! (hot) minki --- got the music in you baby.

got the music in you baby

marla & minki

Et Marla, elle était heureuse, à en juger son sourire radieux, son minois lumineux, ses prunelles incandescentes, capables d’éclairer n’importe qui avec sa fraîcheur. Cela faisait plaisir à voir, parce qu’elle en bavait depuis des années la petite, même si elle ne se montrait jamais abattue. Elle s’était habituée à sa vie de gamine des rues, à être constamment en mouvement, et même si l’envie d’avoir un toit au-dessus de sa tête la faisait saliver, cela la chamboulait profondément. Il se trouvait qu’elle commençait à douter et à culpabiliser, avec le grand cœur qu’elle possédait, Marla. Les premières nuits avaient été étranges, déconcertantes, à se retourner sans arrêt dans les draps propres, la tête incapable de se reposer tant était-elle perturbée. Ce n’était pas le confort de luxe non plus, mais tout était bien mieux que du bitume sale et brûlant en été, alors oui, il lui fallait du temps pour s’habituer. Elle renouait avec un semblant d’intimité, pouvait prendre soin d’elle et manger comme elle le désirait, bien qu’elle se privait énormément afin de réaliser des économies. Cela lui procurait un sentiment fortement agréable de se dire qu’après le travail, elle retrouvait un endroit qui lui faisait du bien, ses habitudes et qu’elle pouvait se trimballer dans l’accoutrement qu’elle désirait. Ceci dit, elle peinait à se détacher de ses bonnes vielles habitudes et oubliait constamment le téléphone pré-payé, préférant se déplacer lorsqu’elle devait contacter quelqu’un. C’est ainsi que Marla trouvait Minki et glissait sa main chaude, lentement, contre son dos, jusqu’à son abdomen, rivant ses prunelles claires des siennes. « J’ai quelque chose à te montrer. » Qu’elle venait susurrer à son oreille, cette risette étincelante aux lèvres. Si belle, Marla, dans ses élans affectueux.

Inscription : 07/08/2020

❝ got the music in you baby ❞
☾☾ -- (@Marla Katz #1)

Visage perpétuellement durci, l’expression faciale indescriptible, il n’est jamais facile de lire entre les plis sévères du faciès de Minki. Pourtant, aujourd’hui, il est content. De bonne humeur, même. Ce n’est pas non plus un phénomène rare, ces derniers temps ont juste été… chargés émotionnellement. Ses iris austères se baladent sur la façade de l’appartement devant lequel il vient de se garer. Pas des plus luxueux, surtout pas son genre, mais il n’est pas là pour acheter le bâtiment. Il vient rendre visite à Marla. L’allemande aux yeux clairs, la fille qui rayonne. Au départ misérable à ses yeux, il l’a autrefois hébergée chez lui en espérant jouer de ça pour demander des faveurs en retour. Peut-être parce qu’elle paraît trop précieuse qu’il a préféré souvent finir dans ses bras. Il est assurément intransigeant, Minki, mais il n’est aucunement cruel. Ses pas l’amènent auprès de la jolie Katz et de manière imperceptible – même si la jeune fille le verra probablement – son regard s’adoucit. Ses commissures se relèvent discrètement, dessinant l’ombre d’un léger sourire. Elle pétille, Marla. Elle a changé, mais il apprécie. Sa bonne humeur est communicative, ainsi que sa lascivité. Un frisson parcourt son dos, puis danse jusqu’à son abdomen. Le souffle chaud de l'allemande déplace près de son oreille, tandis que les mains de Minki se glissent à ses hanches, l’un de ses pouces tournoyant délicatement dessus. Il hausse un sourcil. Me montrer quelque chose ? Il marque un léger temps de pause, penchant doucement la tête sur le côté, curieux. Quoi donc ? Une surprise ? Il n’aime pas vraiment ça, mais c’est trop tard, il a envie de savoir.

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marla & minki

Marla, elle était descendue rapidement pour accueillir Minki, avec sa joie communicative, son sourire à faire succomber les plus sains d’entre nous. Elle se faufilait sans un bruit, à enlacer sa taille, glissant pour lui faire face, se confronter à son regard sombre. Le besoin d’être tactile, de sentir de la peau sous ses doigts, elle caressait sa nuque, ancrant ses prunelles dans les siennes, ce sourire accroché aux lèvres, tandis que les bustes se collaient l’un à l’autre. « Tu verras. » Et une main glissait jusqu’à la sienne, pour combler les espaces entre ses doigts, l’attirer à sa suite afin de le guider dans l’immeuble, montant quelques marches sans quitter la chaleur de sa paume. Ce fut l’affaire d’une ou deux minutes, le temps pour Marla de sortir son trousseau de clé et de déverrouiller la porte lourde qui grinçait, coinçait un peu en tirant sur les clés. Elle le faisait passer en premier et refermer le loquet derrière elle, déposant le trousseau sur le meuble de l’entrée. « Bienvenue chez moi. » Qu’elle murmurait en lui dévoilant l’appartement dans lequel elle vivait désormais. Bien que le logement n’était pas payé par ses soins, cela lui faisait un bien fou de rentrer ici, de pouvoir jouir d’un confort trop longtemps oublié, négligé. Alors, la voilà, à retirer ses chaussures, sans jamais perdre son sourire (de toute manière, Marla ne le perdait jamais, celui-ci), s’approchant de Minki pour se coller à lui, les mirettes joueuses, l’air charmeur, si belle Marla. « On pourrait tester si le lit grince. » Qu’elle murmurait en flirtant avec ses lèvres, les prunelles baissées sur celles-ci, à lui caresser sensuellement le dos.

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☾☾ -- (@Marla Katz #1)

Il suffit de jeter un coup d’œil aux plis du visage de Marla pour comprendre qu’elle déborde de bonne humeur. Son sourire solaire – ce même qui aura charmé Minki – illumine le doux faciès de l’allemande. Celle-ci l’encercle de ses bras, tandis que le présentateur l’enserre doucement, ne pouvant empêcher une moue curieuse. Il la suit, silencieux, se demandant donc ce qu’elle a à lui montrer. Les iris sombres de Min s’évertuent un peu partout, scrutant les moindres détails. Ils s’arrêtent devant la porte, qui peine à être ouverte, et quand il s’avance à l’intérieur, il prend le temps d’observer. C’est un endroit… convenable. Ni miteux, ni luxueux. Un juste milieu passable. Toujours exigeant, quoi qu’il advienne, chaque détail lui paraît important. Bienvenue chez elle, qu’elle déclare d’une voix basse. C’est pas mal, je dois l’admettre, commente-t-il, hochant délicatement la tête. Il la regarde se mettre à l’aise et retient d’esquisser l’ombre d’un sourire alors qu’elle s’approche, se pressant contre lui. Le contact ouvre les portes au désir et ses mains glissent aux joues de la jolie Katz, encerclant son beau visage. Son regard effleure ses lèvres, l’envie de les malmener étant bien présente. Parce que ça ne veut pas dire que l’allemande est douce et tendre qu’il oublie sa brusquerie. Sa moue devient joueuse et séductrice. Le lit grincera forcément, désolé de te décevoir. Un frisson parcourt son dos, il sent la main de Marla l’explorer lascivement et sans attendre, car il n’a pas envie de le faire, il se penche pour capturer ses lèvres dans un baiser au départ lent. Sans pouvoir résister, il s’amuse aussi à mordiller, avant de reculer, stoppant leur petit moment. Il n’est pas spécialement impatient et de plus, sa curiosité prend le dessus. Tu sais que tu aurais pu me demander de l’aide pour ta recherche de logement ? J’ai des contacts dans l’immobilier.

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Marla, même si elle ne payait pas de sa poche le logement dans lequel elle séjournait, elle était fière de le montrer et ne ressentait aucune honte à dire que quelqu’un lui payait. Dépourvue de tout jugement, il lui arrivait encore aujourd’hui de faire preuve d’un manque de tact évident, accentuant un peu plus son tempérament frôlant l’innocence ou la naïveté. Facile à vivre, à influencer, à mettre dans sa poche, mais avec sa ribambelle de complexités qui la rendait si intrigante, la petite. À ce titre, elle se mettait à l’aise en retirant ses chaussures, les mirettes céruléennes se perdant sur le visage de Minki, tandis qu’une risette illuminait son visage, la jumelle du soleil, qu’on disait. Bientôt, puisqu’elle résistait difficilement à l’éloignement de deux corps qui étaient sensibles à l’attraction, Marla s’en venait tout contre lui, à s’aventurer le long de son dos, du bout des doigts. « Sauf si je suis dessus. » Qu’elle murmurait en fermant les paupières, geste frôlant l’érotisme pur lorsque ses lèvres attrapaient celles de Minki, dans un baiser lent, mais gorgé de sensualité, suffisant pour lui donner envie de plus. Le visage légèrement incliné en arrière, la lèvre tirée par les quenottes, elle eut un nouveau sourire en rivant ses yeux des siens, amusée. « Je ne le paie pas, on me l’a offert. » Et ses doigts remontaient sur sa nuque, effleuraient à peine sa peau, à la frontière de sa chevelure courte et toujours, son visage entre les paumes chaudes de Minki, à effleurer ses pulpes des siennes, laissant sa respiration ardente cogner ses jumelles. « Il y a de la compétition. » Qu’elle murmurait en riant légèrement, saisissant une seconde fois ses pulpes des siennes, en infiltrant lentement sa main libre à même la peau de Minki, sur son dos. J’ai envie de ta chaleur, ce soir.

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☾☾ -- (@Marla Katz #1)

Son corps contre le sien, le désir s’éprend de lui, le réchauffant délicatement. Les doigts de Marla s’aventurent sur son dos, alors parcouru d’un léger frisson. C’est toujours agréable de partager ces moments sensuels avec la jolie allemande. Elle lui susurre de simples mots, pourtant ils lui font de l’effet. Il ne peut s’empêcher de capturer ses lèvres, là tout de suite, dans un baiser lent, qui suffit à l’enivrer un peu plus. Il s’amuse à redécouvrir cette petite parcelle de peau, qu’il apprécie tant malmener. Minki s’arrête, juste pour poser des questions. Peut-être est-ce parce que c’est un journaliste et que sa curiosité en vient toujours à prendre le dessus, mais il a envie de savoir. Le sourire de la brune est contagieux, mais il demeure tout de même autoritaire. L’appartement lui a été offert, qu’elle explique. Il hausse un sourcil, attendant plus de détails. Son visage de poupée entre ses grandes mains, il la laisse explorer sa nuque, profitant de ces douces caresses. Je vois, déclare-t-il, restant sur sa faim. Les mots qu’elle murmure par la suite lui font subtilement pencher la tête sur le côté. Est-ce qu’il apprécie la concurrence ? Très peu. Surtout lorsqu’elle s’immisce dans son entourage. Il s’apprête à lui répondre, mais à peine a-t-il le temps de réfléchir à une réplique que de nouveau, ils scellent leurs lèvres. Ce contact le force à mettre sa possessivité de côté, alors qu’il sent la douceur serpenter sur sa peau. C’est chaud et agréable. Ses doigts glissent de son joli faciès, longeant son corps jusqu’à encore s’arrêter à ses hanches. Et peu à peu, il l’incite à reculer, ne cessant aucunement le contact, s’amusant à titiller ses lèvres entre ses dents, jouant de temps à autre avec sa langue. Enfin, il la plaque contre un mur, calant une main à côté de son visage, arrêtant ses doigts libres sur son postérieur, l’attirant un peu plus à lui. Il la fait descendre, stoppant sa course sous sa cuisse, la remontant à la hanche du présentateur. Son baiser s’écarte de ses lippes, se déposant peu à peu sur sa joue, puis jusque dans son cou, savourant ce recoin. A son tour d’explorer sa peau, sa main posée sur le mur l’abandonne pour se poster sous son haut, se parsemant sur son dos.

Inscription : 07/08/2020

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