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mon bloc note
the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
(c) Disjointed Societies 2021
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Hanseol Bakh
Hanseol Bakh






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Surnom : Hans, le mauvais prince.
Âge : 28
Origines : la Corée du Sud pour mère patrie, les grandes Amériques pour foyer.
Occupation : employé en tant que serveur et barista au Winter Flower Café.
Lieu de résidence : studio n°18, immeuble 3. la poussière et le manque d'espace, l'odeur de tabac et l'obscurité pour domicile au cœur du Queens.
A New York depuis : huit ans ; le temps défile, les jours se ressemblent, et un jour le soupir franchit les lippes au regard en arrière.
Situation Amoureuse : célibataire malchanceux en amour, portant sur ses épaules le deuil d'une femme-enfant et l'abandon brutal d'un mauvais choix.
Orientation sexuelle : hétérosexuel. les cheveux longs et les rires fluets font battre son cœur ; le ravissent entièrement lorsqu'en plus de ça, elles plissent le nez.
Trigger Warning : mutilation, violence excessive, violence, pornographie, drogues, alcool, mort, sexe, body-shaming.

ps : i love you ((one-shot // tw : mort)) Tumblr_pdxgctwtB71xxgo0ko7_1280 ps : i love you ((one-shot // tw : mort)) Tumblr_pdxgctwtB71xxgo0ko6_400 ps : i love you ((one-shot // tw : mort)) Tumblr_pdxgctwtB71xxgo0ko5_500 ps : i love you ((one-shot // tw : mort)) Tumblr_pg5ufgoRgI1xxgo0ko6_400

WHEN SHE FALLS ASLEEP
WHEN SHE CAN'T THINK


SHE CALLS ME
M O N S T E R
。☆゚・:,。゚・:,。★゚


ps : i love you ((one-shot // tw : mort)) 4pg9Cnxx_oH A N S » to all my dear deadly sins » aquarius » TATTOO ONE » TATTOO TWO » TATTOO THREE » worker at the winter flower café but prefers summer iced teas » childish smile for a broken heart » i'm a fool, i'm a weirdo » daddy's jokes for a better mood » don't be silly, Billie » they don't see the monsters under my bed, waiting for the bloody moon » i wish i was special, you're so fuckin' special.
A C H I L D I S H SMILE WITH SHARP F A N G S .
ps : i love you ((one-shot // tw : mort)) 26c72ea14c46107fbf8169e0a82a38b1619f25a4
  • United Heart
ps : i love you ((one-shot // tw : mort)) VEo0rLeU_o
RPs : 0
Pseudo : ekolta(queen).
Pronom : elle/she.
Messages : 37992
Faceclaim : kim fxckin'taehyung.
Crédits : soleilplein (avatar).
Inscription : 07/01/2019
Multicomptes : none.
Nombre de mots par RP : 150-1200 mots.
Fréquence de RP : le soir souvent, selon mon emploi.
Je suis plutôt : dark et chill.
Keep Talking
ps : i love you ((one-shot // tw : mort)) HVmgDqjG_o
01
ingame
02 zone libre
03
hors-jeu
Administrateur et Vice-Président de la CSF ✧
(#) Sam 13 Mar - 22:07
ps : i love you

Ta folie, mes déboires et ses diables exquis, nous ont trahis. De toute manière, un jour ou l'autre, je viendrais t'passer un savon au paradis.
feu quinn (solheim) west-woods


tu sais, Quinnie... le soupir est lourd contre les lèvres, chargé de cette amertume qui ne le quitte plus depuis près d'un an et demi aujourd'hui. il cherche ses mots, bafouille encore - et alors même qu'aucune syllabe de s'envole, la trachée est chargée de ces sanglots qu'il peine à maîtriser. j'arrête pas de penser à toi. je me dis que tu dois te sentir seule, et je te jure que je voulais venir te voir avant. mais je n'y arrivais pas. le cœur est lourd, tant est-il qu'il puisse seulement en subsister une cellule, un fragment, après l'implosion sauvage qu'il subit en l'instant. le plat de la main s'appose instinctivement sur le thorax, cherchant de ses phalanges à contenir la douleur qui vrille la poitrine et fait siffler les tympans. je m'en veux, j'aurais vraiment dû venir avant. il ne sait que dire, h a n s e o l, se sent presque honteux de parler seul, honteux d'avoir pourtant tant à dire. les orbes se lèvent vers le ciel noir de nuit ; l'énième reniflement vise à contenir les émotions qu'il refuse de laisser déborder devant elle. et dans une crainte superficielle d'être épié dans cet instant de faiblesse, le coréen balaye les alentours d'un regard affûté (( il fallait que personne ne le voit )).



mais p e r s o n n e n'est là.
pas même E L L E.




la paume quitte la poitrine ((mais la douleur ne s'apaise pas)), le bout des doigts effleure la tombe qui lui fait face dans une caresse presque trop intime, pourtant si réservée, maladroite, hésitante. et la pierre n'est que trop froide. les jambes se croisent, le pantalon s'humidifie de l'herbe mouillée sur laquelle il repose sans s'en soucier. est-ce qu'il vient seulement te voir ? la question brûle les lèvres, écorche la langue à vif, les sourcils se froncent alors que la réponse lui paraît évidente. puis ((parce que c'est elle)), la tendresse guide son corps, et le pouce effleure l'angle comme il l'aurait fait avec sa joue ((si seulement il en avait eu le courage)). tu me manques beaucoup. je reviendrai plus souvent. les mots sont encore chastes. hanseol ne sait pas si elle l'écoute vraiment, peine à lâcher les masques et laisser son cœur exprimer chacun de ses tourments.



mais la première larme coule,
il l'essuie du dos de la main.




aish... je t'avais promis de pas pleurer, je suis désolé. je sais que tu détestes voir ça. le rire est sans joie, se mêle au surplus d'émotions qui le terrasse, le ravage et l'écrase, le conquiert et le laisse terriblement vide pourtant. il tire sur sa capuche, y noie un peu plus la masse sombre de ses cheveux. les secondes sont des heures, des fragments d'éternité qu'il gorge de son silence uniquement rompu par la pierre du briquet qui embrase la cigarette. c'est le white day demain. il hausse les épaules, revient essuyer l'humidité qui baffre ses joues, inspire longuement pour retrouver le contrôle de sa voix brisée. pitoyable. je sais que tu fêtes pas ça. même moi je trouve ça super nul et cliché. mais je suis pas venu te voir à la saint-valentin alors... hey... joyeux white day en avance. le sourire courbe les lippes en une moue singulière, presque trop chaste, teintée d'une timidité qui pousse les yeux à fixer le sol et colore les joues sous les torrents.




il arrache l'herbe à côté de ses chaussures pendant un moment,
la repose pourtant aussitôt d'une caresse parce qu'elle la sublime.




est-ce que... les dents malmènent la lippe inférieure, tirent la peau morte alors que la question danse en boucle dans ses pensées incohérentes.
est-ce qu'on aurait eu une chance ?
est-ce que s'il n'avait pas été là, tu serais sortie avec moi ?
est-ce que si j'avais agi autrement, j'aurais pu te sauver ?
est-ce que tu aurais préféré que j'accepte ce jour là ?
est-ce qu'il aurait mieux valu que je meurs avec toi ?
pour toi, je l'aurais fait.

est-ce que tu vas bien ? les iris sont chargées d'un espoir nouveau, incohérent pourtant, lorsqu'il les relève vers la tombe qui ne frémit pas même du froid hivernal.
est-ce que tu vas mieux, là où tu es ?
est-ce que tu as eu mal ?
à quoi as-tu pensé lorsque tu as fermé les yeux ?
est-ce que tu reviens bientôt ?

hanseol la fixe, la dévisage, accroché à l'image de ses lèvres pour s'abreuver de cette réponse nécessaire à sa survie. une heure, peut-être deux, à encourager le silence à se briser par l'écho de sa voix, sans que les minutes ne l'atteignent -- et le temps, l'espace, se figent au dessus de sa tête, il n'en ressent pas même la caresse. mais elle ne répond pas, se mure dans un mutisme qui fait mal, qui glace le sang, qui détruit un peu plus le myocarde et ce, ô combien il a pu attendre ((ô combien il a pu l'inciter à lui répondre)).



ce n'est qu'au coeur de la nuit qu'il comprend,
qu'elle ne répondra pas,
qu'elle ne reviendra pas.

le cœur éclate en millier de morceaux de comète,
poussière d'étoiles et de sanglots éhontés,
je voulais juste que tu reviennes.


je suis désolé, j'aurais dû rester avec toi... gémit-il approximativement, le chagrin faisant barrage à sa voix, suspendu à son cœur et son corps. et sous ses paupières, les flash dansent encore, moribonds et meurtriers (( le goût de ses lèvres et de ses larmes, l'ultime adieu, son sourire, les cris, les balles, le noir )). le haut le cœur le soulève, pousse la fumée de la cigarette à s'échapper trop tôt, provoque la quinte de toux.



puis le silence revient,
elle ne répond pas,
ne reviendra pas.




tu sais, je t'avais dit que j'avais rencontré quelqu'un. la parole se libère enfin ; pour la première fois depuis des heures, se sent-il finalement capable de lui parler, de lui raconter l'enfer d'un quotidien sans elle. ça n'a pas duré. on y a mis un terme peu de temps après que tu te sois endormie. à part ça, il ne se passe pas grand chose. les ongles raclent la nuque, et hanseol fouille sa mémoire à la recherche d'événements qui pourraient la rendre heureuse. Min joon et ma cousine se sont mariés. comme Wook et sa copine d'ailleurs. il va devenir papa. tu sais, j'ai l'impression de stagner, j'arrive pas à avancer. mes parents me poussent à rencontrer quelqu'un, reprendre le poste de mon père et ce genre de choses, mais j'ai pas envie. en fait... il chuchote comme une confidence, honteux de s'abaisser à mettre des mots sur ses ressentis les plus intimes. j'ai envie de rien sans toi. y'a certains jours, j'ai juste envie de partir d'ici moi aussi, et te retrouver. c'est l'enfer à New-York, tout va trop vite et t'es plus là. en fait, le véritable enfer, ce sont les autres. tu sais, ceux qui comprennent pas... ceux qui ne comprennent pas, ceux qui ne voient pas, ceux qui ne savent pas combien je t'ai aimée, combien je t'aime encore, et combien je t'aimerai toujours.

par contre, j'ai un boulot maintenant. les sourcils se froncent. l'herbe est à nouveau arrachée, et alors qu'il lui fait face, le carmin qui diapre les pommettes le figent dans cette posture de l'enfant éternel. je travaille dans un café depuis un peu plus de six mois. c'est pas le meilleur job, mais ça paye. encore la pierre du briquet, encore la cigarette et sa fumée -- et entre cette répétition insensée, encore le sanglot et ses hoquets. j'ai déménagé. en fait... j'ai pas eu le choix. on a tous été victimes d'une catastrophe de haut niveau, et mon bâtiment s'est effondré. d'ailleurs... le thorax se comprime une fois de plus sur ses organes, fait luire les prunelles gorgées d'eau, brise le timbre et éraille la voix mouillée. le squat aussi. y'a plus rien. rien du tout... comme s'il n'avait jamais existé. et soudain, le geste est rageur, la chaussure écrase la cigarette férocement.

il ne l'a pas sentie arriver, cette fureur qui ravage les entrailles et enflamme les artères. cette haine qui fronce les sourcils et donne envie de hurler, de déchirer, de détruire et ne pas reconstruire. cette rancœur qui ne pèse que trop, qui s'accroche à la cheville en boulet à chaque jour qui passe. de toutes façons, y'avait déjà plus rien quand t'es partie. tu nous as tous laissés, t'as tout foutu en l'air et y'a plus rien ! et il bondit sur ses jambes, presse les cents pas, serre les poings jusqu'à en blanchir les phalanges alors que la mâchoire se contracte et déforme le visage aux traits si fins et graciles. c'est ta faute, tout ce qui arrive ! il lève l'index, la pointe éhontément, l'accuse de tous ses maux, et de tous ceux de l'univers qui n'arrive plus bien à tourner. et quand chaque pore fume de colère, les mots sont hachés, pensés, consciencieusement lâchés : tu sais quoi, t'as bien mérité de m...



m o u r i r




le mot tombe en guillotine sur les pensées. et aussi soudainement que sa colère ne s'était levée, le corps s'abaisse. les cuisses se logent contre le torse, entourées de bras vides de toute force ; le visage s'écrase contre les genoux pour y étouffer ses hurlements à travers la nuit, la moindre de ses larmes et la plus féroce de ses peines insurmontables. je voulais pas que tu meurs ! les doigts s'enfouissent dans les cheveux, mordent et griffent le crâne, secouent la tête à force d'y tirer les fibres. que tout s'arrête, que tout s'a r r ê t e !



si seulement tu pouvais revenir,
je te pardonnerais tout,
du plus chaste de tes rires,
au plus égoïste de tes départs.




et les heures passent ainsi, témoins de ses cris poignants, de ses sanglots déchirants, de ses requêtes folles et de ses demandes alors dénuées de tout espoir. chaque jour sans toi est un supplice. les heures passent et les premiers rayons du soleil réchauffent les joues mordues par le givre des cristaux de sel -- oublient de réchauffer le cœur. la fatigue pèse sur les épaules, pousse le corps endolori à trembler de spasmes incontrôlés.

et lorsqu'il se redresse, hanseol dépose une dernière fois sa paume au sommet de la tombe, s'y glisse néanmoins jusqu'à y appuyer son front. je t'aime, Lolita. et c'est toujours étrange, lorsque sa langue vibre de son vrai prénom, laisse tomber les masques pour l'aimer elle dans son entièreté et sous ces images.

mais il la délaisse sitôt, revêt son manteau d'indifférence et d'arrogance, cache son visage et ses yeux rouges sous la capuche bien trop grande. il délaisse le cimetière et, dans son dos, la tombe d'une personne non identifiée dont ni le nom, ni les mots, ne décorent la pierre. parce qu'elle n'a jamais été retrouvée, parce qu'elle n'a jamais été enterrée, parce qu'elle n'a jamais eu droit au moindre traitement de faveur de la vie. parce que ça n'était surement pas elle, mais parce qu'un instant, c'était elle qu'il avait vue ((et ça lui avait presque suffi)).




PS : I LOVE YOU.
( c ) ekoltaqueen






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