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mon bloc note
the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
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Boniface Santos
Boniface Santos






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Surnom : bo(ni) pour les copains, lil acid ou junior pour les santos, peach pour les clients.
Âge : 21
Origines : américano-latines.
Occupation : reine du vol à l'étalage pour survivre, danseuse exotique pour éviter les coups d'un petit ami trop exigeant.
Lieu de résidence : dans le bronx, un refuge clandestin pour immigrés.
A New York depuis : trois mois.
Situation Amoureuse : récemment célibataire, le coeur dentelé et l'âme cannibale.
Orientation sexuelle : floue, elle l'ignore et n'y prête aucune importance.
Trigger Warning : violence / viols / meurtre / mort / rp hot.

uc
j'ai des couteaux plantés dans le coeur,
mais je resterai increvable.
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RPs : 0
Pseudo : dunk
Pronom : il/elle.
Messages : 388
Faceclaim : maggie lindemann.
Crédits : me, myself & i (av) inystuff (ic) anaëlle (signa)
Inscription : 04/01/2021
Multicomptes : levi w., forty c. & baby r.
Nombre de mots par RP : 500 à 4000 mots selon l'inspi.
Fréquence de RP : une à deux fois par semaine.
Je suis plutôt : dark.
Young Idiot
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Citoyen de NYC ✧
(#) Lun 25 Jan - 3:58
NICE TO FIND YOU

@Minki Hwang & YRO „


Toujours les mêmes visages, les mêmes vannes, la même routine ; se lever tard, trop, en retard, le champagne remplace le jus d’orange, une cigarette, un joint, conduite dangereuse jusqu’au salon où la clientèle se plaint de son manque de ponctualité, rire désinvolte, majeur en l’air, deuxième cigarette, deuxième joint, champagne derrière un verre d’eau pour apaiser une conscience peu existante, musique forte, assez pour déranger la boutique voisine, cris, injures, agacement poussé par l’indifférence. quatorze heure indiquait son téléphone lorsque le troisième client de la journée s’invitait dans son quotidien loufoque, répétitif et corrompu, peu conventionnel, tatoué de la tête aux pieds, pourtant toujours en manque d’encre. les anecdotes fusent, les aiguilles aussi, au même titre que le service demandé, un nom glissé au détour d’une conversation, sifflé à travers l’épais nuage de fumée. Je peux m’occuper de son cas si tu veux, t’as qu’une seule chose à dire et ce mec ne sera jamais plus un problème pour toi, des sourires échangés, entendus, pourtant suivi d’un refus catégorique. Je vais m’en charger moi-même, qu’il avait réfuté, laissant son dealeur quitter le salon sans payer, tel était la loi d’une requête, une faveur en échange d’une autre, c’était la règle, ici bas. L’intérêt profite au plus offrant, surtout lorsqu’on s’appelait Yro, terreur des rues, fureur de vaincre, toujours, quel que soit le sujet, le prix, l’adversaire

Minki Hwang. Un nom, une adresse et il était en route. Il fourre son nez partout, il enquête sur toi, je suis curieux, tu vas faire quoi ? elle était là, la réelle question, qu’est-ce qu’il allait faire. En soi, il pourrait tout bonnement user de la menace, de la force ou de ses fréquentations peu recommandables, cependant, il cédait à la curiosité, la curiosité de le rencontrer, de lui faire face lui-même et de découvrir, au delà de ses recherches, des informations récoltées, qui était cet homme dès plus intrusif et par dessus tout, surtout, savoir ce qu’il voulait, ce qu’il cherchait. Yro était rôdé de ce côté là, l’habitude de recevoir des menaces de mort, être suivi, tard dans la nuit, savoir qu’une poignée d’inconnus cherchaient indéniablement à avoir sa peau, à le coincer au détour d’une rue, sans réellement savoir pourquoi. Cependant, il était prêt à le confronter, lui, lui dire qu’il était au courant, qu’il savait qui il était et qu’il payerait, qu’il payerait le prix fort s’il daignait creuser davantage. Or, payer quoi, là résidait le problème, il n’en avait pas la moindre idée ; des fantômes du passé ou simple erreur sur la personne, il l’ignorait et se fichait pas mal de l’interrogation que ça soulevait, de tout ce qu’elle impliquait, de ce que ça pouvait sous-entendre, alors il était prêt, prêt à affronter l’un d’eux et lui faire savoir que lui aussi, lui aussi pouvait chercher, fouiller, profondément et trouver l'innommable, percer à jour jusqu’aux plus infimes de ses secrets si c’était nécessaire pour enfin avoir la paix méritée. 

Sucette à la bouche, comportement détendu, trop certainement pour quelqu’un qui s’apprêtait à rencontrer l’inconnu, peut-être s’apprêtait-il à tomber dans un piège, à se jeter ouvertement dans la gueule du loup, pourtant il n’en avait rien à faire, sa liberté dépendait entièrement de ce qui se produirait en ces lieux et rien n’importait plus que ça. Rôle enjôleur vêtu le temps d’un instant, manipuler pour pouvoir aisément parvenir à entrer comme bon lui semblait et le voilà entre les murs de Palette, réputé d’ailleurs, assez pour qu’on lui ait déjà parlé de nombreuses fois des services proposés. Bel endroit, certes, qu’il n’hésiterait pas à incendier si l’issue de la conversion ne lui plaisait pas, pas assez pour lui donner envie de le quitter sans le réduire au chaos. Longeant les couloirs en quête d’un visage familier, pourtant étranger, on lui avait gentiment indiqué le bureau du propriétaire, non sans omettre qu’il n’était pas encore arrivé. De nouveau, il croisait une douce créature qui tentait de faire barrière ; vous n’avez pas le droit d’être ici, monsieur Hwang n’est pas encore arrivé, je peux lui transmettre un message, si vous le souhaitez. Là encore, un rire désinvolte lui échappait alors qu’il bravait son rempart sans la moindre gêne.

《 -Appelle ton patron et dis lui que je l’attendrais dans son bureau, ajoute que j’aime bien fouiller partout quand je m’ennuie. 》

Il pouvait déjà l’entendre se ruer sur son téléphone, émettre les informations qu’il avait indiqué et rien ne pouvait plus le satisfaire que la docilité des plus faibles. La main sur la poignée, il était évident que la porte était verrouillée, toujours était-il que ça ne l’arrêtait pas. Il extirpait de la poche de sa veste un jackknife, autrement dit, l’outil parfait du délinquant qui n’en était pas à son premier crochetage de serrure. En moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, il pénétrait dans l’antre du diable, refermant derrière lui d’un coup de pied nonchalant. Organisé, c’était l’adjectif premier qui lui venait à l’esprit alors qu’il contemplait la pièce d’un œil attentif, néanmoins, il se demandait quelle serait la réaction de son occupant s’il venait à tout renverser. Or, il n’en faisait rien, préférant dans un premier temps, céder au dialogue avant de songer à retourner le bureau de fond en comble pour attiser sa colère, alors, sagement et la patience fébrile, il prenait place sur le fauteuil du détenteur de cet endroit, pieds croisés sur l’interface, comme s’il était tranquillement assis sur son canapé, face à un match de basket, à attendre une quelconque action susceptible de le distraire, ne serait-ce qu’un peu.


design ϟ vocivus // icons ϟ vocivus
Minki Hwang
Minki Hwang






Surnom : Min, Minmin, Mint (par son ex), Minkiki (par Leslie), petit Minki, ainsi de suite.
Âge : 34
Origines : coréennes.
Occupation : reporter local pour la NBC News (il a été un envoyé spécial jusqu'en 2019, puis journaliste télé et reporter pour la CNN, récemment encore il était un reporter pour VICE) + directeur de l'agence d'escortes "Palette", tout au-dessus se trouve "Canvas", organisation criminelle qu'il gère en secret avec l'élite de la société, les contrats d'assassinats se multipilant
Lieu de résidence : une penthouse à Manhattan, immeuble n°666.
A New York depuis : ses douze ans, il est venu ici après la mort de ses parents. il a été à LA pour son bachelier en journalisme de 2008 à 2012.
Situation Amoureuse : en couple avec son petit loup ((Ace)) depuis le dix février.
Orientation sexuelle : pansexuel, il a encore du mal à s'assumer en public.
Trigger Warning : violence (excessive) physique et mentale + relations toxiques + personnage toxique + corruption + addictions (travail) + mention de maladie (analgésie congénitale /!\ il ne ressent donc aucune douleur physique) + pression psychologique + burn out

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This is the winter of my d i s c o n t e n t
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RPs : 2
Pseudo : nath ou natho
Pronom : elle
Messages : 12520
Faceclaim : park jinyoung (got7)
Crédits : (s) siren charms (a) mooncalf (i) ???
Inscription : 07/08/2020
Multicomptes : leith park
Nombre de mots par RP : je fais court en ce moment (~200/300)
Fréquence de RP : 1 à 2 par semaine
Je suis plutôt : dark et chill.
Ticket to Heaven
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Modérateur ✧
(#) Dim 31 Jan - 14:02


nice to find you @Yro Solis


… et coupé ! La lumière rouge s’éteint, la caméra s’abaisse un instant, ses épaules s’affaissent et son visage aux manies surcontrôlées se détend quelque peu. Le dos droit au possible, le perfectionniste qu’est Minki rumine déjà sur les détails qu’il aurait pu améliorer et, de toute son équipe, il est assurément le seul à aborder une moue aussi austère. Le micro et l’oreillette rangés dans la camionnette de la chaîne, il se perd dans ses pensées, à essayer de trier le tout : il calcule inlassablement les tâches qu’il lui reste, se rendant compte qu’il n’est pas près de dormir ce soir. Depuis quelques semaines, son cerveau est un champ de bataille, qui se perd et se délie ; impossible pour lui de réellement se concentrer, ce qui l’enrage toujours un peu plus. Lui qui a toujours prôné sa capacité à rester attentif, quoi qu’il advienne, comprend que ça en devient désormais une difficulté. En ce moment, tout est… trop. Ses relations chaotiques, sa réputation peu à peu entachée, le meurtre, sa famille dysfonctionnelle… tout va mal, mais il est loin de l’admettre et sa manière pour relativiser est de plonger encore plus dans ses activités. Jusqu’à parfois en tourner sa tête de fatigue. Mais au moins, ça lui permet d’oublier, se dit-il. De ne réfléchir à plus rien d’autre, se dire que, finalement, tout peut se dérouler normalement s’il s’adonne corps et âmes à ses occupations. Difficile de l’assumer, mais l’étiquette de control-freak plane au-dessus de sa tête désormais. Plongé dans ses réflexions, la portière fermée un peu brusquement, un souffle s’extirpe de ses lèvres, croisant à peine le regard soucieux d’Angelo. Celui qu’il connaît assurément, qui signifie certainement qu’il serait grand temps pour lui de se reposer, mais ce dernier le sait, c’est peine perdue avec Minki. Autant discuter avec un mur. Agacé, le reporter fronce les sourcils.

– Arrête de me regarder comme ça, je ne suis pas non plus sur mon lit de mo-

Le téléphone qui vibre, le forçant à s’arrêter dans sa phrase, alors qu’il le saisit vivement, à l’affût de la moindre communication. Les mots frénétiques, la voix hésitante comme par peur de déclencher une fureur irréversible, sa mâchoire se serre au fil de la conversation. « Il m’a demandé d’ajouter qu’il… euh, comment vous dire ça monsieur Hwang… qu’il aime bien fouiller partout quand il s’ennuie ? » Pris de court, il se redresse. Il ricane, plus par énervement que par amusement, la colère qui bout en lui – malheureusement de manière excessive, les reproches par son oncle le saisissant ; il est temps d’arrêter d’agir de la sorte. Il tente de se calmer, ne comprenant pas d’où cet homme sort. De nulle part, sans donner de nom, juste un type qui se permet de donner des ordres à sa réceptionniste. Il raccroche, soudainement sur les nerfs, adressant une remarque sèche à son caméraman pour lui signaler qu’il s’en va. En peu de temps qu’il ne faut, il s’engouffre dans sa voiture, conduit hargneusement jusqu’à Palette et ses pas rapides l’amènent dans le hall. Les employés le savent pertinemment, il ne faut pas lui parler quand il est d’humeur exécrable – un vrai dragon quand il s’y met, diraient-ils – et c’est sûrement pour ça que chacun s’évertue à le laisser passer d’une moue effarouchée.

L’étage atteint, sa secrétaire se relève aussitôt, l’anxiété placardé sur son visage. Les mains jointes, les doigts qui se triturent, elle saisit dans quel pétrin elle se trouve, surtout quand Minki s’arrête devant elle, ses traits faciaux durs à souhait. D’un coup, il explose, l’autorité et la sévérité roulant sur sa langue, pour ne pas changer.

– La prochaine fois que vous laissez quelqu’un entrer dans mon bureau sans l’en empêcher, je vous vire, j’espère que c’est clair ? Je m’en fiche s’il a la carrure d’un catcheur ou s’il vous a donné des excuses bidons pour entrer comme ça, votre job est de veiller à ce que personne ne puisse se pavaner ici comme bon lui semble ! Il ajoute, grommelant un : Bande d’incapables.

Le corps tremblant, le regard fuyant, les larmes au bord des cils, elle hoche la tête, incapable de répondre quoi que ce soit. La tempête passée, la réceptionniste prend de nouveau place sur son siège et, fulminant, il se dirige jusqu’à sa porte, la main empoignant la poignée qui… s’ouvre miraculeusement. Il se retient de justesse de maugréer et alors qu’il s’engouffre dans la pièce, il se fige. Là, posé sur son siège comme s’il était dans son salon, les pieds sur le meuble, il y a un homme. Le silence est court, juste le temps d’analyser et scruter ce type qui s’est permis de vaquer ici sans la moindre invitation. La haine et l’incompréhension se mélangent, se bousculant en lui telle une tornade… jusqu’à ce que la familiarité s’insinue en lui. Il plisse un instant les yeux, il met quelques secondes à le reconnaître. Il lui a fallu poser son regard sur les tatouages qu’il entraperçoit brièvement pour que le déclic le saisisse.

Yro Solis. Un nom peu commun, une dégaine qui l’est tout autant, un réel mystère. Au sens littéral. Les secrets sont nombreux autour de ce type, non, en réalité, il s’agit de là d’un réel trou noir. Une absence totale d’informations. Il en sait peu sur lui, lui donnant alors goût pour enquêter. Tout ce qu’il se rappelle, ce sont les informations que la police et l’hôpital lui ont donné et… ce jour, à Varsovie, lorsqu’il avait mis son nez dans des affaires louches. Une rencontre quelque peu « brutale », il avait eu affaire à ce type qui s’était chargé de le menacer. Si ça ne tenait qu’à lui, Minki aurait persisté, jusqu’à possiblement en perdre la vie, cette envie dangereuse et presque suicidaire de mener son reportage à la perfection. Agissant comme des anges gardiens – ou des supérieurs qui entravent ses désirs selon lui – la CNN dut le ramener de force à New-York. Un documentaire écourté, laissant un sentiment amer persister au creux de son estomac ; alors, quand il entend parler d’un homme qui sort de nulle part, sans souvenirs, sans identité, il s’y dépêche, dans l’histoire de soutirer un scoop croustillant… il ne s’attendait pas à tomber sur lui. Ce même type. Guidé par son instinct risqué, il a pris la décision de terminer ce qu’il a entrepris en Europe… et ne s’attendait clairement pas à ce que ce soit lui qui entre dans son territoire en premier.

Il sort de sa courte torpeur, se plaçant face à lui. Cette sensation de le dominer en hauteur le plaît, mais il reste un souci : il ne sait pas ce que lui veut le tatoué. Dans une position délicate, il n’a pas le droit à l’erreur, mais parfaitement au courant de sa tendance récente à être en colère trop rapidement, il saisit que cette conversation risque de dérailler à tout moment. L’air austère, les poings inconsciemment serrés, il le fusille de ses yeux.

– Je peux savoir ce que vous fichez ici ? grogne-t-il, sa voix tremblante d’irritabilité, décidant de jouer la carte de l’ignorance, la moue hautaine au possible. Il continue sur sa lancée, sifflant un ordre d'un ton autoritaire : Mais d’abord, retirez vos pieds de là, que je sache ce n’est pas votre salon.

Autant le cuisiner, n’est-ce pas ? Peut-être qu’en posant lui-même des questions, il en saura plus sur sa visite soudaine en ces lieux. Étrangement, la paranoïa s’empare de lui, s’imaginant les pires scénarios : et s’il a compris qu’il était surveillé ? Ou alors, ça n’a rien à voir et, d’une quelconque manière, il en sait quelque chose sur le meurtre qu’Ace et lui ont commis ? Non, ça n’a pas de sens, pourquoi saurait-il ? Son esprit analytique cherche et décortique, il aurait pu lui demander de partir de là, il aurait pu appeler la sécurité pour – tenter – de le faire déguerpir, mais il n’en a pas envie.



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