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the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
(c) Disjointed Societies 2021
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Marla Katz
Marla Katz






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Surnom : Kiddo, Katz.
Âge : 29
Origines : Allemandes.
Occupation : Étudiante aux Beaux-Arts vendant ses services en tant qu'artiste free-lance et Fleuriste, en job étudiant.
Lieu de résidence : Maisonnette (Queens) avec Mathias. ♡
A New York depuis : ses dix ans.
Situation Amoureuse : Il n’y a que les yeux de l’amour qui comptent.
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Trigger Warning : J'aborde en rp : conflits familiaux, violence (physique, mentale, infantile), manipulation, délinquance, sexe, enlèvement, pauvreté (ancienne SDF), troubles du comportement alimentaire, pensées suicidaires, anxiété, dépression, relations toxiques, addiction (somnifères).

Je refuse de jouer : cruauté animale (non, non et re-non), viol, prostitution, mort.

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hey kiddo
☽ DON'T BE AFRAID ☾
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☽ J'ENTENDS LES LOUPS ☾
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dans la nuit
Elle était belle dans la nuit, à la lueur de la lune ronde. Des rubans dansent dans ses cheveux et le vent rie à ses côtés. Sur les chemins parsemés d’étoiles, elle brille de mille feux. Ses mains implorent le ciel au temps qui se suspend. Une envolée d’oiseaux nous rappelle, qu’elle était belle, elle.
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  • Aucune association
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RPs : 0
Pseudo : BRAINDEAD.
Pronom : Elle.
Messages : 813
Faceclaim : Charleen Weiss.
Crédits : Romanov (avatar), Myself (signature), Ethereal (icons).
Inscription : 22/11/2020
Multicomptes : Baby Meï.
Nombre de mots par RP : 200 - 600 mots.
Fréquence de RP : Lorsque j’ai envie.
Je suis plutôt : Dark et chill.
Young Idiot
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Citoyen de NYC ✧
(#) Jeu 17 Déc - 18:13
❝ m'abîmer sans te perdre. ❞
-- (marthias 1).


Cela faisait quelques jours, désormais, qu’ils étaient collés. À ne plus se lâcher, parce qu’elle n’en pouvait plus, Marla. De ces nuits agitées, à hurler la mort pour que le purgatoire ouvre ses portes sur sa carcasse démontée. De ces crises de manque qui lui donnaient envie de s’arracher les cheveux, de se tirer une balle en pleine tête et de mettre fin à ses jours. Elle affichait les signes d’une fatigue intense, Marla, ne fermant plus l’œil depuis ce mois hargneux de Septembre. Angoissait en ouvrant les yeux sur sa plaie qui peinait à cicatriser, manquait de la faire tourner de l’œil à chaque fois qu’elle devait la nettoyer et désinfecter. Marla, elle prenait sur elle, tentant de ne pas repenser à celui qui avait foutu en l’air ses points, en triturant l’intérieur de sa plaie. Lui coupant le souffle, pour éviter qu’elle crie. Que l’on tombe sur son corps ensanglanté. Et l’aiguille, que la fleur avait saisie pour se recoudre, tremblant de tout son être, frôlant l’évanouissement. Des douleurs qu’elle n’avait pas ressenti depuis longtemps, outre les coups des combats auxquels elle s’adonnait. Un mélange qui lui donnait envie d’en finir, une bonne fois pour toute. C’était que la poupée estimait en avoir suffisamment bavé, depuis que les cieux avaient été bénis par la mélodie stridente de ses premiers cris. Sous le regard méprisant des parents, ne souhaitant pas cet enfant, considérant l’avortement comme un pêché à ne pas commettre. Marla, son existence portrait le sceau de la mort. Croix funèbre enfoncée au fin-fond de son émanation, lui rappelant, qu’à chaque souffle, elle n’était qu’un putain de fardeau, destiné à crever comme une chienne, sur le bitume de ses cendres. Dans l’indifférence. À l’image de sa naissance. Elle savait, Marla, que sa vie ne serait jamais rose, mais elle voulait y croire. Penser que l’on aimerait sa carcasse, que l’on apprécierait ses défauts, les épousant du bout du cœur. Elle voulait finir sa vie dans les bras de l’être aimé, Marla, le sentiment d’être enfin aimée, condamnant pour de bon, la haine et la violence auxquelles sa tête brune s’accoutumait. Dans ses bras, Mathias, elle oubliait. Pouvait fermer les paupières et se laisser porter par l’attention donnée, les caresses le long de son échine, de ses flancs courbés. Allongée sur le côté, la tignasse balayée semblait infinie et ses traits si sereins. Cela faisait du bien aux yeux, de la voir si apaisée, Marla. Les paupières légèrement fermées, le souffle de Mathias sur sa nuque, elle ne bougeait pas, la sublime. Savourant ces instants en aparté, les enveloppes allongées, déconnectées du monde. Son dos collé à son torse, sans un espace pour les séparer. Quelques caresses sur son ventre, prenant gare à ne pas heurter la plaie couverte sur une gambette, celles dénudées, étalées si sensuellement. Les bustes finement levés sous la respiration, le repos de l’âme, pur, brut. Et pas un bruit, juste eux. Sous le clair de lune. L’un contre l’autre. En osmose.
(c) TORTIPOUSS.


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Invité ✧
(#) Jeu 17 Déc - 19:26
❝ m'abîmer sans te perdre. ❞
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Les journées étaient trop différentes ces derniers-temps : si bien qu’au final, on ne sait pas très bien chez qui nous nous trouvons aujourd’hui. Les heures partagées avec une brune dont la peau est recouverte de bien des blessures : comme si celles de l’âme de Mathias avaient finis par déteindre sur l’épiderme de la sensuelle. Et il est là, à moitié nu, dans un lit trop grand pour deux corps plus frêle l’un que l’autre. Et ce tableau, d’une fusion de deux boiteux, paraît un peu trop fade aux yeux du monde. Mais pas aux yeux du sien. Être misérables à deux : voilà à quoi ils aspiraient, ces temps-ci. La respiration calme d’un homme trop brut ; l’expression détendue d’une femme trop blessée, peinée d’une vie entière à essayer d’être autre chose qu’elle-même. Finir par se sentir aimée de quelqu’un qui ne peut trop en donner, si ce n’est juste assez. Oui, les matins chantants des oiseaux de l’hiver donnent bien envie de mélodies du bonheur. Les doigts qui se baladent autour d’une blessure physique. Et enveloppe les corps de ce genre de bulle fantastique, impossible à crever. L’explosion, elle se fait à l’intérieur : des cœurs, des mœurs. Mathias, il ne ferme pas vraiment les yeux : dormir, il en a peur. Si bien qu’au final, il reste là. A la serrer contre lui, en espérant être un peu plus que lui-même. Et Marla lui rend bien : à travers des sourires endormies, des heures de silence et les quelques mouvements aux creux de leurs corps emboités qu’ils s’autorisent à la nuit tombée. Même ce bracelet, trop imposant pour une si fine cheville, ne vient pas entacher ce portrait de famille plus que lumineux. Les bols se fracassent dans la cuisine, ce qui fait redresser le brun d’un coup. L’étreinte s’envole, la bulle se perce. Le retour à la réalité brutal, les arrachant à ce rêvéalité. Il fronce les sourcils, n’ose pas crier d’ici. Se lève pour parcourir les quelques mètres jusqu’à la porte. « Tu peux pas faire attention ? » La sœur, droguée, à la recherche de quelque chose à manger. Et l’énervement de Mathias, qui laisse la porte ouverte sur son passage. Il attrape la blonde par le bras, un peu trop violemment et la balance dans le canapé. « Maman dort abrutie. Qu’est-ce que t’as pris encore ? C’est Jody qui t’a encore fourni ? » Baragouinage de quelques paroles à la volée. Mais le mal est fait, la douleur est présente dans les yeux, dans le cœur du brun. « Dégage dans ta chambre, je t’apporterai ton petit déjeuner. Allez, DEGAGE. » Un mouvement en avant pour finir de la décider, et elle claque la porte d’une pièce adjacente à celle qu’il vient de quitter. Les mains sur le comptoir de la cuisine. Il attrape un bol et le balance à travers la pièce. « Merde ! » Tout vole en éclat : le calme, le bol, la vie un peu plus. Se reprendre, espérant que la reine mère dorme encore, à l’étage. Il ferme les yeux, appuyer sur ce comptoir miteux de Brooklyn.
(c) TORTIPOUSS.


Marla Katz
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Situation Amoureuse : Il n’y a que les yeux de l’amour qui comptent.
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(#) Jeu 17 Déc - 20:08
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Elle pourrait passer une vie ainsi. Lovée contre un corps brûlant contre elle, pour elle, qu’elle ne se lasserait jamais, Marla. Amoureuse de ces instants d’accalmie, où plus rien ne comptait. Les tracas envolés, loin de sa carcasse désarticulée et qu’est-ce qu’elle en avait besoin, de se déconnecter. S’éloigner de tous les tourments lui rendant la vie difficile, chassant les simulacres peuplant ses songes, la rendant folle. À chaque fois, plus intensément. Mathias, il posait un doigt sur son épiderme laiteux et il effaçait tout : les cicatrices n’importaient pas, à l’image des plaies. L’enveloppe sublimée par ces enlacements éternels, sans fin, un goût divin en bouche. La tignasse balayée, l’on voyait ses traits apaisés et ses prunelles océaniques, closes, cela changeait tant de ces nuits passées à angoisser, crier. Incapable d’être seule, ces derniers temps. Alors, elle trouvait refuge dans les bras de ses proches, Marla, dans ceux de Mathias qui restaient ses préférés. Et d’autres, loin de faire la fine bouche, quand le sommeil était devenu une denrée rare. Mathias. Deux êtres qui se faisaient écho, dans une mélodie mortuaire et pourtant si sublime, que c’en frôlait la perfection, ces similitudes. Marla, elle ne bougeait pas du tout, savourant les effleurements de ses phalanges élancées le long de ses galbes enivrants. Presque céleste, allongée de la sorte, la poupée. Cependant, la plénitude fut arrachée en plein vol, par ce bruit de vaisselle brisée et Mathias, qui fuyait à grande vitesse, loin d’elle. Bulle explosée. Elle mettait du temps à émerger de ce semblant de sommeil, cherchant son pantalon d’une main, mais rien à faire. L’inconnu resterait disparu. Dressée sur ses gambettes nues, un sweat noir pour couvrir le reste et elle s’activait, comme elle le pouvait, de sa jambe boiteuse jusqu’à la pièce de vie. Spectatrice de ce déchirement. Des débris de vaisselle à ses pieds nus, qu’elle n’approchait pas, pour éviter de se blesser. Impuissante face à ce chaos familial, Marla, à la famille oubliée. Le vilain petit canard renié dès ses premiers cris et une existence entière bafouée par tous ceux portant le nom Katz. C’était qu’elle souffrait encore de cette situation, pas encore prête à cicatriser et à avancer, quand eux, vivaient une vie idyllique. Loin de se soucier de ce qu’était devenue la petite brune, aux phalanges tachées de peinture et de carmin. Silencieuse, la jolie prenait le balai pour balayer les débris, difficilement, avec sa démarche de canard boiteux. L’expression douloureuse, encore frappée par la douleur de la blessure. Puis, elle prenait place dans le dos du brun, nouant ses bras autour de sa taille, l’enlaçant délicatement. Quelques secondes pour contenir le brasier, le feu, un baiser déposé au milieu de son dos, alors que le front se posait sur la peau brûlante. « Je suis là. » Qu’elle murmurait entre ses lippes charnues, laissant aller de délicates caresses sur son abdomen. Juste quelques secondes, minutes, s’il le désirait, pour calmer ce feu, brûlant… Et brûlant, en son être.
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(#) Jeu 17 Déc - 22:44
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Chaos esthétique. Comment peut-on résumé une situation quand les mots s’échappent à mesure que les maux deviennent plus douloureux ? Rouvrir des plaies à peine cicatriser : c’était le fléau qu’affligeait la vie aux Chesterfield. Si la nuit aidait à oublier, un peu, les difficultés des journées d’hiver : il n’en restait pas moins qu’un réveil était simplement inévitable. Et la vaisselle, à défaut d’être autre chose qu’un défouloir, s’en prenait toujours plein la figure. Trop pleins d’émotions qu’on ne sait contrôler, qu’on ne voit pas venir : et au pied du mur, il se retrouve toujours avec ce feu ardent, brûlant la moindre partie de son âme. Et voilà que la brune arrive au milieu de cette guerre, hissant le balais comme un drapeau blanc. Et lui, il n’arrive pas à lui demander d’arrêter, de retourner se coucher. Parce que la vérité, c’est que tout ce qui sortira de sa bouche sera acide, amer : formant des trou béant dans les cœur s’il parvient à les atteindre. Alors le silence reste en place pendant que le balais bouge, que la brune se mouve dans l’espace, enchantant la moindre partie de l’espace. Un peu d’elle, un peu partout. Et ça lui fait encore plus de bien de la sentir là, derrière lui. Quelques caresses à l’envolée absurde, pour contenir ce qu’il reste encore à l’intérieur. Et la respiration qui se calme après quelques vagues par-ci, par-là. Peut-être le calme après la tempête ? Mais Emma, elle allumait la musique, un peu trop forte. Et le poing se serre dans le salon, pour ne plus exploser. Vouloir rester calme pour que Marla garde une tête droite, pleine de souvenirs doux et léger à emporter pour les nuits plus compliquées. Alors il se retourne Mathias, dépose un baiser volage sur le front de la belle. Ne souris pas tellement quand il la porte comme une princesse et l’installe dans le canapé. Un ordre silencieux, pour qu’elle ne bouge plus vraiment. Et il va s’afférer en cuisine, mélanger les saveurs et obtenir quelque chose d’assez bon pour les estomacs vides des amours passagers. Quelques œufs sur l’assiette, du bacon. Des toasts grillés. Du jus d’orange. Et voilà qu’il dépose ça sur trois plateaux différents. Un qu’il dépose vers Marla. L’autre qu’il va déposer au pied d’une porte close. Tape trois fois. « Petit-déjeuner. » Voix aussi froide que les matins d’hiver de New-York. Le troisième est resté dans la cuisine : la reine mère aurait le droit aussi à un festin. Déglutir encore, comme chaque matin, à l’idée d’aller la voir. Revenir dans le salon, regarder Marla d’un œil attendri, un peu. « Ça te convient ? » Qu’il lance tout en allant mettre un pantalon. Puis il se dirige vers l’évier, sortant de quoi se désinfecter les mains et les avant-bras à la manière d’un chirurgien. Une hygiène indispensable quand les visites à la reine mère sont arrivées. Frotter. Frotter. Expier un peu ses pêchés.
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(#) Jeu 17 Déc - 23:03
❝ m'abîmer sans te perdre. ❞
-- (marthias 1).


Elle ne disait jamais rien, Marla, se contentant d’être là pour le calmer, l’apaiser. La belle, elle ne connaissait que trop bien les conflits familiaux, parce qu’elle était le fruit d’une union, le démon qui avait pointé le bout de son nez. Dont personne ne voulait et que l’on avait humilié, malmené tout au long de son existence, jusqu’à ce qu’elle soit en âge de pouvoir être foutue à la porte. Refermant les portes de l’empire Katz sur sa pauvre gueule ravagée par le chagrin et le malheur. Un baluchon à l’épaule, s’éloignant comme ces personnages de fiction absurdes. Attirant l’empathie des spectateurs. Empêcher plus de dégâts, qu’elle pensait, en passant le balai, pour occulter le malaise, que d’être au centre de deux patries s’envoyant des missiles. Se mitraillant à ciel ouvert, sur son regard confus. Perdu. La bulle n’était plus. Éclatée avec une aiguille, brisée par cette musique trop forte, qui la faisait grincer des dents. Les « boum boum » assourdissants et les prunelles fermées, elle n’en pouvait plus de l’agitation, cela ne faisait que la rendre nerveuse un peu plus. Ses phalanges crispées sur sa cuisse immaculée, étendant celle blessée, qu’elle ne pouvait pas encore plier, sous peine de gémir de douleur. Les prunelles céruléennes se perdaient sur le petit-déjeuner, mais Marla, elle n’y touchait pas. Perturbée par la musique, par tout ce qui venait de se passer et l’on voyait bien à sa risette évasive qu’elle n’était plus trop là. Ailleurs dans son malheur. Le dos pressé sur le divan, le regard vide, prenant sur elle, Marla, face à cette bouffée d’anxiété qui la prenait aux tripes. Éviter de se replonger dans des visions cauchemardesques, de faire un rapprochement entre la tension présente et celle subit, autrefois. Mathias éloigné, elle nouait ses doigts ensemble. Le soleil semblait éloigner, désormais couvert par des nuages sombres, qui ne présageaient rien de bon. Et c’était pour peu dire, parce que la sœur faisait son apparition, attrapait le plateau, en faisant face à Marla. Un long regard échangé : pas des inconnues, pas pour autant amies. « J’veux le tien. » Elle énonçait vouloir le plateau qu’elle avait et Marla, elle la regardait d’un air dubitatif, se contentant de hausser les épaules, face à la sœur dysfonctionnelle. Chaotique. La volonté de foutre la merde dans ses prunelles, elle le voyait, l’Allemande. Se laissant faire. « Vous baisez ? » Que la sœur lui demandait, yeux dans les yeux. Marla, elle ne disait rien et préférait battre en retraite, boitant péniblement jusqu’à la chambre. S’allongeant. Les mains plaquées sur les oreilles, pour ne pas entendre les cris. La violence au sein d’un foyer. Juste… Oublier que tout ceci ressemblait trop à son passé, que l’angoisse montait, en même temps que les larmes aux coins de ses yeux. Putain, que c'était dur.
(c) TORTIPOUSS.


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Invité ✧
(#) Ven 18 Déc - 23:41
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-- (marthias 1).


Frotter, frotter ; s’écorcher la peau autant que l’âme. Voilà ce à quoi lui faisait penser ce rituel morbide, mortel. Posant une question, n’attendant jamais de réponses. Dans son monde, désormais : celui où il est seul avec la reine mère, priant pour que tout s’arrange. Un jour. Peut-être. Mais au final, jamais. Le dos de l’éponge, la bétadine, l’alcool : tout passe sur la peau et la douleur est bien plus profonde que quelques rougeurs dues à un nettoyage trop fort. Le cœur se serre à mesure que les secondes s’écoulent. Il se sèche, méthodiquement, presqu’au ralenti. Connaissant le scénario par cœur, sa vie à la seconde près. Il pose la serviette sur son épaule, attrape le plateau et se dirige vers l’étage, sans un regard ni un mot pour quiconque : désormais, plus vraiment là. Ailleurs. Une autre planète, une autre comète. Sa parenthèse. Sa culpabilité, mortelle. Il grimpe les escaliers : la troisième et la huitième marches grincent toujours ; et comme à chaque fois, il se rappellera qu’il doit faire quelque chose pour ça. Il oubliera, certainement. Il toque, une fois, avant d’ouvrir la porte. « Bonjour Maman. » C’est moi, qu’il aurait voulu rajouter. Mais il était sa seule visite, chaque jour qui passe, depuis trop d’années maintenant. Il pose le plateau sur une table, ouvre les rideaux, les volets. Laisse entrer un peu de lumière dans les ténèbres. « Je vais laisser la fenêtre ouverte un peu. » Il se retourne, elle le regarde, attendrie. Il aurait pu deviner un peu d’amour, au fond de ses yeux, si seulement il n’était pas aveuglé par ses propres sentiments. Il s’assoit à côté d’elle, rapproche le fauteuil. Redresse un peu la tête de lit, embrassant la main de la reine mère. « On déjeune et je te lave juste après, d’accord ? » Il n’attend pas vraiment de réponse. Mais il se dit qu’elle doit l’entendre : non, elle l’entend. Elle n’a simplement plus la force de répondre. « Je t’ai préparé un café et ce matin ce seront des toasts et du bacon. » Il soupçonne un sourire : il sait qu’elle adore ça. Il installe la serviette sous son menton et entreprend de lui donner à manger. « Marla est encore à la maison, j’espère que ça ne te dérange pas. »

(…) Il ferme la porte. Le plateau vide dans les mains. Il a attendu qu’elle s’endorme après sa toilette quotidienne. Il reviendra probablement dans l’après-midi, vu l’heure à laquelle elle a fini de manger. Comme à son habitude, il s’assoit sur la première marche, dépose le plateau à côté de lui et attrape sa tête entre les mains. Il va mettre quelques minutes à s’en remettre, à retirer cette boule au fond de la gorge, de l’estomac, du ventre. Ce poids dans les jambes et cette difficulté à respirer. Mais il se relève finalement, descends les escaliers sans faire attention au bruit. Il dépose le plateau sur le bord de l’évier, remarque l’absence de vie dans le salon. Il passe par la chambre d’Emma, qui dort comme une souche sur son lit. Il attrape le plateau, le remet vers l’évier. Il fit la vaisselle en quelques dix minutes avant de retourner dans la chambre où il admire Marla du chambranle de porte. Il inspire, fort. Mais ça lui fait mal, juste ça : de respirer. De vivre, tout simplement.
(c) TORTIPOUSS.


Marla Katz
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Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Trigger Warning : J'aborde en rp : conflits familiaux, violence (physique, mentale, infantile), manipulation, délinquance, sexe, enlèvement, pauvreté (ancienne SDF), troubles du comportement alimentaire, pensées suicidaires, anxiété, dépression, relations toxiques, addiction (somnifères).

Je refuse de jouer : cruauté animale (non, non et re-non), viol, prostitution, mort.

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dans la nuit
Elle était belle dans la nuit, à la lueur de la lune ronde. Des rubans dansent dans ses cheveux et le vent rie à ses côtés. Sur les chemins parsemés d’étoiles, elle brille de mille feux. Ses mains implorent le ciel au temps qui se suspend. Une envolée d’oiseaux nous rappelle, qu’elle était belle, elle.
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RPs : 0
Pseudo : BRAINDEAD.
Pronom : Elle.
Messages : 813
Faceclaim : Charleen Weiss.
Crédits : Romanov (avatar), Myself (signature), Ethereal (icons).
Inscription : 22/11/2020
Multicomptes : Baby Meï.
Nombre de mots par RP : 200 - 600 mots.
Fréquence de RP : Lorsque j’ai envie.
Je suis plutôt : Dark et chill.
Young Idiot
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Citoyen de NYC ✧
(#) Sam 19 Déc - 10:44
❝ m'abîmer sans te perdre. ❞
-- (marthias 1).


Le temps s’égrainait et elle parvenait à s’apaiser, Marla, en faisant appel à la raison. Ses prunelles fermées, les images de cette nuit lui venaient et suffisaient à calmer la tension ressentie, face à la tête provocante d’Emma. Ce n’était pas la première fois qu’elle se permettait tant d’aise avec Marla, qui se sentait impuissante, trop souvent, n’osant pas le faire remarquer à Mathias. Que lorsqu’il s’en allait, s’occuper de sa mère alitée, Emma s’agitait pour la provoquer, quémandant indirectement de l’attention de la part de la jolie. Bien trop similaire à ses jumelles, se donnant à cœur joie pour la pousser à bout. Marla, elle ne marchait pas et s’était réfugiée dans leur havre de paix. Seul instant où ils pouvaient se retrouver et cesser de penser à cette vie injuste, vécue depuis de longues années. Larmes séchées, le corps se redressait, glissant ses mèches indisciplinées derrière ses oreilles en attrapant de quoi se laver. Une maigre trousse avec deux ou trois produits uniquement, pas de place pour des artifices ou du maquillage, habituée à se trimballer avec le strict minimum. Incapable de se défaire de ses habitudes de clocharde, Marla, à en juger les vêtements bousillés qu’elle continuait de porter, en dépit des autres achetés pour quelques pièces en friperie. Désastre ambulant, les gambettes difficilement tendues. La tête dans son sac à dos, plus rempli d’air que d’affaires, elle détournait les mirettes en direction de Mathias. Elle le reconnaissait, ce regard, l’expression qu’il affichait à chaque fois qu’il descendait de l’étage. Le calme alors que le chaos régnait. Et sa petite taille s’approchait de lui, plongeait ses mirettes océaniques dans les siennes, à peine une caresse sur sa joue, du creux chaud de sa paume. Pas besoin de mots lorsqu’ils s’échangeaient de tels regards, les doigts se liant pour le guider jusqu’à la salle de bain. Dans laquelle, Marla faisait couler un bain chaud, un peu mousseux, fermant derrière eux. L’heure de prendre soin de lui, son corps apposé sur le sien. Une étreinte, prémisse d’un instant entre parenthèses, désormais que le silence demeurait au sein du foyer. Marla, elle retirait sa culotte suivie du sweat, se mettant à nue et rentrait dans l’étendue chaude, attendant qu’il en fasse de même. Pour qu’il se glisse entre ses cuisses, qu’elle l’encercle de ses bras et jambes, le laissant s’étendre contre elle. Quelques minutes, heures, le temps qu’il faudrait pour qu’il aille mieux, Mathias. Son visage, appuyé sur son épaule, Marla, elle embrassait sa mâchoire, se prêtant au jeu de la détente, désormais que leurs enveloppes étaient collées l’une à l’autre. Ses seins sur son dos, ses jambes étendues autour de lui et des respirations éthérées, se perdant dans le silence environnant, dans la vapeur les cerclant. Un instant de plus au milieu des ruines qu’elle lui offrait, qu’elle s’offrait également, elle, l’âme recherchant constamment de l’attention, de quoi combler ses carences affectives. Marla et Mathias, un ensemble. Une alchimie au-delà des mots et maux.
(c) TORTIPOUSS.


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(#) Dim 20 Déc - 0:04
❝ m'abîmer sans te perdre. ❞
-- (marthias 1).


La tendresse volée, comme si dans le fond il ne la méritait : ni cette caresse du creux de la paume, ni le regard d’une brune divine. Ni les sourires par-delà les maux : comme pour se souvenir qu’il y a aussi un paradis, au-delà d’un simple enfer. Les doigts s’enlacent sans jamais se lasser, le besoin de s’accrocher à quelqu’un : même si dans le fond, on le sait tous qu’elle est un peu bancale aussi. Un peu cassée, un peu fêlée : pour faire rentrer la lumière, il faut bien non ? La salle de bain est petite, même exigüe : exigeant de vos carcasses de juste se serrer, un peu plus, pour laisser la place au vide, à ce pleins d’émotions, de mort qui crève tous les plafonds, transperce tous ses murs au crépit miteux. L’eau coule, Marla se déshabille : et il aurait aimé avoir quelques talents pour la peindre ; dépeindre le tableau chaotique d’une divinité sur Terre. Il aurait appelé ça : la perfection au milieu des vivants. Il l’accueille au creux de ses bras, refermant seulement un membre autour d’elle, l’autre inerte, comme déjà mort. Les lèvres se perdent dans les cheveux, le regard se plonge dans une dimension parallèle : ailleurs. Le temps de cligner des yeux, de revenir chez les vivants, et elle était dans le bain, à le regarder. Il s’est débarrassé de ce jean, de ce boxer : bout de tissu de trop dans un moment si pure, si intense. Et se glisser dans le bain, dans ses bras, la jambe à l’extérieur pour ne pas mouiller ce bracelet. Faisant attention à la jambe de la brune, pour ne pas la blesser un peu plus. Et poser sa tête en arrière, sur l’épaule de Marla, en fermant les yeux. S’aimer, aimer les caresses, l’eau chaude autour d’un corps : retour au ventre de la reine mère, une sensation manquée, des instants volés. Les respirations s’accouplent, les corps se couplent : et les âmes, elles, s’enlacent. Fusionnent. Ne deviennent qu’une. Pour se sentir exister dans les yeux de l’autre. Un baiser sur la mâchoire du brun, et il embrasse le cou de la brune. Echange de tendresse, de moments indispensables à la survie de l’un, de l’autre. Une main vient pianoter, danser sur l’épiderme de Marla : du genou, à la cuisse. Caressant la moindre parcelle de peau, du bout des doigts. Et chantonner une berceuse, pour apaiser l’enfant en soi, en eux. Pour devenir des grands un peu moins bancales, un peu moins vivable. Merveilleuse douleur, quand on se l’inflige dans des bras aussi divins.
(c) TORTIPOUSS.


Marla Katz
Marla Katz






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Surnom : Kiddo, Katz.
Âge : 29
Origines : Allemandes.
Occupation : Étudiante aux Beaux-Arts vendant ses services en tant qu'artiste free-lance et Fleuriste, en job étudiant.
Lieu de résidence : Maisonnette (Queens) avec Mathias. ♡
A New York depuis : ses dix ans.
Situation Amoureuse : Il n’y a que les yeux de l’amour qui comptent.
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Trigger Warning : J'aborde en rp : conflits familiaux, violence (physique, mentale, infantile), manipulation, délinquance, sexe, enlèvement, pauvreté (ancienne SDF), troubles du comportement alimentaire, pensées suicidaires, anxiété, dépression, relations toxiques, addiction (somnifères).

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Elle était belle dans la nuit, à la lueur de la lune ronde. Des rubans dansent dans ses cheveux et le vent rie à ses côtés. Sur les chemins parsemés d’étoiles, elle brille de mille feux. Ses mains implorent le ciel au temps qui se suspend. Une envolée d’oiseaux nous rappelle, qu’elle était belle, elle.
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(#) Dim 20 Déc - 13:43
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-- (marthias 1).


L’attraper à la volée pour mieux l’enlacer, lui faire comprendre qu’elle ne vacillerait s’il posait un regard sur elle. Qu’il ne la briserait pas, elle, qu’elle ne lui échapperait pas. Que tout se passerait bien, pour une fois, qu’ils ne foutraient rien en l’air, s’ils le voulaient. Une tendance à tout bouleverser, renverser, le long d’une aventure sinueuse, où les pertes et accidents parvenaient. Marla, reine du désastre, les mauvais choix cumulés à n’en plus pouvoir. Maladresse comme maître-mot. L’enveloppe parsemée de stigmates et de plaies, à l’effigie du reflet dans le miroir qu’incarnait Mathias. L’accueillant en son sein, ses bras autour de lui, d’une délicatesse à faire succomber les anges. Une étreinte salvatrice, réconfortante, permettant de recoller les morceaux, même lorsqu’elle s’en éloignait, afin de faire chuter les quelques étoffes couvrant son enveloppe. Une nudité frôlant l’aphrodisiaque. L’appel au voyage, le long de ses courbes enivrantes, de ses galbes rebondis. Ses yeux dans les siens, le brasier de la passion intacte, occulté. Et ses prunelles qui l’appelaient, à la manière de cette sirène perchée sur un rocher, à l’affût des marins pour les entraîner au fin fond de l’océan, au sein des abysses, d’un royaume de simulacres. Le bleu de ses prunelles portait à confusion, avec l’étendu azurée. À tendre ses bras pour qu’il vienne s’y réfugier, en son cœur serein. Au milieu de ces flots hargneux, une stabilité offerte, lorsque les bras s’entouraient autour de lui, les phalanges effleuraient son épiderme, apposé sur le sien. Contact électrisant de leurs dermes humides, adhérant l’un à l’autre. Les extrémités des doigts glissaient sur les bras, d’où certains reliefs émanaient. Elle les bénissait, de quelques effleurements exaltants, Marla, perdant ses pulpes le long de sa nuque, jusqu’à son épaule. Mélange de chaleur et de tendresse de la femme aux gestes capiteux. La tentation en une seule enveloppe charnelle, les paupières closes sur ce tableau se dessinant. Frissonnant au contact de ses phalanges le long de sa peau, soupirant lentement en laissant son dos reculer de peu, pour faire face à celui de Mathias. Qu’elle venait embrasser de ses lèvres délicates, quelques minutes s’égrainaient entre chaque baiser. Juste le temps de parcourir quelques cicatrices, avant de laisser son dos s’affaisser un peu plus contre le rebord de la baignoire. Les bras ne le lâchaient pas, de cette étreinte réconfortante, dans laquelle elle l’accueillait. Qu’il se love davantage entre ses cuisses, contre son buste, le minois de la sublime déposé sur son épaule. Fermant les yeux, parfois parcourue de chair de poule lorsqu’il se baladait le long de ses galbes.
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(#) Dim 20 Déc - 23:29
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Tout est en feu autour de vous, et pourtant vous vous octroyez une pause parmi les flammes de l’enfer : comme si le simple fait d’être à deux, au sein même d’un Quartier Général 6 pieds sous Terre, suffisait à vous rendre invincible à l’incinération que la vie semblait avoir plaisir à vous faire subir. Et ça blesse, si fort, l’un comme l’autre. Mais une fois le corps entouré du liquide semblable à l’environnement si rassurant d’une grossesse, tout semble fugace. Presque imaginaire, tant les choses semblent suspendues dans les airs. Elle se niche au creux même de son cou, laissant ses mains l’entourer du genre d’étreinte qu’il aime, qu’il cherche et recherche tous les jours de sa misérable existence. Et esquisser enfin ce qu’on devine un sourire détendu, quand elle recule pour embrasser les cicatrices d’un passé ; vestige d’une autre histoire, d’une autre existence. Elles continuent de brûler, les marques rouges sur la peau, devenues blanches avec le temps. Elles lui semblent encore si vives, comme si elle datait seulement d’hier : l’enfant intérieur, en proie à des flammes plus destructrices encore que ces coups définis, infinis, dans le salon. Ce bâton en bambou, qui s’écrasaient dans un fracas encore assourdissant. Une fois. Deux fois. Probablement des dizaines de fois, pour des raisons plus ou moins valables. Jamais assez : assez bien, assez fort, assez fier, assez intelligent, assez compréhensif. Toujours : sa faute, son problème, ses efforts, son existence. Et ça raisonne encore, à l’intérieur : comme si, finalement, l’échos d’une vie pas méritée serait présente jusqu’à la fin. Il ne faisait même pas attention aux yeux de la brune, qui se perdait sur son minois. Il n’était plus vraiment ici, dans cette salle de bain, dans ce bain, dans ses bras. Il était redevenu ce gamin de 7 ans, et inévitablement il revivait l’accident : les cris, les coups, cette chute. La fin. Et alors, il secoue la tête pour se sortir de ce cauchemar : priant encore une fois pour que rien ne soit réel. Mais même dans cette piteuse salle de bain, la culpabilité ne le quittait jamais. Ne restait qu’à essayer d’être mieux, une meilleure version d’ce gamin coupable. Une inspiration, les yeux légèrement trop humides, il se penche en avant pour plonger l’entièreté de sa tête dans l’eau, les oreilles comprises. Oublier, l’espace d’un instant. Et se noyer pour de vrai, plutôt que dans son amas de violence interne.
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