aurait mieux fait de continuer son chemin. Enfin bref, il lâche les petits mots qui peuvent faire mal à la femme, mais il n'aurait jamais cru qu'elle finirait par le gifler tout en étant une raciste à essayer de l'appeler par une nationalité. Elle déballe tout, presque un pan de sa vie ? Eli s'en fout en vrai, il cligne juste les yeux essayant de réaliser qu'elle vient de lui donner une sale gifle ? Elle a vraiment fait ça ? Elle s'excuse à la fin de cette gifle, mais Eli ne prend pas l'excuse, il ne prend pas le temps même de lui dire que ce n'est pas grave, même ne serait-ce dire quelque chose qu'il donne une gifle en retour aussi. "Non mais ça va pas la tête meuf ?! D'où tu me gifles toi ?! T'avais qu'à m'insulter tes morts là au lieu de faire acte de violence comme une bourrin sans cervelle raciste ! Pas mon problème que ton mari soit mort et que tu cherches l'alcool ! Avec ton comportement depuis le début, ça donne pas envie de t'aider et même si tu faisais pitié, je t'aiderai pas parce que c'est pas mon genre et j'ai mieux à faire ! Fourre toi même ton Graal dans le cul et bien profondément aussi pauvre conne !" grogne-t-il en s'éloignant d'elle pour continuer son chemin. La laissant seule dans la rue, tout en s'en fichant de son sort. Vraiment, il y en a de ces gens chelous...
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