La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
Là où la rancœur résidait, la colère vivait. Il avait fait de ses poings des armes massives et avait mit un terme au calvaire au détour de quelques mots, des mots de trop. La rage accumulée avait été déchargée, les impacts barbares avaient eu raison de son tortionnaire qui, désormais, n'habitait plus la sphère. Soulagé, c'est ce qu'il aurait dû être, et pourtant. Cette guerre lui avait trop coûté, égaré dans les cendres de ce qu'il en restait, il avait gagné en perdant. D'abord la raison, le coeur, puis lui, comment pouvait-il imaginer vivre un monde dans lequel il serait condamné à exister sans être à ses côtés, telle était la question, comment, comment pouvait-il fermer les yeux lorsque tout ce qu'il voyait défiler n'étaient rien d'autre que le diaporama de scènes dont découlait l'impensable. Rien, rien ne serait jamais plus comme avant, rien, à commencer par lui-même. Malgré le schéma décousue de sa propre vie, il tentait vainement d'y voir du bon et là, au milieu du pacifique de l'enfer, il y avait Ace. Lui qui, sans relâche, était resté à ses côtés pour lui maintenir la tête hors de l'eau, lui sans qui, il aurait simplement laissé la vague le noyer sans lutter. Pour cette raison et pour des millions d'autres, il lui avait proposé de signer des papiers, des papiers qui le lierait à lui pour de vrai, pour de bon et à jamais, des papiers qui soulignaient toute l'affection qu'il lui portait. Il était le premier à l'avoir comprit, le premier à l'avoir accepté, à avoir apprécié ses parts d'obscurités, ses facettes dérangeantes pour autrui, le premier à partager ça avec lui sans le moindre soupçon de dégoût et par dessus tout, le premier à obtenir de lui ce qu'il n'avait jamais dit à personne, trois mots, trois mots simples, anodins, mais pas pour lui, trois mots irréversibles qu'il n'avait adressé qu'à son ami. Alors, convaincu de sa décision, persuadé qu'il était la personne idéale à laquelle confier son existence entière, il se rendait chez ce dernier, le dossier en main et pas un seul doute en tête. Immobile devant cette porte, ravi de le voir, il chassait de son esprit tout ce à quoi il ne désirait pas penser, pas ici, pas maintenant, frappant du pied contre la paroi, les mains trop abîmées pour songer s'en servir. 《 -Dépêche toi de m'ouvrir, j'vais crever de froid. 》 qu'il grondait, sans doute impatient d'être au chaud mais plus encore de le voir.
Surnom : Petit Loup par l'homme que tu aimes, King lorsque tu remplis des contrats pour Canvas, mon bébé par ta mère.
Âge : 31
Origines : Coréennes et Australiennes
Occupation : Tu travailles dans le service de communication de Palette depuis le 09/11/2020 mais tu es aussi escort pour eux depuis 2012/2013. En parallèle, et dans la plus grande discrétion possible, tu es un tueur à gage pour le compte de Canvas.
Lieu de résidence : Tu possèdes un appartement dans Brooklyn que tu partages avec la princesse de ton cœur mais vous habitez depuis peu chez Minki Hwang.
A New York depuis : Depuis tes dix ans, une arrivée dont tu te serais bien passé si tu avais su tout ce que tu vivrais ici.
Situation Amoureuse : En couple avec Minki Hwang depuis peu, tu es aussi dans une relation plus que passionnelle avec Kit Hi Pyo.
Orientation sexuelle : Bisexuel.
Trigger Warning : suicide / mort / viol / pédophilie / violence excessive / racisme / homophobie / relation toxique / addictions / RP hot cru
Links :
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Leith
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Levi
Please, don't leave me
United Earth
RPs : 20
Pseudo : Laura
Pronom : IEL.
Messages : 12216
Faceclaim : Bang Christopher Chan
Crédits : myself ((avatar)) ; 2503s ((icons))
Inscription : 14/07/2020
Multicomptes : Emrys Dabrowski (Harry Styles), Ruby Moore (Perrie Edwards) & Isaac T. Rosewood (Jackson Wang)
Le sourire aux lèvres, accompagné d'une boule au ventre qui vient ruiner l'humeur et trahir la peur, tu prépares ton appartement en silence alors que tu sais que tu vas faire face à celui que tu considères comme ton enfant. Celui qui pourrait devenir officiellement ton protégé si tu viens à tout de même signer les quelques documents qu'il doit mettre à ta disposition. Mais que se passera-t-il quand tu devras lui dire la vérité ? Quelle sera sa réaction quand il verra que, derrière toutes les larmes et nuit passées ensemble, il n'y avait qu'un noyau de mensonges qui venaient dissimuler le fait que tu cherchais à le protéger de ce monstre qui menaçait de tuer tes proches. Et qui avait réussi à t'effrayer au point que tu viennes à croire que Levi pourrait finir mort entre ses mains. Il n'y a que les vérités vraies qui peuvent faire mal et tu le sais. Et les bruits d'un membre qui tape contre la porte, de la voix qui s'élève jusqu'à tes oreilles distraites, tu rejoins la porte et l'ouvre pour faire apparaître la mine de Levi. Et c'est un sourire qui vient étirer la tienne alors que tu l'enlace brièvement avant de laisser entrer l'enfant terrible dans ce logement qu a accueilli tant de personnes ces dernières années. Tu vas bien ? Le regard protecteur, tu l'en couvres avant de lui faire signe de te suivre dans le salon où t'as préparé de quoi manger un peu, inquiet pour ton cadet. Tu veux boire quelque chose ? Et te permettre de trouver la force d'avouer mes fautes ? La pensée tourne en boucle dans ta tête alors que tu penches légèrement la tête sur le côté. Il y a tant de choses à dire sur les mensonges que tu as fais ces derniers temps mais la crainte est terriblement présente et les regrets non loin.
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Les personnages 
Là où la rancœur résidait, la colère vivait. Il avait fait de ses poings des armes massives et avait mit un terme au calvaire au détour de quelques mots, des mots de trop. La rage accumulée avait été déchargée, les impacts barbares avaient eu raison de son tortionnaire qui, désormais, n'habitait plus la sphère. Soulagé, c'est ce qu'il aurait dû être, et pourtant. Cette guerre lui avait trop coûté, égaré dans les cendres de ce qu'il en restait, il avait gagné en perdant. D'abord la raison, le coeur, puis lui, comment pouvait-il imaginer vivre un monde dans lequel il serait condamné à exister sans être à ses côtés, telle était la question, comment, comment pouvait-il fermer les yeux lorsque tout ce qu'il voyait défiler n'étaient rien d'autre que le diaporama de scènes dont découlait l'impensable. Rien, rien ne serait jamais plus comme avant, rien, à commencer par lui-même. Malgré le schéma décousue de sa propre vie, il tentait vainement d'y voir du bon et là, au milieu du pacifique de l'enfer, il y avait Ace. Lui qui, sans relâche, était resté à ses côtés pour lui maintenir la tête hors de l'eau, lui sans qui, il aurait simplement laissé la vague le noyer sans lutter. Pour cette raison et pour des millions d'autres, il lui avait proposé de signer des papiers, des papiers qui le lierait à lui pour de vrai, pour de bon et à jamais, des papiers qui soulignaient toute l'affection qu'il lui portait. Il était le premier à l'avoir comprit, le premier à l'avoir accepté, à avoir apprécié ses parts d'obscurités, ses facettes dérangeantes pour autrui, le premier à partager ça avec lui sans le moindre soupçon de dégoût et par dessus tout, le premier à obtenir de lui ce qu'il n'avait jamais dit à personne, trois mots, trois mots simples, anodins, mais pas pour lui, trois mots irréversibles qu'il n'avait adressé qu'à son ami. Alors, convaincu de sa décision, persuadé qu'il était la personne idéale à laquelle confier son existence entière, il se rendait chez ce dernier, le dossier en main et pas un seul doute en tête. Immobile devant cette porte, ravi de le voir, il chassait de son esprit tout ce à quoi il ne désirait pas penser, pas ici, pas maintenant, frappant du pied contre la paroi, les mains trop abîmées pour songer s'en servir. 《 -Dépêche toi de m'ouvrir, j'vais crever de froid. 》 qu'il grondait, sans doute impatient d'être au chaud mais plus encore de le voir. 
