RP FLASH U-A : Dans un univers parallèle. (James & Mao)

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Il sifflote Mao, en rentrant chez lui. Il se sent particulièrement guilleret, pour la simple et bonne raison qu'aujourd'hui, ça fait 30 ans qu'il aime son époux. Cet amour est intense.

De plus en plus intense.

Il a bien l'intention de lui préparer une surprise, pour ce soir, un repas de fruits de mer. Il se déshabille et enfile son éternel tablier, pour se mettre aux fourneaux. Il sursaute en se tournant, croyant avoir vu une ombre le regarder à la fenêtre, "Je rêve..."

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@James Lester Sweeney

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« Tu m’explique ce que tu fais encore à la fenêtre de la cuisine?!? » Ma voix tonna dans tout le quartier alors que je dégageait ce pervers de Sawyer de ma propriété. Ce dégénéré se masturbait devant la fenêtre en couinant comme une chèvre, un boxer de Mao dans ses mains. Taré de voisin! Légèrement furieux après avoir assisté au spectacle indigeste de ses fesses blanches et maigrelettes s’agiter au rythme de ses plaintes extatique, j'ai pénétré cette maison que je partageais avec mon époux depuis trente ans. Trente ans de pur bonheur à partager sa vie. Mao. Le seul homme important. Le seul à exister dans mon esprit et mon âme. « Amour, je suis là » Annonçais-je doucement en venant lui voler un baiser, mes mains venant directement lui empoigner les fesses. « J’ai encore surpris le voisin en train de se caresser en te matant. Ça devient problématique » Lui appris-je alors que mon propre regard appréciateur caressait sa silhouette. Le plus bel homme au monde, c’était lui. Mon Irlandais.

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@Mao B-C Sweeney-Keohane

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Il entend la voix de James qui tonne et résonne dans le jardin, les sourcils froncés, "encore ce voisin...", qu'il dit dans un soupire en se retournant, lorsqu'il entend son époux entrer dans la maison.

Un sourire doux s'affiche sur son visage.

Un sourire tendre.

L'amour de sa vie est enfin là et il se colle doucement contre lui en susurrant, après l'avoir embrassé avec passion,"bonjour, mon amour. Alors ta journée s'est bien passée ?". Et voilà. Comme d'habitude, ses yeux se perdent dans ceux du médecin.

Ah.. L'amour...

C'est un petit gloussement qui s'échappe des lèvres du tatoueur, en sentant les mains de son homme sur son postérieur, pour ensuite froncer les sourcils. "Encore le voisin...? J'espère qu'il ne va pas nous gâcher notre soirée", qu'il dit, inquiet de la suite, alors qu'il a prévu une soirée cocooning et romantique ici.

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@James Lester Sweeney

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Ce putain de voisin à beau gueuler que je lui ai volé sa vie et que c’était en réalité lui qui était marié à Mao, moi je sais qu’il n’est qu’un fou furieux bon pour la camisole de force. Il était impossible que mon mari ait choisi un autre homme que moi, nous étions deux véritables âmes sœurs, deux parties d’un tout. « C’est ça, continue à parler aux pierres qui te sert d’enfants et fou le camps de ma propriété » Grognais-je en le poussant sur deux cailloux qu’il avait baptisé Aaron et Duky avant de rejoindre mon tendre et doux homme.


Ses lèvre chaudes et sensuelles viennent cueillir les miennes et je sens son corps nu et désirable se frotter contre le mien. Il est désirable et il le sait. « Elle était terriblement longue sans toi. Ton neveu est venu quémander de l’argent encore. Une fellation pour 10 000$ » Lui dis-je en parlant du renégat ses Sweeney Eoghan. Depuis son mariage avec un asiatique, il revenait seulement quand son mari dilapidait toutes leurs économies.


« S’il revient, je le tue » murmurais-je contre sa gorge alors que je le soulevais pour l’asseoir sur le comptoir. « Tu cuisinait quoi, mon amour? » demandais-je alors que je suçais la peau chaude de son cou.

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@Mao B-C Sweeney-Keohane

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La journée avait été longue pour lui, c'est ce qu'il raconte à Mao et ce dernier ne peux pas s'empêcher de glousser, en répondant, d'un air taquin, "aussi longue que ma queue, amour ?", avant de se mettre à rire d'un air amusé.

Une fellation pour 10 000$...

Le tatoueur n'a vraiment pas envie de parler de sujet qui fâche, entre son neveu et le voisin, il ne veut pas gâcher l'ambiance de la soirée. Un petit couinement de surprise s'échappe des lèvres de l'irlandais, en sentant ses pieds quitter le sol et ses fesses se poser sur le comptoir de la cuisine et son cou se faire dévorer tendrement juste après.

Parler ? I M P O S S I B L E. Il glousse d'envie, c'est tout.

Il essaye quand même et il réussit à dire dans un bégaiement, "des f.. fruits de mer... pour nos 30 ans de mariage...", alors qu'il se colle contre le corps de son époux et que plus rien n'a d'importance, seulement James.

James et rien d'autre.

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@James Lester Sweeney

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Te lasseras-tu un jour de moi, lorsque tu comprendras que je n’ai rien d’exceptionnel et que je n’apporte que ténèbres dans ta vie? Cette question, je la lui posais silencieusement à chaque fois que je croisais son beau regard brillant et que je caressais sa peau si douce. Pourtant, je savais que si un jour, la vie m’arrachait Mao, je deviendrais fou. Fou au point de faire un carnage. Fou au point de vouloir détruire New York en entier pour me venger. Une vie sans l’amour de cet homme n’était qu’un purgatoire tortueux. « Encore plus longue. Le temps passe a un parcours si lent quand nous sommes séparés » Lui répondis-je lorsqu’il compara la longueur de ma journée à celle de sa verge.

Passant rapidement sur les sujets facheux comme pouvait l’être le voisin pervers et son neveu en manque d’argent, je l’ai transporté jusqu’à l’ilot de la cuisine pour l’y asseoir afin de mieux lui dévorer le cou. Mao était mon grand amour…mais il était minuscule de taille. C’était sa queue qui avait hérité de tout. « Tu m’as cuisiné des fruits de mers? » Répétais-je, surpris en venant embrasser et lécher sa clavicule si délicieuse. Peut-être allais-je savourer ce bel Irlandais comme entrée avant le repas principal, mais avant… « Tient mon amour… » Lui murmurais-je en glissant une nouvelle alliance à son doigt. « Pour nos trente ans, je te répète la promesse de t’aimer jusqu’à la fin des temps » Murmurais-je à son oreille.

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@Mao B-C Sweeney-Keohane

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Plus longue que sa queue ? Mao prend une petite mine choqué et amusé, "Ah oui, ça devait être une journée qui dure une éternité, alors..", qu'il confirme en hochant la tête amusé, alors que sa main se pose sur le torse de son époux.

Encore une fois il hoche la tête, oui oui, des fruits de mer, il a fait un effort avec son véganisme, pour faire plaisir à l'âme de sa vie. Une fois installé sur le plan de travail de la cuisine, Mao ne peut pas s'empêcher de dévorer James du regard, jusqu'à fermer les yeux, pour pencher la tête sur le côté quand il sent ses lèvres sur sa peau. Mhhhh.

Les frissons qui parcourent le corps du tatoueur lui arrache un petit soupire.

C'est tellement délicieux.

Ses pupilles s'ouvrent à nouveau, en le sentant glisser un anneau à son doigt. Reste-t-il au moins une petite place, avec tout les bijoux que l'irlandais porte déjà sur lui ? Oui, c'est évident. Il contemple l'alliance, une autre, un sourire radieux illumine son visage en l'entendant promettre à nouveau. "Amour, je t'aime tellement, pour l'éternité...", qu'il susurre en plongeant ses yeux dans les siens, avec un regard amoureux, avant de passer ses bras autour de sa nuque, pour se coller à lui et l'embrasser avec une tendresse infinie, lui caressant la nuque avec délicatesse.

"Je t'aime...", qu'il répète encore, inlassablement.

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@James Lester Sweeney

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« Chaque minute, chaque seconde est une éternité lorsque nous ne sommes pas ensemble » Fis-je doucement remarquer, me permettant d’être romantique pour une rare fois. Mao devait sans doute souvent trouver que je manquais d’attention ou de mot tendre à son égard, mais ce n’était pas dû à un manque d’amour -je l’avais toujours aimé au-delà des mots- c’était surtout parce que je ne savais pas être aussi expressif et ouvert sur mes sentiments que lui l’était.

Il était étrange de voir que Mao cuisinait des fruits de mers alors que nous savions un comme l’autre qu’il était végétalien. Un autre geste qui pouvait sembler si banale et qui pourtant montrait un amour sans limite. « C’est merveilleux, merci beaucoup mon amour » Murmurais-je en me rapprochant de lui pour gouter le sucré de sa peau, la douceur de son épiderme... « J’adore ta peau…ton être… » Râlais-je avec plaisir en continuant.

Le bijou glisse au doigt déjà bagué de mon époux, terminant de le décorer. Mao. Mon amour. Ma vie. Encore, je lui rappelais qu’il était à moi et rien qu’à moi. Le baiser qu’il m’offre en échange de l’anneau vient me faire trembler jusqu’au plus profond de mon âme. « Une vie sans toi et ton amour est une vie qui ne vaut pas la peine d’être vécu » Murmurais-je lorsqu’il me répète qu’il m’aime. « J’ai une surprise pour toi…c’est arrivé ce matin à la clinique » Dis-je doucement en sortant une enveloppe de ma poche. La confirmation d’adoption d’un petit garçon.

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@Mao B-C Sweeney-Keohane

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Si Mao pouvait arrêter le temps, lorsqu'il se trouve dans les bras de James, il le ferait. L'idée de pouvoir passer l'éternité contre lui est vraiment plaisant et le rend fou de bonheur. Encore plus quand ses lèvres s'amusent à dévorer les siennes avec une douceur et une tendresse infinie.

Les yeux de l'irlandais admirent le bijoux, ce cadeau que son médecin adoré vient de lui offrir à l'instant, en pleine contemplation, il susurre, "Merci amour, elle est vraiment magnifique". Un sourire pétillant, un regard heureux, voilà le visage de Mao en ce moment.

Un frisson. Un soupire de plaisir.
e x c i t a n t

Mao est expressif, quand il s'agit de savourer les lèvres ou les mains de son époux, sur son corps, sur sa peau. Il ne cessera jamais de lui répéter son amour, à quel point il l'aime profondément et passionnément. Ses yeux de tatoueur se posent sur l'enveloppe que lui tend James et il l'attrape doucement dans ses mains,"Pour moi ? C'est quoi ?", qu'il lui demande, d'un air interrogateur et curieux, en commençant déjà à décacheter l'objet.

Un petit garçon.
L'adoption d'un petit garçon.

Les yeux de Mao se brouillent de larmes, tant la bonheur est grand, son cœur bat la chamade, il rigole et il pleure en même temps alors qu'il se jette à corps perdu dans les bras de son amour. "Mon dieu, on va fonder une famille... ! Je t'aime amour, je t'aime ! Merci !"

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@James Lester Sweeney

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Il aime sa bague, c’est parfait. J’aimais tellement le couvrir de présent, mais j’étais tellement maladroit dans mes choix que le fait qu’il l’apprécie me soulageait grandement. D’un autre côté, je soupçonnais Mao d’adorer n’importe quoi que je lui offrirais. Il était ce genre d’homme merveilleux et fantastique à apprécier la vie, tout simplement. Il était le soleil et moi la lune, pourtant nous étions complémentaires et indissociables; nous ne pouvions exister si nous n’étions pas ensemble. « C’est toi le plus beau des diamants, mon âme, mais même toute ma fortune ne pourrait acheter quelque chose à la hauteur de l’amour que je te porte » Lui confiais-je avec tendresse.


Et je le pensais. Mao était l’humain le plus important de cette terre.


L’enveloppe d’adoption entre les mains tatouées de mon Irlandais me fait frissonner. Nous avions souvent parler de la possibilité de fonder une famille, mais ma peur de ne pas être capable d’aimer une autre personne que Mao me faisait normalement refuser cette éventualité. Sauf que je voyais sa peine et sa douleur face à mon refus…alors j’avais entamé les demandes sans lui en parler, me disant que si nous étions rejetées, au moins l’Irlandais ne souffrirais pas. « Ouvre, tu verras » Lui dis-je, amusé.


La réaction de Mao me fait regretter de ne pas lui avoir céder plus tôt. Il est tellement heureux, même ses baiser semblent encore plus amoureux. « Oui…une famille… » Tentais-je de répondre quand il me redonnait le contrôle de ma bouche. « On part en Irlande le chercher ce soir » Rajoutais-je, me doutant qu’il n’avait pas lu cette partie.

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@Mao B-C Sweeney-Keohane