La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
if you can't handle it, i'll have to bring seojun to new york. i knew it was a bad idea to give you the subsidiary.. you'll have to.. l'appel-conférence avec la mère-patrie, ou plutôt avec le paternel inquiet qui, à la première occasion, menaçait d'envoyer l'aîné dans les pattes de la cadette. derrière le faux sourire qu'elle lui offrait, les hochements de tête se succédaient dans un silence où se mélangeaient colère et angoisse, la jalousie pour l'arrogance et les beaux yeux du frère qui se contentait d'exister pour soutirer une fierté et une reconnaissance qu'elle n'obtenait qu'après multiples efforts. expression de marbre, sourire de glace, elle encaissait les reproches, l'indignation et les inquiétudes sans toutefois les entendre, l'esprit divaguant plutôt vers le sourire prétentieux et vainqueur de seojun, qui piétinait sûrement déjà d'excitation, se nourrissant du malheur et des faiblesses de bora.. mais elle se refusait de lui faire ce plaisir. une fois l'appel terminé, la poupée contrariée s'enfuit des bureaux, répandant derrière elle un froid glacial et une traînée de jurons maugréés pour elle-même dans la langue maternelle. la confiance ébranlée par les reproches et la déception du patriarche, bora ravalait les larmes, chassant violemment de son esprit la voix de seojun qui lui rappelait sans cesse son incapacité à prendre les rênes d'un tel héritage, s'amusant de l'échec lamentable qui semblait poindre le bout de son nez, à peine avait-elle commencé. l'obsession de gagner, de se faire reine d'un empire qui, jusqu'alors, n'avait appartenu qu'à des hommes. le désir de monter sur un trône qui lui revenait, qui lui reviendrait un jour.
la démarche pressée de la poupée illustrait à la perfection sa contrariété. c'est en bousculant un passant sur le trottoir, à la sortie de l'immeuble, qu'elle s'arrêta brusquement pour calmer sa respiration et pour évacuer l'angoisse. ce n'était pas le moment de faire une scène en plus. il se rendra bien compte tôt ou tard que je suis indispensable et que je vaux mieux que cet idiot de seojun. son chauffeur l'attendait, la porte de la voiture ouverte, et elle s'y réfugia, antre de paix où seul le silence régnait désormais. Pas à la maison.. est-ce qu'on peut faire un détour vers le Queens? elle avait entendu de bons commentaires sur un petit restaurant de sandwiches, dans le Queens. la fringale d'une journée passée sans manger lui rappelait l'appétit qu'il fallait combler, là, maintenant, tout de suite. (( se goinfrer pour mieux digérer l'échec. )) remplir l'estomac en mangeant les émotions. arrêtés à un feu rouge, le front posé contre la vitre teintée, son regard fut attiré par une vitrine colorée de l'autre côté de la rue, dont les étagères remplies et à la vue des passants suggérait des tentations affriolantes; Caprices interdits. oh. arrêtez-vous ici s'il vous plaît. excitée à la manière d'une enfant qu'on appâte de friandises (( en oublier ses tracas par l'appétit )) elle quitte l'habitacle de la voiture, trottinant vers l'endroit aux allures féériques. le poids de son corps s'écrase contre la porte pour l'ouvrir et entrer dans les fantaisies; sonnerie de la porte lorsqu'elle entre, indiquant sa présence, alors que les prunelles dévorent déjà les interdits à travers les vitrines, s'intéressent au menu coloré et que le nez cueille les odeurs affriolantes.. elle veut goûter à tout. les sandwiches étaient déjà bien loin derrière dans la tête de la poupée, charmée par tant d'odeurs, de couleurs et de perfection culinaire.
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.Lorem ipsum dolor sit amet,
Comment reprendre le cours de son ancienne vie, comment continuer, lorsque dans son cœur on commence à comprendre qu’on ne peut plus retourner en arrière. Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser, des blessures si profondes qu’elles se sont emparées de vous.
United Earth
RPs : 0
Pseudo : pikachon/emmy
Pronom : Elle/she
Messages : 8262
Faceclaim : jinsoul
Crédits : asa mon amour
Inscription : 10/06/2019
Multicomptes : bae momo
Nombre de mots par RP : 300.
Fréquence de RP : hebdomadaire lol non c'est faux dsl
La monotonie du quotidien était quelque chose qui t'avait toujours effrayé. Quand les jours se ressemblaient, quand les jours se rallongeaient, quand les voix devenaient des mélodies qui s'encraient dans ta tête tellement les tons ne changeaient pas, tellement les paroles étaient les mêmes. Tu avais beau aimer décrocher le sourire des gens, tu avais beau aimer servir des douceurs pour panser les plaies d'une journée éprouvantes pour la plupart des New-Yorkais, tu détestais le fait que tu faisais toujours la même chose, servais toujours la même chose, aux mêmes gens. Ta vie ne ressemblait plus à rien, tes cours? Tu ne te démarquais pas des autres, toute cette énergie, tout cet argent tu avais l'impression de le jeter par la fenêtre alors que toi tu te démenais comme un malade pour nourrir ta passion et nourrir ta soif d'apprentissage dans ce domaine.
Avant, tes journées se ressemblaient peut-être oui ou du moins pendant ta jeunesse. Être à l'internat, prendre les cours d'acting, répéter, les castings. Oui, ça se ressemblait. Mais tout ceci avait du sens. Quand tu te regardais dans le miroir, tout ceci avait du sens. Quand Bora te regardait tout ceci prenait sens. Elle était fière de toi, sa famille t'aimait.Et toi tu étais fou d'elle. Les choses s'embriquaient et tout prenait sens oui. Mais les choses avaient changé. Tout avait changé en fait et plus rien avait de sens pour toi.
Regretter ta vie d'avant, tu n'étais pas sûr, au final tu étais devenu un grain de sable dans cet océan new-yorkais personne ne faisait attention à toi désormais tu es censé être plus libre alors pourquoi ton coeur te faisait mal jusqu'à en avoir l'impression d'étouffer? Pourquoi la liberté était pour toi le plus gros fardeau? C'est exactement la raison pour laquelle selon toi plus rien n'avait de sens. Parce que cette liberté que tu touchais enfin du bout des doigts voilà que tu la détestais, tu la haïssais elle t'effrayait terriblement.
Ta tête te faisais mal à force de réfléchir, et il y avait des jours comme celui-là où tu devenais un robot instrospectrif exécutant ses taches dépourvu d'âme, perdu dans tes pensées. La porte s'ouvre, encore un client habituel, tu ne relèves pas. Et pourtant, c'était elle. Elle venait d'entrer dans ta boutique, ses longs cheveux blonds, son odeur, son visage de porcelaine. Elle venait de revenir dans ta vie aussi brusquement qu'elle l'avait quittée. Les mains lâchent soudainement la tasse que tu essuyais qui vient s'éclater contre le sol, se brisant mille morceaux dans la boutiques.
씨발 ! (putain) Tu t'exprimes mécaniquement en coréen. Paniqué tu n'avais pas envie que quiconque se coupe. Tu t'éclipses alors très rapidement pour qu'elle ne vienne pas te parler directement afin de récupérer une balayette et essuyer les morceaux mais voilà que tu te coupes la main assez profondement. Tu ne sais même plus ce qui te fait le plus mal, l'apercevoir celle qui t'a délaissé du jour au lendemain. Je suis navré mesdames et messieurs je vais nettoyer très rapidement. Tu l'évites du regard encore et encore. Tu essayes de ne pas l'approcher, elle te paralyse tu n'es plus maitre des moyens ton corps tout entier la rejette et ta main te fait souffrir, finalement peut-être que cette journée n'était pas comme toutes les autres.
Accueil 
Les personnages 
if you can't handle it, i'll have to bring seojun to new york. i knew it was a bad idea to give you the subsidiary.. you'll have to.. l'appel-conférence avec la mère-patrie, ou plutôt avec le paternel inquiet qui, à la première occasion, menaçait d'envoyer l'aîné dans les pattes de la cadette. derrière le faux sourire qu'elle lui offrait, les hochements de tête se succédaient dans un silence où se mélangeaient colère et angoisse, la jalousie pour l'arrogance et les beaux yeux du frère qui se contentait d'exister pour soutirer une fierté et une reconnaissance qu'elle n'obtenait qu'après multiples efforts. expression de marbre, sourire de glace, elle encaissait les reproches, l'indignation et les inquiétudes sans toutefois les entendre, l'esprit divaguant plutôt vers le sourire prétentieux et vainqueur de seojun, qui piétinait sûrement déjà d'excitation, se nourrissant du malheur et des faiblesses de bora.. mais elle se refusait de lui faire ce plaisir. une fois l'appel terminé, la poupée contrariée s'enfuit des bureaux, répandant derrière elle un froid glacial et une traînée de jurons maugréés pour elle-même dans la langue maternelle. la confiance ébranlée par les reproches et la déception du patriarche, bora ravalait les larmes, chassant violemment de son esprit la voix de seojun qui lui rappelait sans cesse son incapacité à prendre les rênes d'un tel héritage, s'amusant de l'échec lamentable qui semblait poindre le bout de son nez, à peine avait-elle commencé. l'obsession de gagner, de se faire reine d'un empire qui, jusqu'alors, n'avait appartenu qu'à des hommes. le désir de monter sur un trône qui lui revenait, qui lui reviendrait un jour. 
La monotonie du quotidien était quelque chose qui t'avait toujours effrayé. Quand les jours se ressemblaient, quand les jours se rallongeaient, quand les voix devenaient des mélodies qui s'encraient dans ta tête tellement les tons ne changeaient pas, tellement les paroles étaient les mêmes. Tu avais beau aimer décrocher le sourire des gens, tu avais beau aimer servir des douceurs pour panser les plaies d'une journée éprouvantes pour la plupart des New-Yorkais, tu détestais le fait que tu faisais toujours la même chose, servais toujours la même chose, aux mêmes gens. Ta vie ne ressemblait plus à rien, tes cours? Tu ne te démarquais pas des autres, toute cette énergie, tout cet argent tu avais l'impression de le jeter par la fenêtre alors que toi tu te démenais comme un malade pour nourrir ta passion et nourrir ta soif d'apprentissage dans ce domaine.