La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
Lorsque votre portable vibre et que le message s'affiche, votre coeur cesse un instant de battre. Ce nom qui vous est cher, cette personne que vous n'aimez que trop, semble solliciter votre aide de toute urgence. Pas une seconde à perdre, l'hésitation ne vous a même pas effleuré(e). C'est la panique qui rythme vos pas jusqu'à un entrepôt désaffecté de Brooklyn.
A peine entré(e) dans le lieu indiqué, les portes se referment derrière vous. Bravo sherlock. Saviez-vous que c'est ainsi que l'on attrapait les poulets dans le passé ? Vous voilà aussi futé(e) qu'un gallinacée. En parlant de volaille, vous n'avez pas pu passer à côté de cette chair de poule qui dresse vos poils un peu partout. Il fait comme... Un peu frais, et voilà un bel euphémisme. Ne soyez pas trop durs avec vous-même, vous n'êtes pas la seule personne à vous être fait avoir. Vous voilà tous enfermés avec des inconnus dans une grande pièce dont la porte demeure close malgré vos efforts. A côté de celle-ci, un thermomètre affiche 10 degrés Celsius. Fort heureusement que vous êtes habillés.
Si vous êtes attentifs, vous trouverez une note sur un bureau du fond :
« Quoi que vous essayiez, la porte ne cédera pas. Je suis la seule personne à pouvoir contrôler son ouverture. Et si nous faisions un petit jeu ?
La température est de 10 degrés. Faites la grimper jusqu'à 15 degrés (peu importe les moyens !), et j'ouvrirai la porte. Histoire de pimenter un peu les choses : dès la lecture de ce mot, veuillez retirer vos vêtements et vous contenter de vos sous-vêtements. Avez-vous cru que ce serait si simple ?
PS : n'essayez pas de me duper, je vous vois. xoxo.
HH »
Plus d'infos ?
OU : Un petit entrepôt de stockage désaffecté à Brooklyn. QUAND : Vendredi 29 Novembre
ps : Durant cette période, le staff ne sera que membre comme vous tous. Aussi, aucune intervention du staff n'est prévue pour faire avancer le TG. Libre à vous d'utiliser le dé, votre imagination ou toute autre méthode pour vous approprier le contexte et ses solutions.
Cela faisait à peine quelques heures qu'on était arrivé et j'avais eu besoin d'aller faire un tour, prendre l'air, me remettre de ce que j'avais appris pendant ce voyage. Je me posais encore plus de question, ne sachant pas quoi faire ou encore quoi penser. Je marchais jusqu'à recevoir ce message de la part de James me disant qu'il avait besoin de moi, mon coeur se mettait à battre encore plus fort. Je me précipitais jusqu'à l'endroit envoyé en message et là j'étais perdu. Je rentrais dans cet entrepôt en cherchant James du regard mais rien, non au contraire je voyais d'autres personnes. Je comprenais le piège et j'allais pour sortir mais trop tard, on se retrouvait enfermé. La colère, la peur pour l'homme que j'aime montait en moi encore plus rapidement. Il faisait froid en plus et je n'arrivais pas à compter combien de personne on était dans cette pièce. Je cherchais une autre sortie en faisant le tour de la pièce et c'est là que je trouvais cette note, grognement énervement. Je devais rester calme, c'était une grosse blague. Je croisais les bras, hors de question que j'enlève mes vêtements, oui je n'étais pas celui qui avait tendance à obéir.
“L’hiver, l’astre éteint-il sa flamme ?” - victor hugo
les prunelles qui s'animent, dansent dans ses grands yeux noirs devant le mobile. « réponds. allez réponds ! » troisième fois que yerim porte l'écran à son oreille, écoute les tonalités qui l'amènent au vide et à sa messagerie. nouveau juron marmonné dans son écharpe, la poupée blonde traverse les rues en courant, relit les quelques lignes laissées dans un message par son meilleur ami. naïve, dès qu'il s'agit de nelu, l'intrépide accourt, méfiance abandonnée sur le pas de sa porte, elle enfonce l'objet dans son sac, souffle dans ses paumes pâles devenues engourdies par le froid à la sortie du tube de gotham. trop peu couverte pour un hiver qui commence à s'approcher des rues new yorkaises, sa veste sert d'avantage de décoration que de réel rempart. mais elle s'en moque, yeri. dans sa tête, y a que ce message de son meilleur ami, et ce silence radio pour répondre à ses questions. et si la ville a eu raison de son côté trop gentil ? elle oublie pas les circonstances dans lesquelles elle l'a rencontré, la blonde. mais plus encore, elle n'oublie pas combien la ville est cruelle, souvenirs chaotiques de ses "premiers jours" gravés dans sa mémoire à l'encre de ses yeux sombres. et si quelqu'un s'en est pris à lui ? l'évocation seule du danger conjugué à son prénom fait accélérer la blonde, traverser les rues de brooklyn en direction de l'adresse indiquée sur son partage de localisation.
une porte, pas un son, et la gosse qui tourne sur elle, myocarde qui cogne un peu, rien qu'un peu mais toujours trop fort. assez pour lui rappeler que tout ça c'est réel, mais l'intrépide patiente pas bien longtemps, pousse la porte de l'entrepôt pour glisser dans les ténèbres. « nelu ? » quelques silhouettes qui semblent aussi déroutées qu'elle, la gosse avance avec prudence, remonte son écharpe et la serre autour de son cou quand elle sent le froid qui vient lui mordre la nuque. mais rien, pas une seule silhouette qui s'approche de celle de son meilleur ami, et l'inquiétude de l'asiatique se mue progressivement en angoisse. habituellement si calme, si passive, funambule qui dit être habituée au noir, impassible, y a ce pressentiment qui grimpe et qui dégringole le long de son échine, quand elle voit qu'il n'est pas là . un craquement, une ombre, la gosse qui se retourne et demande : « nelu..? » et elle est là, la fêlure, celle qui casse sa voix en fin de phrase, celle qu'elle a malgré elle quand y a la peur qui devient trop familière, se fait une place au chaud dans sa tête. mais c'est un inconnu qu'elle regarde, détourne les yeux quand un claquement attire son attention, porte piège qui se referme devant ses iris ronds. « c'est quoi cette histoire ? » elle traverse l'entrepôt en courant, l'écharpe qui s'échappe et tombe au sol, paumes à plat contre le métal froid de la porte qu'elle pousse, qu'elle tire, qu'elle secoue en vain.
(c) ekolta
yeri rentre dans l'entrepôt, le parcoure sans trouver son meilleur ami, et retourne à la porte dès qu'elle l'entend claquer sans faire attention aux autres personnes présentes.
Probablement un des premiers arrivés. Meng, dupé bêtement, était en train de rager silencieusement assis contre un des murs de la pièce. Il avait reçu des messages d'Alan, son cousin, et avait foncé sans réfléchir davantage. Dupé très intelligemment et, son regard noir se levant vers le plafond, il avait du mal à admettre que Hush Hush avait été plus malin. Hush Hush avait su que s'il s'agissait d'Aster, Meng aurait été beaucoup plus prudent ; tandis que son cousin, a priori sans histoire, était une bonne raison de s'inquiéter. Face aux autres personnes présentes, Meng finit par se relever. Il avait déjà lu la note. 10°C, à faire grimper jusqu'à 15°C. Plus facile à dire qu'à faire. Il jeta un coup d'oeil à la petite assemblée avant de poser le regard sur la blondinette qui allait taper sur la porte du plat de ses mains. Hé ! l'interpella-t-il. Ca sert à rien, on est enfermés là. On sortira pas. Ses yeux bifurquèrent sur la note. Pas tant qu'on aura pas réussi son petit challenge. Était-ce une bénédiction de ne pas avoir la sensation qu'il gelait sur place - pas encore ? Visiblement, personne ne semblait d'attaque à faire le premier pas. Il inspira profondément, passablement agacé mais trop bien conscient qu'ils se devaient d'obéir pour l'instant. Et lui, la pudeur ? Qu'est-ce qu'il en avait à foutre ? Le zip de sa veste s'ouvrit et elle tomba sur le sol avant qu'il ne retire son écharpe, commençant silencieusement à s'exécuter. Qu'on ne l'imagine pas docile, il réfléchissait.
résumé : meng s'est fait berner comme tout le monde, présent depuis un petit moment, et est le premier à commencer à retirer ses vêtements en silence.
Mass, je lisais encore et encore le message de mon fiancé, il avait besoin d'aide et je ne comprenais pas pourquoi. Il était normalement au bureau, je savais qu'il prenait du retard en s'inquiétant beaucoup pour moi, avec les fiançailles en plus. Enfin là c'était à mon tour de m'inquiéter pour lui roulant à vive allure à travers la ville pour me rendre à cette adresse sans me poser plus de question. Je devais l'aider et pourtant sans réfléchir me voilà enfermé dans un endroit que je ne connaissais pas, le froid venait envahir mon corps, l'inquiétude aussi. "Mass? " Il devait être là lui aussi vu le message qu'il m'avait envoyé, je cherchais dans toute la pièce une main sur mon ventre comme pour protéger mon bébé, mais rien, que des inconnus, aucun visage connu. Je ne comprenais pas ce qui se passait ici restant figé sur place alors que je comprenais qu'on était enfermé dans cette pièce sans aucune autre issus. D'accord, je devais calmer ma respiration , ne pas paniquer, on respire, Mass allait bien en fin de compte. Je m'approchais de la table pour lire le mot, un rire ironique sortait de mes lèvres. Se mettre en sous-vêtement, hors de question. J'avais peur, oui c'était ça les mots exact , effrayé , apeuré devant tout ses inconnus. Je me reculais en bousculant quelqu'un ( libre) " Pardon...Je suis désolé..."
Constance arrive totalement paniqué, enceinte de 4 mois. Elle bouscule quelqu'un.
Un sms de Gemma. Sa petite amie ayant de grave problème de santé, il n’avait pas hésité une seconde avant de la rejoindre à l’adresse indiqué. Foutu piège ! La porte se referma avant même qu’il n’ait pas eu le temps de comprendre. Le mot de HH l’éclaira d’avantage. Le cœur de Liam se mit à s’accéléré. S’il était plutôt du genre à relativisé les choses, là il stressa direct parce qu’il avait cette horrible sensation de déjà vu. Faut dire qu’il y a trois ans, le jeune homme avait été retenu dans un entrepôt avec d’autres étudiants, forcé à faire des « gage » s’ils ne voulaient mourir ! Oui, mourir ! Diverses atrocité c’était déroulé ce soir là et il avait dut – entre autres – caser la main d’une fille avec un marteau. Le bruit du craquement des ses os l’avait hanté par la suite. Aussi soyons clair, Liam s’attendait au pire ce soir. C’était sans doute pour ça qu’il ne chercha même pas à lutter et commença à se déshabiller. Plus vite ce moment prendrait fin, mieux ça serait. En caleçon, il finit par s’attarder sur les autres personnes présentes, même s’il ne connaissait personne. Enfin si. Il en connaissait un. Liam se rapprocha donc d’ Eoghan . « Tu ne compte pas lui obéir ? » Une once de reproche et d’inquiétude dans sa voix, il redoutait les conséquences si certaines jouées les fortes têtes.
Liam arrive, se déshabille et se rapproche d'Eoghan.
Suffit d'un seul SMS pour que je me jette dans la gueule du loup. Comme si mes longues années chez les Wild Indians ne m'avaient rien appris. Et pourtant, j'ai pas eu la décence d'appeler pour vérifier les propos. J'ai juste enfiler ma cape de superman, direction l'entrepôt pour voler au secours de la demoiselle en détresse. Bref, j'suis bloqué avec un tas de gens que je ne connais pas, et je comprends très vite qu'on va se retrouver dans une situation digne des films d'horreur que je déteste. On commence par nous demander de nous foutre en calebute et de réchauffer la pièce. Si ça c'est pas un début d'orgie, je me demande ce que c'est.
“L’hiver, l’astre éteint-il sa flamme ?” - victor hugo
elle frappe, martèle, martyrise le métal froid sous ses doigts. et elle comprend pas, yeri. elle comprend pas comment elle a pu être assez naïve pour être coincée ici. à se retrouver entre quatre murs dans un entrepôt, sans même savoir comment elle a été attirée ici. quelqu'un avait-il le téléphone de nelu ? est-ce que son meilleur ami a été hacké ? rien n'est impossible désormais, remerciez la technologie, diraient les anciens. mais l'asiatique, elle voit juste cette porte qui ne semble pas décidée à se mouvoir par la simple force de ses paumes. paumes qu'elle serre, formant des poings qui tambourinent d'un geste rageur. et la gosse se découvre des palpitations, son myocarde affolé, elle manque d'air yerim, passe une main dans ses mèches décolorées, se retourne en balayant la pièce du regard, jusqu'à ce que son regard soit attiré par un homme qui s'adresse à elle. stabilisée. l'air revient dans ses poumons laborieusement. « son.. son quoi ? quel challenge ? » elle expire, déglutit, pupilles qui oscillent d'une silhouette à l'autre. ils sont nombreux, à s'être retrouvés coincés ici. pauvres âmes trahies par leurs sentiments, trahies par leurs attachements. yerim, elle pourrait presque maudire le roumain pour lui rappeler malgré elle que son coeur est capable de battre. elle avance finalement, enfin, s'approche de la note désignée par l'homme qui venait de lui parler. et les initiales ne l'étonnent même pas, la gosse. signature diabolique, tant connue qu'anonyme, elle expire, passe ses doigts sur son visage, recule tout en repoussant la note sur la table. « sérieusement... » soupir las qui quitte ses lippes, yerim baisse les yeux sur son écharpe, l'étoffe abandonnée au sol dans son agitation. inspirer, expirer. ne pas penser au fait qu'elle est enfermée. la blonde tourne le dos aux murs, garde son écharpe pour repère visuel. inspirer, expirer. et sa veste tombe. quand certains sont dans l'embarras, la pudeur ne touche pas la jeune femme, qui bientôt retire ses chaussures, glisse son pantalon noir le long de ses membres inférieurs, déboutonne, un à un, les boutons de son chemisier blanc. le regard est vide, fixe, vacuité totale quand elle laisse couler ses manches le long de ses bras, pour récupérer le vêtement qu'elle plie. « et maintenant quoi, on fout le feu à nos vêtements pour satisfaire hush hush ? » pour ça, encore faudrait-il avoir de quoi allumer un feu.
(c) ekolta
yeri fait une courte crise de claustrophobie après avoir compris qu'elle est enfermée, découvre la note grâce à sa mention par meng, et entreprend de se déshabiller sans plus protester en espérant partir au plus vite.
D'autres suivaient. Meng finit par retirer son pantalon et se retrouva en boxer, sentant la morsure du froid le prendre. Il poussa un soupir et observa les visage de chacun pour les mémoriser et aussi tenter de se souvenir de l'un d'eux ; le seul qui lui revenait drôlement en mémoire de manière précise était celui de Wheeler, mais il se garderait pas de dire qu'il le connaissait ; car après tout, il n'était pas supposé le connaître. L'homme à la forte stature et teint basané qui n'avait pas encore retiré le moindre vêtement semblait ne pas vouloir immédiatement se prêter au jeu mais Meng reporta son attention sur la blonde. Pour bousiller notre oxygène ? Je suis pas spécialement chaud à l'idée de foutre le feu à une pile de vêtements dans une pièce fermée... Surtout quand c'est Hush Hush aux commandes... et s'il y avait un deuxième défi qui tombait ? Si Hush Hush refusait d'ouvrir les portes ? Mourir étouffé dans un frigo, clairement ça le tentait pas. Ses yeux se posèrent ensuite sur une blonde toute calme qui, à en juger par son attitude, n'était vraiment pas à l'aise ; puis sur le premier homme qui s'était rendu en caleçon, qu'il ne connaissait pas. Mais silence. Un frisson parcouru le corps de Meng. Faire grimper de 5 degrés ? Clairement le feu était la méthode rapide et efficace. Mais prendre ce risque ? Pas chaud. Son nez se leva alors qu'il regardait tout autour d'eux.
Résumé : Meng finit par se retrouver en boxer et désapprouve l'idée de mettre le feu à leurs vêtements par crainte de voir leur oxygène réduire.
Je ne voulais pas enlever mes vêtements et la raison était simple, cette brûlure que j'avais tout le long de mon bras depuis que j'avais été torturé était juste ce qui avait de pire, je ne voulais pas qu'on prenne peur, qu'on me voit comme un monstre ou autres. Les brûlures à l'azote liquide faisaient beaucoup de dégât sur un corps malheureusement. Je regardais le stress qui montait chez tout le monde. Puis Liam se rapprochait de moi, en caleçon, au moins lui il n'était pas pudique. Malheureusement pour lui, j'étais dans un tel état énervement depuis hier, trop de pression, tension, colère, que me retrouver enfermer était comme enfermer un lion en cage et ça pouvait devenir dangereux, si je restais en restait c'était pour ne pas laisser cette bête sauvage qui voulait exploser cette porte. Les bras croisés je venais retirer mon pantalon et mon tee-shirt, regard toujours aussi froid restant dans mon coin. " Voilà c'est fait. " Je cherchais un moyen pour faire monter la température en reprenant cette lettre. " Bon maintenant que presque tout le monde est en sous-vêtement on fait quoi, des personnes ont des idées? Sans que ça ne se termine en orgie bien sûr. On a des femmes dont une enceinte, on doit réagir et maintenant. " Ça allait vite dans ma tête, je ne voulais pas rester enfermé ici plus longtemps. Comment faire monter la température ? Sport, en bougeant, en réchauffant nos corps aussi. " Déjà au lieu de rester chacun dans son coin on devrait se rapprocher. Voyant les filles se rassembler je me rapprochais de cette blonde enceinte et la petite minimoys venant me mettre devant celle qui était enceinte. Je voyais bien dans son regard toute la gêne. " On va se sortir de là, on est plus fort que ce HH"
Eoghan fini en sous vêtement pour respecter la demande de HH et propos à tout le monde de se regrouper et chercher une solution pour faire monter la température. Cache Constance avec son corps pour la protéger et essaye de rassurer Yeri ( petite minimoys )
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