La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
Surnom : tianshi, "p'tit nerd", ainsi de suite. ET KANG KANG SURTOUT
Âge : 28
Origines : coréennes par le papa défunt, australiennes par la maman. il a la nationalité américaine.
Occupation : ancien étudiant, a failli obtenir son master en ingénierie civile, a été viré en août 2020 + co-propriétaire d'un label de musique avec Levi Welch, il est aussi son batteur + indic
Lieu de résidence : brooklyn.
A New York depuis : 2003.
Situation Amoureuse : célibataire depuis peu, il ne veut plus se laisser aller dans une autre relation, bien trop brisé par la dernière, celle avec isaac. perturbé par ses émotions qui le submergent, il enchaîne les conquêtes.
Orientation sexuelle : bisexuel, se découvre polyamoureux depuis peu.
Des rires transpercent le silence, perturbant la quiétude du quartier dans lequel ils se trouvent. C’est encore une de ces soirées où Leith se rappelle à quel point il fait partie de ces déchets de la société. Pourtant, il se complait dans ce statut, se mélangeant à ses amis sans trop de difficultés. Que de mauvaises influences, bien sûr. Difficile d’imaginer l’ancien « lui » fréquenter de telles personnes, après tout un nerd n’aurait rien à faire avec ces types-là. Aujourd’hui, il donne l’impression de ne jamais avoir été un enfant sage. Les yeux dilatés et rouges, un sourire ahuri traversant son faciès juvénile, ils s’amusent à embêter le voisinage. On leur hurle dessus, ils doivent déguerpir, selon le vieillard qui les menace. Les minutes s’écoulent, il se sent vivre, l’adrénaline lui permet de s’exalter. La lassitude se parsème dans le groupe, des « salut » brefs sont échangés et chacun se sépare. C’est dans ces moments-là que Leith redoute le chemin jusqu’à son appartement miteux. Peut-être même que c’est pour ça qu’il ralentit la cadence, sa démarche soudainement nonchalante. Rentrer, s’enfermer dans sa chambre, s’allonger sur le lit et se perdre dans la contemplation du plafond… Très peu pour lui. Ses doigts viennent récupérer un deuxième joint qu’il a préparé tout à l’heure. Son ancien perfectionnisme d’intello a tout calculé : un gramme pile a élu domicile dans ce tube de poison. Il s’arrête dans une rue, qu’il pense déserte, et la coince entre ses lèvres. Il l’allume, sans se douter une seule seconde qu’en réalité, il n’est pas tout seul. Il laisse la fumée s’extirper, créant ce gros nuage au-dessus de lui, qu’il observe un instant. Perdu dans ses songes, il n’entend même pas les pas se diriger vers lui… et probablement qu’il aurait dû.
Scène aberrantes se déroulant juste sous tes yeux, la vision de cette bande de petit merdeux en train de saccager tout ce qu'ils peuvent trouver sur leur passage, rires rythmant leurs actes sous les cris, les insultes de ceux qui parviennent à les voir, ignorance venant d'autres et toi, à peine sorti d'un rendez-vous et constatant les dégâts. Des voitures rayées, toutes les unes après les autres alors qu'elles sont toutes garées sur le côté de la route. La tienne n'y échappe pas et quand tu relèves la tête tu vois que la bande n'est pas si loin, tu entends encore leur rire, tu aperçois leur silhouette même alors tu abandonnes ta pauvre voiture à cet endroit, là, avec pour projet de la récupérer plus tard car tout ce que tu veux c'est choper un de ces gars, avoir un nom, pouvoir porter plainte et possiblement te faire rembourser car les temps sont durs, l'argent ne rentre plus sur le compte en banque et tu ne peux pas réparer de ta poche ton véhicule. Certains diront que ce n'est qu'un détail mais cet argent tu en aurais surtout besoin pour vivre et ce serait l'occasion parfaite de récupérer un peu d'argent. Les pas sont rapides, tu te fais discret parce que seul tu risques de passer un sale quart d'heure s'ils te remarquent et la chance semble aller en ta faveur quand ils se séparent. Tu en suis un, le petit brun qui t'emmène dans une espèce de ruelle sombre, calme, un peu trop à ton goût mais suffisamment pour que tu puisses sortir de ta cachette après l'avoir suivi quelques minutes. Constatant qu'il s'en allait se fumer son joint, tranquillement, les choses prenaient une nouvelle tournure pour toi et c'était l'opportunité ou jamais de l'accoster < Salut mec, dis, tu fumes quoi là ? Il t'en reste un peu ? > D'un signe de tête tu désignes le pet qu'il tient entre ses doigts alors que tu enfouies tes mains dans les poches de ton bas de smocking. Putain, t'as pas pensé au fait que t'es bien trop sapé pour te perdre par ici mais comme on dit, il ne faut jamais se fier aux apparences pas vrai ? Même le plus grand des cadres ou des PDG a bien le droit de traîner dans des quartiers comme celui-ci ou de chercher de quoi fumer en paix, non ? Pourvu qu'il ne se ferme pas au contact, pourvu qu'il ne se pose pas trop de questions non plus.
Leith Kang
Surnom : tianshi, "p'tit nerd", ainsi de suite. ET KANG KANG SURTOUT
Âge : 28
Origines : coréennes par le papa défunt, australiennes par la maman. il a la nationalité américaine.
Occupation : ancien étudiant, a failli obtenir son master en ingénierie civile, a été viré en août 2020 + co-propriétaire d'un label de musique avec Levi Welch, il est aussi son batteur + indic
Lieu de résidence : brooklyn.
A New York depuis : 2003.
Situation Amoureuse : célibataire depuis peu, il ne veut plus se laisser aller dans une autre relation, bien trop brisé par la dernière, celle avec isaac. perturbé par ses émotions qui le submergent, il enchaîne les conquêtes.
Orientation sexuelle : bisexuel, se découvre polyamoureux depuis peu.
Son deuxième joint entre ses doigts, l’effet est presque immédiat. Les muscles de son corps se détendent encore plus, ses pensées s’éparpillent moins, son esprit est étrangement clair. De toute façon, c’est ce qui lui permet d’être justement moins distrait par ses songes. La ruelle sombre dans laquelle il se trouve devrait le forcer à accélérer la cadence pour rentrer chez lui, mais… il s’arrête. Il est bien là, dans son coin, à fumer et à se ruiner les poumons déjà fragiles par son asthme. C’est la sensation que quelqu’un se place à ses côtés qui le fait tourner la tête, puis enfin, il entend une voix. Son regard se pose sur un homme, il remarque directement les cicatrices sur son visage, ne réagissant pas spécialement à cette vision. Tandis qu’il l’écoute, ses iris longent sa silhouette de haut en bas, méfiant. Qu’est-ce qu’un type comme lui fout là ? songe-t-il, perplexe. Sa main décale légèrement derrière lui, soudainement sur la défensive. Peut-être que c’est un flic ? Non, ce serait idiot de sa part qu’il vienne lui demander un joint de cette manière. C’est trop direct. Il penche la tête délicatement sur le côté, tel un chiot qui essaye de comprendre. Désolé, c’est le dernier, qu’il répond d’un ton nonchalant, tout de même « amical ». Il n’a aucune raison de le provoquer, n’est-ce pas ? D’ailleurs, peut-être qu’il se fait des films et que c’est juste un type qui a eu une dure journée. Après tout, c’est un balafré, n’importe qui se sentirait mal avec une tête pareille. T’es pas un flic, j’espère ? Sa question est peut-être trop franche, mais il n’a pas pu s’en empêcher. Un sourcil haussé, il continue de l’observer. Parce que, bon… si oui, t’es vraiment nul. Et mal sapé. Enfin, c’est juste un avis comme un autre.
Le dernier, c'est son dernier joint, tant mieux au moins tu n'aurais pas à faire le caïd, fumant devant l'homme pour lui montrer que tu l'accostais bien pour ça alors que tu n'as jamais touché à ça de ta vie. C'est que tu aurais vite été cramé à tousser comme un vrai novice et le moins que l'on puisse dire c'est que rien ne semble échapper au petit jeune, tu sens son regard sur ta personne, ses yeux qui t'observent, pour sûr la tenue que tu portes ne passeras pas inaperçu. Les épaules se haussent après sa question, les sourcils se froncent, c'est la deuxième fois en peu de temps qu'on te pose cette même question, et deux fois aussi qu'on te fait une réflexion sur ta façon de te tenir, ta façon de te fringuer ou encore ton air mal en point. Bordel, t'es si pitoyable que ça ? Ta barbe doit encore être taillée, tes cheveux méritent un petit coup de ciseaux mais t'es pas si horrible que ça à regarder, enfin... < Quoi, qu'est ce qui ne va pas dans ma tenue ? > que tu demandes, l'air interrogateur. En soit on s'en fiche de ta tenue ce n'est qu'un détail mais tu tentes de lui faire baisser sa garde, renvoyant une image de type cool qui ne se prend pas la tête pour mieux discuter avec lui, avancer à le cuisiner. < Les poulets et moi on n'est pas copains, moi, je suis plus de ceux qui s'amusent à les faire galoper. Ça me vexe presque que tu m'ai pris pour l'un d'eux. > Langage bien différent du tien habituellement, toujours dans le but de l'éloigner de la réalité, te donnant un air, un faux genre, te créant un personnage même sans trop savoir si c'est cohérent ou s'il va se dire que t'es vraiment bizarre, en tout cas tu as au moins la satisfaction de ne pas t'être fait envoyer chier. Quelques échanges de plus et peut-être que tu pourrais avoir son nom et en prime celui du gars à qui il achète sa drogue. De quoi faire d'une pierre deux coups.
Leith Kang
Surnom : tianshi, "p'tit nerd", ainsi de suite. ET KANG KANG SURTOUT
Âge : 28
Origines : coréennes par le papa défunt, australiennes par la maman. il a la nationalité américaine.
Occupation : ancien étudiant, a failli obtenir son master en ingénierie civile, a été viré en août 2020 + co-propriétaire d'un label de musique avec Levi Welch, il est aussi son batteur + indic
Lieu de résidence : brooklyn.
A New York depuis : 2003.
Situation Amoureuse : célibataire depuis peu, il ne veut plus se laisser aller dans une autre relation, bien trop brisé par la dernière, celle avec isaac. perturbé par ses émotions qui le submergent, il enchaîne les conquêtes.
Orientation sexuelle : bisexuel, se découvre polyamoureux depuis peu.
La fumée ondule délicatement de ses lèvres, s’élève dans le ciel. L’homme en face de lui est clairement étrange, et puis il l’observe plus il a un mauvais pressentiment. Pourtant, il n’est pas des plus méfiants, Leith, sa capacité à se créer des contacts vient du fait qu’il baisse vite sa garde. Mais ce type… non, il ne le sent pas. Ou alors il est trop paranoïaque. Sûrement que c’est ça, d’ailleurs. Ses yeux embrumés se baladent sur sa silhouette quelque peu… dépravée… en profitant au passage de lâcher un petit commentaire blessant. A la question de l’homme mystère, le jeune rebelle ne peut s’empêcher de hausser un sourcil, un léger sourire en coin ornant son faciès nonchalant. Nan rien, mec, j’ai rien dit, elle est top ta tenue. A ses mots, il tend son pouce, pour accentuer sa phrase. Flemme d’argumenter, qu’il songe, de toute façon il est défoncé et n’a pas envie de trop réfléchir. La justification du type paraît plausible. En réalité, il est même tenté de se laisser aller et de lui passer son joint, mais il reste tout de même sur ses gardes. Les poulets… les faire galoper… encore un peu et il ricane. Un vieux dans l’âme, très certainement. C’en est presque mignon. Lassé de sa weed, arrivée aux trois quarts, il la jette et l’écrase au sol. Du gâchis, oui. Laissant une dernière fois le nuage gris s’extirper de sa bouche, il se décide à se montrer plus franc. Bon écoute… commence-t-il, se déplaçant pour se rapprocher, tapotant son torse de sa main d’un geste presque « amiable ». Dans les faits, il est juste un peu agacé de pas comprendre ce que lui veut ce mec. J’sais pas ce que tu m’veux, mais t’agis bizarrement, gros. Y a juste les vieux types qui disent "les poulets" et en général, j’leur fais pas confiance. Il penche légèrement la tête sur le côté, fronçant faiblement les sourcils, retrouvant son air provocateur qui lui est bien habituel. Donc soit tu craches le morceau, soit tu t’barres de là.
Les yeux bleus se posent sur ce pouce qui se lève juste devant eux, les mots l'accompagnant sonnent comme un mensonge ou un moyen de ne pas rentrer dans le vif du sujet. Vous serez au moins d'accord sur ce point, ça ne sert à rien de débattre trois plombes sur ta tenue, de toute façon tu n'es pas là pour avoir des conseils beauté, ce que tu veux, ce que tu cherches est plus délicat à aborder et c'est sans doute pour ça que tu tournes autour du pot, que tu réfléchis à comment dire les choses, comment lui tirer les vers du nez sans que ça se retourne contre toi. Le petit jeune s'approche, ta tête se baisse rapidement en direction de sa main qui te tapote tranquillement alors que tes sourcils se froncent. Tu n'es pas forcément très à l'aise avec la proximité, tu sais pas ce qui peut se passer maintenant qu'il est aussi proche de toi et si ce type n'a aucun scrupule à bousiller des caisses sur le bord de la route avec ses copains, qui sait ce qu'il est capable de faire pour se sortir d'une situation étrange comme semble l'être celle que vous partagez actuellement. Qu'il se méfie n'a rien d'anormal, toi-même tu te serais méfié du premier type t'accostant dans ce genre d'endroit et t'adressant la parole de cette façon. Tu comprends alors son interrogation et tu sens que si tu ne te sors pas de cette situation il va te filer entre les doigts. « J'sais pas quel âge tu as mais je vois pas en quoi parler de poulets fait de moi un mec indigne de confiance, c'est pas parce que t'as la tronche d'un gamin de douze ans que tu dois émettre un jugement sur un mec plus vieux que toi. » Les yeux se lèvent vers le ciel prenant cet air faussement dépité et tu soupires rapidement. « Je voulais juste trouver de quoi fumer, t'as rien à me dépanner alors tu peux peut-être me dire où je peux en trouver rapidement en échange ? » La tête se penche, tu l'interroges du regard, préférant jouer la carte de la drogue comme à ce premier échange pour ensuite peut-être avoir son propre nom que de faire le schéma inverse et tout perdre.
Leith Kang
Surnom : tianshi, "p'tit nerd", ainsi de suite. ET KANG KANG SURTOUT
Âge : 28
Origines : coréennes par le papa défunt, australiennes par la maman. il a la nationalité américaine.
Occupation : ancien étudiant, a failli obtenir son master en ingénierie civile, a été viré en août 2020 + co-propriétaire d'un label de musique avec Levi Welch, il est aussi son batteur + indic
Lieu de résidence : brooklyn.
A New York depuis : 2003.
Situation Amoureuse : célibataire depuis peu, il ne veut plus se laisser aller dans une autre relation, bien trop brisé par la dernière, celle avec isaac. perturbé par ses émotions qui le submergent, il enchaîne les conquêtes.
Orientation sexuelle : bisexuel, se découvre polyamoureux depuis peu.
De ses pas nonchalants, il s’approche du type étrange, tapotant presque amicalement son torse. Son regard embrumé est rivé sur son visage balafré – d’ailleurs la curiosité l’éprend, ce mec l’intrigue. Leith est loin d’être sobre, mais malheureusement pour son interlocuteur ; la paranoïa fait partie des inconvénients de la défonce à la marijuana. Chaque geste qu’il entreprend, chaque mot qu’il décide de prononcer ne font qu’instaurer mille et une questions dans son esprit. L’homme se met à parler, ses phrases sont teintées d’une légère raillerie. Un gamin de douze ans, dit-il. Il a l’air si juvénile que ça ? songe le petit rebelle, une moue interrogatrice ornant son faciès. Face au soupir du mec, il fronce légèrement les sourcils, l’écoutant pourtant sagement. Il n’a de toute façon pas le temps de lui répondre quoi que ce soit. A sa question, il semble perdu dans ses songes, virevoltant à travers de nombreuses théories farfelues. Donc, il veut vraiment fumer ? Il entrouvre les lèvres, prêt à lui proposer un de ses contacts, quand il s’arrête. Ses iris longent ses cicatrices, son cerveau à moitié endormi ne l’aide pas à rester concentré. Puis, soudain, il se met à parler, mais pas sur le sujet actuel. J’ai vingt-quatre ans, en fait. Je sais que j’ai l’air d’un ado, mais… j’suis pas si jeune. Toi, j’te donne la trentaine. A tout casser, ouais. T’as une tête à t’appeler Bob, aussi. Le genre de mec que… il se penche, prenant un air mystérieux, de sa voix basse : .. les mères disent de pas fréquenter, ha-ha. Du coup, t’es du style pas fréquentable, ou… ? Parce que moi j’le suis. J’viens de péter des voitures avec des potes. C’est classe, pas vrai ?Pas du tout, lui insuffle sa voix intérieure, alors qu’il affiche un sourire en coin, emprunt de vantardise.
Parler boulot, parler événements, parler de la pluie et du temps tu sais faire mais parler de drogue, accoster un jeune qui ne doit pas être plus âgé que ta petite soeur c'est différent surtout quand t'as l'impression que vous venez de deux mondes différents. Tu sais pas comment t'y prendre, tu sais pas comment obtenir ce que tu veux, il te faudra sans doute encore un peu de patience, d'essais, encore un peu d'entraînement pour parvenir à amadouer le premier mec rencontré et lui tirer les vers du nez mais tu te démènes, voyant ici une opportunité à saisir. La proposition est lancée et tu l'observes silencieusement, sn regard est étrange c'est comme s'il était là sans l'être réellement et t'oses pas interrompre ce moment où il semble songeur, ou juste ailleurs, attendant juste qu'il te donne un nom ou qu'il te fasse une énième remarque sur ton look merdique. Mais non. C'est sur son âge qu'il revient et se met à faire l'hypothèse du tien avant de faire une révélation qui n'en est pas une pour toi. Tu le sais, tu les as vu ces petits merdeux et tu voulais au moins en choper un pour te faire rembourser, lui faire payer, jusqu'à ce que tu le vois en train de fumer tranquillement. Tout se bouscule dans ta tête, est ce que tu lui dis que tu sais, que tu l'as vu et qu'il va devoir payer les frais ou bien tu continues de tourner autour de cette histoire de drogue, ayant peut-être la possibilité de mettre la main sur un fournisseur, un mec bossant autour des gangs de la ville que tu rêves tant de voir sombrer. Tout va si vite. < C'est bien, t'as l'oeil, tu vises juste pour mon âge. Bon, toi tu fais pas forcément le tien, t'as une tête de gosse et tu veux me faire croire que toi, avec ta gueule d'ange, t'as fait ça ? J'te crois pas. Pourquoi tu aurais fait ça ? > Sourcil qui se hausse presque naturellement. < Et à ton avis, si je suis pas un homme de confiance, quel délit j'aurai pu commettre hm ? Qu'est ce qu'elle dirait ta maman? Dis-moi. > C'est pas que tu voudrais sympathiser mais ça pourrait marcher. Le mettre à l'aise, lui donner confiance le temps d'un instant, faire valser ses barrières le temps de récolter des infos, même la plus minime serait bonne à prendre.
Leith Kang
Surnom : tianshi, "p'tit nerd", ainsi de suite. ET KANG KANG SURTOUT
Âge : 28
Origines : coréennes par le papa défunt, australiennes par la maman. il a la nationalité américaine.
Occupation : ancien étudiant, a failli obtenir son master en ingénierie civile, a été viré en août 2020 + co-propriétaire d'un label de musique avec Levi Welch, il est aussi son batteur + indic
Lieu de résidence : brooklyn.
A New York depuis : 2003.
Situation Amoureuse : célibataire depuis peu, il ne veut plus se laisser aller dans une autre relation, bien trop brisé par la dernière, celle avec isaac. perturbé par ses émotions qui le submergent, il enchaîne les conquêtes.
Orientation sexuelle : bisexuel, se découvre polyamoureux depuis peu.
Sans raison particulière, il se laisse soudainement aller. Cette barrière de méfiance qu’il a redressée autour de lui, le temps de paraître pour un « gros dur » auprès de l’homme étrange, s’est vue retomber. Après tout, il est trop nul pour être un flic. Ouais, les policiers ne sont pas aussi frontaux, aussi… eh bien... peu expérimentés ? Il a le flair pour ça. Un peu. Enfin, il croit. Alors, il parle. Il déblatère des trucs. La weed le rend un peu idiot, sur le moment même. Sûrement qu’il a cet air distant, perdu dans ses songes. Le type ne semble pas être gêné par ce retournement de situation, en réalité il paraît trop bavard et curieux. L’esprit embrumé de Leith ne note pas ce détail, au contraire, il se dit que ça doit juste être un pauvre type qui veut sociabiliser (comme lui, pas vrai ?). Il l’écoute, sa concentration légèrement éparpillée, les sourcils froncés. Pourquoi il a fait ça ? C’est quoi cette question ? Il réfléchit, fait une moue. Enfin, il finit par hausser les épaules, mou. Bah j’en sais rien gros. C’est amusant, j’imagine ? Tu devrais le faire aussi. T’as l’air euh… Il pointe sa silhouette. D’en avoir besoin, ouais. D’autres questions fusent, le petit rebelle a du mal à réfléchir. Il a l’impression d’être un élève interrogé par un professeur un peu trop persistant, mais il met ce fait de côté, décidant tout bonnement d’être lui aussi enclin à la conversation. C’est que, malgré tout, cet homme a le don de mettre en confiance. Il se redresse, penche la tête sur le côté, l’analysant. Vu ta tête, j’me dis que tu dois souvent te bagarrer. Genre… j’sais pas moi… te la jouer Batman, ha-ha. Ou pas, ouais, c’est con. Désolé j’voulais pas juger, moi aussi je me bats parfois. Chacun son hobby, mec. Sa main s’enfonce dans sa poche, à la recherche d’un autre joint, sachant pertinemment pourtant qu’il a dit à l’étrange monsieur qu’il n’en avait plus. Contre toute attente, il sort un autre tube de poison, l’expression faciale changeant. Surpris, il le lui montre, tel un enfant qui a trouvé un jouet perdu. Oh ! J’en ai un autre finalement. Mais déso, je partage pas non plus. Par contre, j’peux te donner le nom du mec qui me l’a filé, il s’appelle… euh… p’tain, c’est quoi son nom à ce trouduc… ah ! James McGuire, voilà. Un grand brun qui traîne par ici. Moi c’est Leith au fait. Leith Park. Son bla-bla intense terminé, il tend sa main libre d’un petit sourire. Et quel idiot il fait, à partager ses secrets…
Contre toute attente le jeune homme semble baisser sa garde, il se détend, commence à faire la discussion sans que tout tourne autour de toi, de ce que tu fais ici, pourquoi tu l'as suivi, c'est qu'en détournant les choses, en insistant tu as peut-être réussi à obtenir quelque chose ? Il lui conseille même de s'adonner aux même activités que lui. < Tu l'as vraiment fait parce que c'est amusant ? Je pensais qu'on détruisait des choses quand on était en colère.. > Décidemment, tu auras toujours du mal à comprendre cette nouvelle génération, la jeunesse d'aujourd'hui qui, juste pour le fun, s'amuser cassent des voitures come des gueules, s'adonnent à des activités peu légales juste pour repousser ses limites. Jeunesse qui semble plus libre, plus heureuse que tu ne peux l'être, toi, le type qui n'a jamais fait un pas de travers. Plus jeune, tu as fait quelques conneries mais rien de comparable, c'était gentillet et peut-être que si tu avais plus vécu, tu n'aurais pas l'air d'un type aussi coincé. < C'est clair qu'il faut pas me chercher, mais Batman est trop riche pour qu'on m'associe à lui. > que tu blagues un peu, ta situation financière n'étant pas du tout comparable à celle de l'homme chauve-souris auquel il a pu te comparer. Puis avec un regard intrigué tu te demandes ce qu'il fabrique à chercher dans sa poche, tu sais pas ce qu'il peut sortir de là-dedans alors tu restes un peu méfiant mais quand tu vois le joint sous ton nez, tu sourcilles de surprise avant d'afficher une petite moue quand il te dit qu'il ne partagera pas jusqu'à ce qu'il avance dans ses propos et qu'un nom sorte, là, d'entre ses lèvres, suivi du sien. Leith Park alors, Leith park faisant affaire à James McGuire, tu prends note, ta main venant serrer la sienne. < Content de faire ta connaissance Leith Park, moi c'est.. Julian Eastwood. > Tu sais pas d'où ça sort, ni même si ça colle à ta tronche mais tu ne peux pas prendre le risque de donner ton vrai prénom, manquerait plus qu'il parle de toi à son dealer, qu'ils fassent des recherches, trouvent ton adresse, non, c'est trop dangereux et des risques tu es prêt à en prendre mais à quel point ? < J'ai envie d'une bonne bière, tu veux boire un verre ? On va finir par se les geler ici. > signe de tête pour tâter le terrain, voir ce qu'il en dit le jeunot à la bouille de bébé, maintenant que les présentations sont faites, que les premières infos sont récoltées t'as pas envie de t'arrêter là.
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