La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
Cela faisait une bonne vingtaine de minute que Wyatt retournait son appartement de fond en comble. Rien ! Pourtant on ne pouvait pas vraiment dire qu’il vivait dans un palace. Loin de là. Son « loft » ressemblait plus à une chambre étudiante avec cuisine et salle de bain intégré qu’à un appart digne de ce nom. « Putain. Bordel. Je sais où elle est ! » Il poussa sa main dans ses cheveux sale et soupira à l’idée de devoir s’y rendre. Pourtant est-ce qu’il avait vraiment le choix ?! S’il récupéré pas la montre, il allait finir par y laisser des dents. Bordel ! Attrapant sa veste, il sortit de chez Olivia et marcha direction chez Rose. En voiture ? Il n’avait pas l’argent pour en avoir une et la dernière qu’il avait volé, c’était nettement plus rentable de la revendre. Il marcha quelque rue avant de tomber sur le bâtiment de Rose... Brûler !
« Eh bin putain de merde ! » dit-il choqué avant d’attraper son téléphone pour essayer de joindre Rose. Okays, elle vivait chez Olivia. Ça expliqué bien des choses. Putain elle habitait super loin. Il vit un bus passer. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Super, le prochain arrêt était suffisamment bondé pour que le conducteur n’y voie que du feu. Ce fût un jeu d’enfant de se faufiler parmi la foule. Il descendit à l’arrêt où ça se vider le plus. Encore quelque foulée et il faisait face au bâtiment de Rose. Il tapota ses poche à la recherche de coin fumé et un sourire étira ses lèvres en tombant sur le reste d’un joint qu’il s’était dégoté la semaine dernière. Il tira quelque latte pour se motiver à affronter Rose et Ollie. Dans le hall, un lustre attira son attention. Sourire plein de malice au coin des lèvres, il tira une chaise pour grimper dessus et devisa le lustre. Il descendit de la chaise et ni vu ni connue le glissa dans son sac à dos. Ça avait l’air vieux donc cher. Tout ce qui est vieux est cher. Il grimpa l’escalier et frappa à la porte. Il était sûr que les toilettes de l’appartement qu’il allait voir faisait la taille de son chez lui.
Un petit message de Rose sur son téléphone avait suffi à lui gâcher sa matinée. Évidemment, la piquante brune s'excusait platement par avance et promettait de faire tout son possible pour rappliquer au plus vite mais vu le merdier qu'elle lui avait décrit, il y avait peu de chance - à moins d'un miracle - pour qu'on voit son joli minois dans l'appartement d'Olivia avant une bonne grosse heure. Pour un peu, la métisse se serait mis à croire. Mais niet : l'interphone la rappela à la navrante réalité une petite vingtaine de minute plus tard. La face de looser de Wyatt McFly - rien que le nom l'agaçait - ornait tristement le petit écran qui trônait fièrement à côté de la porte d'entrée. Un cadeau que sa grand-mère avait insisté pour faire installer avant qu'Olivia ne vienne faire son nid dans les anciens locaux de l'affaire familiale. Bref.
La belle afro-américaine se mordit la lèvre, laissant sa tête tressée de nattes savamment sculptées retomber en arrière. Il était trop tentant de feindre une soudaine surdité et de laisser l'autre crapaud moisir dans le hall de l'immeuble. Il pourrait aussi bien repasser plus tard, n'est-ce pas ?
[color=rosybrown« Han l'enflure ! »[/color], cracha-t-elle au moment où elle s'était justement convaincue de ne pas le laisser crever devant sa porte par égard pour Rose et aussi - surtout - parce que ça la débarrasserait du tas de bordilles qui avaient survécu aux habituels rituels de rupture ET à l'incendie. Autant dire que ces trucs étaient maudits sinon pire ! Elle le regarda décrocher le lustre avec insouciance sans cesser de vitupérer contre le gusse. Cette fois-ci c'était sûr : elle allait se le faire !
La porte du loft s'ouvrir sur le regarde de Cerbère aux yeux d'acier d'Olivia
« Deux dollars aux puces de Brooklyn. C'est du toc. Tu t'arrangeras avec Rose pour le côté affectif. », jeta-t-elle en s'effaçant à contre cœur pour le laisser entrer, « J'imagine que tu n'as pas oublié à quel point elle pouvait se montrer... compréhensive. » ajouta-t-elle d'un ton satisfait.
S'il ne s'était pas pris le reste de l'immeuble dans lequel lui et Rose avaient dû refaire la bête à deux dos pas plus tard qu'il y avait deux semaines, il saurait qu'il valait mieux ne pas compter sur son ex pour être ne serait-ce que "compréhensive". Rose était un monstre quand elle avait quelqu'un dans le collimateur. Elle allait le broyer et ensuite elle se ferait un plaisir de se rappeler régulièrement à son bon souvenir jusqu'à ce que mort s'en suive. Même Olivia ne voulait pas être là pour voir ça...
De toute façon ça n'était pas son problème. Plus vite ce bon-à--rien dégagerait de son appart, mieux ce serait. Elle n'avait pas l'intention d'engager la conversation ni quoique ce soit. D'ailleurs, elle ne lui avait même pas fait remarqué qu'il y avait un ascenseur. S'il avait décidé de se faire chier, c'était son problème après tout. Elle, s'en lavait complètement les mains. Tout ce qu'elle voulait c'était expédier l'affaire le plus vite possible. Qu'il prenne ses cliques et ses claques et qu'on n'en entende plus jamais parler.
Si elle avait su...
« Ton b-... tes affaires sont à côté du canapé. », elle s'était reprise de justesse. Inutile de provoquer l'animal.
Enfin, il y avait un carton de taille moyenne à côté du canapé. Les filles n'avaient même pas pris la peine de le fermer. Elles auraient pu si elles n'avaient pas tout jeté dedans à la va-vite. Mais dans les faits, on voyait bien qu'elles ne s'étaient pas soucié de rendre le voyage plus simple. Elles avaient simplement voulu se débarrasser...
C O D E ️ A L K A S E L T Z E R & GIF b y H A N N I B A L I S M
La porte s’ouvrit sur non pas Rose mais sur Olivia. « Ah c’est toi. » laissa-t-il échapper, le ton maussade trahissant son manque d’intérêt, avant que la métisse ne crache son venin, ses reproches remplaçant l’habituel « bonjour ». Il regretta d’avoir fini son joint en bas et de ne pas pouvoir lui cracher la fumé en pleine face à guise de réponse. Le cannabis l’aurais peut-être aidé à se détendre. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre qu’elle parlait du lustre. Il l’avait toujours su, cette fille était une sorcière. Sinon comment aurait-elle su ?! « Il reste toujours les naïfs qui n’y connaisse rien. » dit-il avec un sourire en coin. Après tout si lui-même c’était laissé avoir, il y avait fort à parier que ça pouvait être le cas d’autres. « Je n’ai pas oublié Rose tout court. » dit-il avec une certaine amertume. On pouvait lui prêté tout les défauts du monde, sa fidélité faisant sans aucun doute partit de ses qualités. Il n’avait jamais été homme à femmes. Il entra dans l’appartement luxe, se mettant nerveusement à rire. Evidemment ! Il n’était jamais venu ici mais cet endroit aller à merveille avec le comportement détestable d’Olivia. Riche évidemment. Il se dirigea vers le canapé et aperçut le carton contenait quelque affaire. Sans attrapé le carton, il commença à fouiller à la recherche de la montre. « Merde. Loupé. Elle est pas là ! » Il se dirigea vers la sortie en laissant ses affaires, sous l’œil étonné de la demoiselle. « J’repasserais les prendre plus tard. » Seule la montre l’intéressé, il s’en foutait bien du reste. Désormais dans le couloir, il remarqua alors l’ascenseur, ça serait quand même plus rapide. A croire que sa promesse de « revenir » n’était pas du gout d’Olivia parce que….
Accueil 
Les personnages 
️ A L K A S E L T Z E R & GIF b y H A N N I B A L I S M
La porte s’ouvrit sur non pas Rose mais sur Olivia. « Ah c’est toi. » laissa-t-il échapper, le ton maussade trahissant son manque d’intérêt, avant que la métisse ne crache son venin, ses reproches remplaçant l’habituel « bonjour ». Il regretta d’avoir fini son joint en bas et de ne pas pouvoir lui cracher la fumé en pleine face à guise de réponse. Le cannabis l’aurais peut-être aidé à se détendre. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre qu’elle parlait du lustre. Il l’avait toujours su, cette fille était une sorcière. Sinon comment aurait-elle su ?! « Il reste toujours les naïfs qui n’y connaisse rien. » dit-il avec un sourire en coin. Après tout si lui-même c’était laissé avoir, il y avait fort à parier que ça pouvait être le cas d’autres. « Je n’ai pas oublié Rose tout court. » dit-il avec une certaine amertume. On pouvait lui prêté tout les défauts du monde, sa fidélité faisant sans aucun doute partit de ses qualités. Il n’avait jamais été homme à femmes. Il entra dans l’appartement luxe, se mettant nerveusement à rire. Evidemment ! Il n’était jamais venu ici mais cet endroit aller à merveille avec le comportement détestable d’Olivia. Riche évidemment. Il se dirigea vers le canapé et aperçut le carton contenait quelque affaire. Sans attrapé le carton, il commença à fouiller à la recherche de la montre. « Merde. Loupé. Elle est pas là ! » Il se dirigea vers la sortie en laissant ses affaires, sous l’œil étonné de la demoiselle. « J’repasserais les prendre plus tard. » Seule la montre l’intéressé, il s’en foutait bien du reste. Désormais dans le couloir, il remarqua alors l’ascenseur, ça serait quand même plus rapide. A croire que sa promesse de « revenir » n’était pas du gout d’Olivia parce que….