La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
les journées se suivent et se ressemblent. l'entreprise, l'association, les shootings photo. cycle continu d'une routine à laquelle tu te plies avec une rigueur militaire, refusant toute déviance, toute pause. travailler pour ne pas penser, paniquer quand on te parle de te reposer. ton repos au final tu le trouves dans ces locaux, à passer du temps en compagnie de ces animaux dont tu as la responsabilité. le refuge de l'aspca, ton refuge à toi. être entourée d'animaux t'apaise. t'as pas besoin de faire semblant devant eux, t'as pas besoin de leur parler. t'as pas besoin de te demander ce que cache leur regard. tu sais simplement qu'ils ont réellement besoin de toi. ((s'ils n'étaient pas là, toi non plus tu ne serais plus.))
c'est en te rendant vers l'un des bureaux situés près de l'entrée que tu croises le chemin d'un nouveau venu. un rapide coup d'oeil autour de toi t'indique que les deux bénévoles en charge de l'accueil sont déjà occupés avec d'autres personnes. tu modifies légèrement ta trajectoire pour aborder l'inconnu et lui proposer ton aide. « bonjour, est-ce que je peux vous renseigner ? » si le masque est composé, l'intention derrière est des plus sincères.
la morsure de l'hiver s'engouffre par le col et les manches de son long manteau noir ; vient geler l'épiderme qui dresse ses poils vivement. 23h43 ; le souffle dessine dans l'air cette nappe blanchâtre qu'il exècre, suivie par celle plus douce d'une cigarette consumée. les pas sont lents ; c'est la tête qui implose et menace d'exploser. les pas sont lourds - ce sont les pensées qu'il veut annihiler. ((h a n s e o l)) ; la peur au cœur, la panique au fond des yeux. les problèmes qu'il voudrait relayer loin - si loin - et qui, pourtant, demeurent au pied de sa porte. pourtant n'est-il pas le seul à être sous le joug d'un destin cruel ; et alors qu'il arrive au trottoir d'en face, les cris aigus attirent son attention. ❝ oh.... — le murmure s'échappe de ses lèvres gercées. il s'accroupit, tend la main, se laisse flairer. à ses pieds, un carton humide semble avoir été déposé par malveillance, empli de cinq chatons aussi apeurés qu'il n'a pu l'être à leur place, quelques années passées. ❝ hey, hey... shh... — la tentative est vaine de calmer ces futures furies à coups de mots doux et, le myocarde fragmenté à cette image, les regards sont jetés dans les environs. ❝ excusez-moi, quelqu'un pourrait-il m'aider ? — qu'il demande, un peu hors du temps, sans que personne ne prenne le temps de lui répondre. alors il réitère de longues minutes, l'espoir s'amenuisant, jusqu'à un rire, jusqu'à un nom. soudain le courage revient et, prenant à cœur la cause des orphelins, ((hanseol)) pénètre dans le b a c c h u s avec une vivacité certaine, et une demande courageuse :
❝ hey, on m'a dit que vous auriez une chatte ? — clame-t-il d'une voix forte.
❝ Libre ❞Âme à nueMa démarche autrefois si aisée et assurée était maintenant hésitante et claudiquante, ma silhouette trapue et musclée s’était affinée depuis mon coma puisque je n’avais jamais récupéré ma faculté de me nourrir et mon regard avait perdu cette légèreté d’autrefois. Cette chute m’avait complètement détruit physiquement, mais mentalement c’était de pire en pire. Aujourd’hui, je venais faire quelque chose que je n’avais jamais pensé faire un jour : Remettre mon badge et mon arme de service. Ainsi brisé, je savais que je n’étais pas utile et que ce n’était qu’une question de temps avant qu’on me congédie. Par orgueil et amour propre, je préférais démissionner plutôt que de me faire jeter comme un malpropre. De toute façon, qui ici avait réellement remarqué mon absence? Quand l’Atelier aux pétales avait péri sous le bris des conduits, personne n’était venu voir si tout allait bien. Si j’allais bien. Si de l’équipement de ce QG d’infiltration allait bien.
Vêtu de mon uniforme de policier que je n’avais pratiquement jamais porté puisque j’étais normalement sous couverture, j’avançais lentement dans les couloirs du département des forces de l’ordre, tentant de ne pas faire trop de bruit avec ma canne alors que je cherchais quelqu’un, un supérieur, n’importe qui. En même temps, pourquoi est-ce que ça m’étonnait de ne trouver personne? Il n’y avait jamais vraiment eu personne de disponible lorsque je tentais d’appeler à l’aide, pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui? Je ne sais pas, j’avais simplement espéré que pour mon dernier jour dans les forces de l’Ordre soit…plus qu’un simple dépôt de badge. Flic, c’était la seule chose que je savais faire. Flic, c’était la seule chose que je VOULAIS faire. Mais bon… de toute évidence, on avait déjà oublié que j’existais. « Bonjour, j’aimerais savoir si quelqu’un est disponible pour me rencontrer » Demandais-je d’une voix morne à la secrétaire.
Je n’arrivais pas à croire que ma carrière finissait comme ça. J’avais toujours voulu mourir avec l’uniforme sur moi….en fait qui sait, peut-être que ça serait le cas.
29 novembre 20h00 Cœur en miette, âme détruire...j’avais l’impression que mon être avait volée en éclat à chaque gémissement que j’avais entendu alors que mon but n’était pas d’espionner, à prime abord. La chocolaterie étant relié par les souterrains au shop de tatouage de Mao, j’avais eu l’idée de préparer un repas et le surprendre joyeusement simplement pour voir son regard s’illuminer de plaisir…sauf que son plaisir, il l’avait trouvé ailleurs. Je n’arrivais pas à croire que si vite après notre presque séparation, après toutes ces larmes et ces incompréhensions, ces promesses et ces espoirs, il recommençait à me tromper. Après m’avoir promis que je lui suffisais…après m’avoir promis une famille agrandie. J’avais été tellement stupide! Stupide de croire que je pourrais satisfaire et convenir à un tel homme. Mais cette voix, ces gémissements…ces mots. Eoghan. Putain, Mao se tapait son neveu et non pas son supposé meilleur pote. Encore pire. Elles étaient où les belles paroles mielleuses qu’il avait eu une semaine plus tôt?
Les larmes aux yeux, j’avais foncé à la maison pour faire une valise pêle-mêle, appeler Ellie pour qu’elle vienne chercher les enfants et sur un coup de tête, j’ai foncé à l’aéroport. Pourquoi? Aucune idée, mais je devais partir; quitter cette putain de ville où l’homme que j’aimais me mentais, me trompait et allait voir ouvertement ailleurs et ce, même sous mon nez. Et Eoghan qui avait le culot de m’écrire pour me dire que J’ÉTAIS ridicule d’ainsi m’emporter. C’était l’hôpital qui se foutait de la charité. Les larmes aux yeux, le cœur en charpie, j’ai acheté un billet d’avion pour la Norvège sans vraiment comprendre pourquoi je faisais ça. Je…j’avais beau me battre, jamais Mao ne m’aimerait comme je le souhaitais. J’avais beau être compréhensif, Eoghan me prendrait toujours pour un con. Que me restait-il donc ici, hein? J’avais besoin de me retrouver, de retrouver celui que je pensais être. Étais-je si misérable qu’il était juste normal de banaliser ce que je ressentais? Que me blesser relevait d’un simple haussement de sourcils?
Assis dans l’avion, j’attendais nerveusement que l’appareil quitte le tarmac sans trop savoir ce que j’allais faire…sauf qu’on annonça une annulation de vol en raison d’un souci électronique. Bordel, même la vie aimait se foutre de ma gueule!
Dernier voyage ?James & libre ?Est-ce qu’on s’habituait un jour à vivre dans le chaos constant? Est-ce qu’un jour, l’âme et l’esprit décidaient d’en avoir assez et que c’était à cet instant précis que naissait la volonté de mourir ou de se mettre ouvertement en danger? Je l’ignorais, malgré ma grande connaissance médicale. Étais-je aussi savant que je le croyais ou n’étais-je qu’un rêveur qui s’idéalisait un peu trop? J’avais besoin de sortir, de m’aérer mon esprit encore tourmenté par les voix de ma récente psychose et de réfléchir à la vie. Au danger que représentait vivre versus au danger que représentait l’éventualité de mourir.
Emprisonné dans mon élan philosophique, j’avais enfourché ma fidèle moto et j’ai quitté la maison, voulant m’éloigner du tumulte constant de ce milieu de vie chaotique pour prendre un peu de temps pour moi pour réfléchir. J’avais besoin de faire le point sur tout. Alors je filais en direction de Staten Island puisque c’était sans aucun doute le coin de New York que je connaissais le moins et où on me reconnaitrait sans doute également le moins. Immobilisant ma Harley devant un espèce de bar qui semblait louche, j’ai soufflé sur mes doigts devenu raide par le vent glacial et j’ai décidé de longer la mer.
Il était étrange de se dire que c’était la presque apocalypse à New York entre les gangs qui se faisait la guerre entre eux et ce Vigilante qui menaçait la vie de tous ceux qui avaient fait des actes criminels. Depuis Janvier, j’avais tués 3 ou 4 personnes. Certaines légitimes, d’autres non. Est-ce qu’on viendrait me voir? Est-ce que ma vie serait menacée? Fixant la mer de mon regard glacial, j’ai soupiré. Quitte à mourir, quitte à me faire tuer pour mes crimes, je préférais que ça soit ici, isolé et loin de ma famille pour ne pas les traumatisés. Si un jour je devenais la cible de cet homme, j’espérais vraiment qu’il aurait la décence d’épargner leur santé mentale.
Itinérant et percussion Almarik & libre Plus les jours avançaient et moins je comprenais ma vie, mon entourage…mon être. Je ne parvenais plus à respirer normalement, je ne parvenais plus à respecter cette espèce d’adage que j’avais toujours possédé et qui disait que tant qu’on parvenait à sourire, la vie méritait d’être vécue. Mon sourire…où était-il? Ma vie, où était-elle? J’avais beau me battre pour ma famille, pour mon association et pour mon mariage, plus rien n’y faisait. J’avais l’impression qu’on me disait que j’étais devenu superflue et inutile pour tout. Aaron s’était complètement détaché de moi, la plupart des membres de mon association trouvait trop difficile de répondre à un simple message ou à se déplacer à une activité prévue depuis longtemps…Mao avait choisi encore et toujours ce putain de Lester pour reprendre goût à la vie.
Alors voilà le troisième jours où j’errais dans le Bronx, vêtu de vêtements trop petits et certainement pas assez chaud pour les températures de plus en plus mordante de l’hiver qui se rapprochait, dormant sous des cartons lorsqu’il ne pleuvait pas et grelottant lorsque le vent les soufflaient, lorsque je parvenais à trouver le sommeil. Ayant troqué tous mes vêtements pour ceux qu’on offrait aux usagers qui venaient au RHC en quête d’un peu de bienveillance et de chaleur, j’avais décidé de mettre sur pied ce projet qui me trottait en tête depuis un moment déjà : Vivre la vie d’un itinérant de A à Z pour un certain laps de temps afin de documenter, découvrir et informer ce qu’était leurs vies. Créer également des liens avec certains êtres plus sensibles.
Nous –les membres du RHC- avec notre bonne volonté, on voulait les aider et on pensait savoir comment le faire adéquatement, mais très peu d’entre nous connaissions intimement leurs réalités. Alors j’avais décidé que le bordel que je créais dans ma vie servirait à aller découvrir la véritable réalité des sans-abris et ce de façon anonyme. Les mains gelées, tremblant de froid et peinant à me réchauffer, je fouillais la poubelle d’un café ou d’une boulangerie à la recherche de quelques morceaux de pains comestibles. N’utilisant mon téléphone que pour prendre des photos ou noter des trucs, je ne savais pas quelle heure il était, je savais juste qu’il faisait nuit encore. Mais la faim me tiraillait le ventre et la nuit, la RHC était fermé.
Épuisé et affaibli par ce changement drastique de vie, j’ai sursauté en voyant des phares d’une voiture illuminer dans ma direction et le grondement d’une voiture grogner. Putain, ça fonçait droit SUR moi ce machin!
West 15th new york street, 22 heures. L'absence de lumière n'est rompue que par les chandelles dont les flammes vacillent. La porte n'a plus rien de réel : la pousser, oser entrer, c'est pénétrer dans l'antre du diable. Ce soir, vos hôtes ont décidé de sortir le grand jeu pour marquer l'un des jours les plus attendus de l'année. Entre jeux d'ombres et de lumières, décorations plus que trompeuses, hologrammes et robots, vous êtes les invités d'un sabbat particulier... Ne faites confiance qu'à vous-mêmes, votre environnement pourrait bien se retourner contre vous.
Informations en vrac l'entièreté de l'appartement est décoré, du sol au plafond. Le salon comporte un buffet composé de nombreuses boissons alcoolisées ou non ainsi que de la nourriture ; cependant, certains sont plus dangereux que d'autres. Une somme de 10$ vous sera demandée à l'entrée : elle sera reversée à la Red Harvest Cross. De même, une urne horrifique trône au milieu du salon dans le cas où vous désireriez apporter une aide plus conséquente à l'association. Bien que Tomoaki et Hanseol soient les hôtes de la soirée, leur invitation a tourné : il vous est donc possible de joindre le TG sans avoir de lien avec eux.
Premier message Avant votre arrivée dans le TG, nous vous demanderons de bien vouloir lancer le dé à 9 faces dans LA ROULETTE DU DESTIN pour savoir quel genre d'invité vous êtes... vous trouverez les 9 propositions sous spoiler !
les résultats des dés:
1 - au moment où tu ouvres la porte, tu déclenches un mécanisme venant te propulser du faux sang. Selon tes réflexes, c'est 10 points pour le buste, 15 pour la tête !
2 - c'était peut-être pas une super idée, finalement, ces faux-pics sur les murs du couloir... A peine arrivé.e que ni vu ni connu, l'un d'eux exprime sa haine contre toi et vient déchirer un morceau de ton costume. Un petit trou au popotin pour un boule qui chamboule !
3 - c'est étrange... il ne se passe rien. Quel coup de chance ! Les astres sont avec toi, ce soir, C'EST TA SOIREE FRATÉ !
4 - On le connait tous, ce mec à peine arrivé qui semble être là depuis des heures tant il est déjà bourré. Manque de chance, il est pour toi ce soir. Ou son verre, plutôt, vu que sur un déhanché endiablé digne de la salsa du démon, c'est sa piña colada qui gicle sur tes vêtements. Oops.
5 - Ton costume n'est pas au goût de tous... Mango, le molosse de 30cm de haut de Hanseol, se rue sur tes pieds pour montrer son désaccord et reste accroché à ta chaussure pendant 3 bonnes minutes, laissant une jolie marque de dents.
6 - La délicatesse et toi, ça fait deux, non ? On t'avait pas demandé de tout casser, tu sais. A peine la porte passée que tu renverses une partie de la décoration, te retrouvant empêtré.e dans une belle toile d'araignée géante.
7 - c'est étrange... il ne se passe rien. Quel coup de chance ! Les astres sont avec toi, ce soir, C'EST TA SOIREE FRATÉ !
8 - C'est l'histoire d'un verre sur le sol que tout le monde ignore pour ne pas avoir à le ramasser, et d'une personne maladroite qui vient de faire son entrée. Le contact passe bien, si bien que tu te décides à le rejoindre en glissant dans le liquide à pieds joints, pour finir les quatre pattes en l'air devant l'assemblée. Si t'avais soif, fallait le dire.
9 - c'est étrange... il ne se passe rien. Quel coup de chance ! Les astres sont avec toi, ce soir, C'EST TA SOIREE FRATÉ !
Rejoindre le rp
où : chez TOMOAKI MIKITANI (manhattan)
quand : le 31 octobre, 22h.
qui : ouvert à tout le monde, même ceux n'ayant pas de liens avec tomoaki ou hanseol. l'invitation ayant tourné, n'importe qui est invité à participer.
IN
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OUT
Code:
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merci de privilégier les réponses courtes pour favoriser l'avancée du rp, et de ne laisser personne sur la touche ! Ce rp vise à l'amusement, nous voulons éviter un maximum les groupes délaissant les membres venus seuls ! de même, merci de mettre en avant les pseudos des personnages que vous mentionnez ou avec qui vous intéragissez !
quelque part dans l'imaginaire - à une heure où le ciel prend une teinte orangée. Curieux de refaire le monde, en ce moment tu vaguais un peu partout en quête d'identité. Celui que tu étais devenu n'avait rien à voir avec celui que tu désirais être, et celui que tu désirais être était un mirage surement destructeur de ta propre personne. Et à l'aube, lorsque ta soirée ou plutôt nuit n'avait été qu'introspection, lorsque le noir dur tendait la main au soleil qu'il ne pouvait voir que quelques minutes et qu'ils ne formaient plus qu'un comme deux amants impossibles, c'est avec ces perles de larmes gisant aux coins des yeux que le sommeil t'emporta. Et il t'emporta loin, très loin, là où les formes n'en étaient plus, là où les voix ne résonnaient plus non plus et c'est là que tu l'aperçus. Cette personne te semblait familière, peut-être quelqu'un que tu avais croisé dans la chocolaterie, ou dans la rue, ou même dans tes rêves. Cette personne semblait triste, tout comme toi et tu avais envie de lui tendre la main. Les mots ne voulaient pas sortir. Son nom... Non tu ne le connaissais pas. Devant vous s'élevait un château, immense. Et tu avais l'envie irrépressible de t'y engouffrer. Pour la vie ou juste pour une nuit, ce château t'appelait, vous appelait. Prêt à affronter vos phobies à deux, dans dans un temps où le dur noir de la nuit tendait la main au soleil, au réveil tu ne t'en souviendrais plus mais à cet instant présent tu te sentais invisible en sa présence. On y va ?
Coucouuuu Alors ce rp libre comme vous l'avez deviné est un rp qui est sous forme de cauchemars, nos deux personnages se sont rejoins pour un rêve commun et qui sait peut-être au réveil ils se souviendront l'un.e de l'autre et pourront developper un lien ? On y confrontera nos phobies nos introspections enfin ce que vous voulez n'hésitez surtout pas.
Nuit noire, la pleine lune qui sera la seule source de lumière dans cette forêt. Des arbres assez hauts qui font partie de cette forêt depuis des siècles. Foret qui fait partie pleinement de ce manoir qui a été source de rumeurs dernièrement. Un cimetière ancien qui se situe juste derrière. Les jeunes aiment se rendre à cet endroit pour se faire peur ou encore raconter des histoires d'horreur. L'adrénaline, une émotion que plusieurs personnes aiment ressentir. Plusieurs finissent à jouer à chat dans cette forêt, se courir après. Un jeu bien dangereux quand on ne connaît pas le chemin. On ne sait pas ce que l'on peut croiser en plein milieu de cette forêt. Tu te retrouves perdu, le brouillard qui se lève. Tu n'entends pas ce regard qui se pose sur toi ? Ce souffle qui sort de ses lèvres alors qu'il t'observe de loin ? On fait tous ce genre de cauchemars, mais est-ce un cauchemars ? Arriveras-tu à te sortir de cette forêt entière ou finiras tu entre ses mains. Rappelle-toi de ses films d'horreur que tu as vu, les femmes sont souvent de belles victimes, leurs cris qu'on peut encore entendre raisonner dans cette forêt. Tu n'entends pas leurs cris aigus ? Rappelle toi que le manoir a été construit sur un cimetière et qu'il y en a un. Des meurtres encore non résolus, des âmes qui n'ont pas pu rejoindre la paix. Fuit petite âme, car bientôt, tu vivras un vrai enfer.
Magnifique hôtel, une chambre de luxe. On aime tous se retrouver dans ce genre d'endroit. La nuit arrive rapidement, le sommeil aussi jusqu'à entendre du bruit à l'extérieur. Et surtout, ses murmures que tu peux entendre. Cette voix qui t'appelle, étrange, mystérieuse, une voix d'enfant. Est-ce un enfant en danger? Tu décides d'aller voir, mais en ouvrant ta porte tu découvres ses deux petites filles en robe bleue se tenant la main qui te regarde encore et encore. Sans bouger, abordant un sourire au coin des lèvres. Mais qui sont-elles? Et d'un coup, la lumière qui s'éteint et quand celle-ci vient à se rallumer, elles ne sont plus là. Au contraire, il y a du sang tout autour de toi. Tu peux entendre une nouvelle voix, mais cette fois, celle d'une personne dans ton entourage, en danger. Tu décides de te mettre à sa recherche. Cet hôtel qui semble vide et pourtant bien habité par des personnes qui te veuillent du bien ou du mal? Attention, les pièces vont te réserver de nombreuses surprises. Vas-tu choisir le couloir de gauche ou de droite?
Accueil 
Les personnages 
les journées se suivent et se ressemblent. l'entreprise, l'association, les shootings photo. cycle continu d'une routine à laquelle tu te plies avec une rigueur militaire, refusant toute déviance, toute pause. travailler pour ne pas penser, paniquer quand on te parle de te reposer. ton repos au final tu le trouves dans ces locaux, à passer du temps en compagnie de ces animaux dont tu as la responsabilité. le refuge de l'aspca, ton refuge à toi. être entourée d'animaux t'apaise. t'as pas besoin de faire semblant devant eux, t'as pas besoin de leur parler. t'as pas besoin de te demander ce que cache leur regard. tu sais simplement qu'ils ont réellement besoin de toi. ((s'ils n'étaient pas là, toi non plus tu ne serais plus.)) 
vous trouverez les 9 propositions sous spoiler !
! Ce rp vise à l'amusement, nous voulons éviter un maximum les groupes délaissant les membres venus seuls ! de même, merci de 
Alors ce rp libre comme vous l'avez deviné est un rp qui est sous forme de cauchemars, nos deux personnages se sont rejoins pour un rêve commun et qui sait peut-être au réveil ils se souviendront l'un.e de l'autre et pourront developper un lien ? 
On y confrontera nos phobies nos introspections enfin ce que vous voulez n'hésitez surtout pas. 
