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mon bloc note
the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
(c) Disjointed Societies 2021
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Seth Hogan
Seth Hogan






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Surnom : prénom déjà court, on l'interpelle surtout par son nom de famille, Hogan.
Âge : 32
Origines : américain, il est le fruit du sud du pays, sudiste dans l'âme. honte et acceptation se mélangeant pour donner vie à ce garçon un peu rustre.
Occupation : en poste dans un cabinet médical en tant que sexologue, mais travaille aussi comme vendeur à domicile de sextoy.
Lieu de résidence : son appartement détruit par le séisme, il squatte la chambre d'ami de Lugos.
A New York depuis : ses 23 ans.
Situation Amoureuse : célibatard ? il ne recherche rien de sérieux, profitant de sa jeunesse et surtout ce désir de ne pas refaire les mêmes erreurs que par le passé.
Orientation sexuelle : les étiquettes ce n'est pas pour lui, il ne possède pas de préférence simplement parce que tout le monde à droit à sa chance, alors pourquoi se priver de donner du plaisir ?
Trigger Warning : sexisme / homophobie / transphobie / pornographie / pratiques sexuelles variées (hard ou non) / problème sexuel / langage cru / rp hot cru

if you asked me to ((lugos)) Tumblr_prlubggRrK1wcpipoo2_500uc.


RPS EN COURS
www. leslie #1
www. lugos #2
www. alicia #2
www. lugos #3
www. ezeckiel #1
www. alexis #1 (à venir)

RPS TERMINÉS/ABANDONNÉS
www. lugos #1 (terminé)
www. elvedin #1 (archivé par le staff)
www. yuri #1 (archivé par le staff)
www. alicia #1 (archivé par le staff)
www. suhee #1 (abandonné)

LIENS
lugos {crush} ; alexis {bff} ; elvedin {ex-coloc} ; leslie, alicia, ezeckiel {evolution in rp}


INFOS EN VRAC
Seth sait conduire depuis qu’il a dix ans, sur les terres de sa famille il avait tendance à prendre le pick-up pour aller dans les plaines. Il lui arrivait d’aller chercher les courses sans permis de conduire. Il n’a jamais eu de ticket pour excès de vitesse et pourtant, il en a fait que ce soit en voiture, skidoo, 4 roues… Il a tout essayé comme moyen de transport et avec les années il a obtenu des permis pour voiture, bateau, et il regarde pour prendre des cours d’aviation. Il n'est pourtant pas un grand fan des vélos, consommateur d'essence, il roulerait bien en voiture, mais dans la ville qu’est New York c’est un peu casse-tête. ›› Il avait cinq ans lorsqu’il a tenu sa première arme à feu en main. Très vite son père lui a montrer à s’en servir. Il aime s’adonner à la chasse, mais aussi la pêche. Il pratique quelques sports en nature et il n’est pas rare que durant l’été il parte quelques semaines pour aller camper, se coupant de la société, aucun téléphone, rien d’électronique, seulement lui et la nature. ›› Il fume comme une cheminé environ un paquet par jour minimum. Ça le calme, soi-disant. Il lui est arrivé de tenter d’arrêter, mais il ne fait qu’accumuler les échecs. Il peut fumer autant la cigarette que le cigare, mais il a arrêté la drogue depuis quelque temps maintenant. ›› Cordon bleu, il aime bien passer son temps libre derrière les fourneaux. Il dit toujours que ça lui libère l’esprit, que ça le détend. Il ne suit jamais de recette, laissant libre court à sa créativité que lui inspire l’instant présent. Il cuisine surtout du tex-mex, cette nourriture de chez lui. Il a même fait importer un fumoir du Texas pour avoir le meilleur selon lui. Seth est carnivore, il aime la viande rouge. Pour lui la laitue c’est fait pour les lapins. ›› Peu importe ce qu’il fait chez lui, il laisse toujours un fond sonore, de la musique country majoritairement, parfois, il demande à son assistant google de changer pour du rap ou tout autre style qui lui fait envie dans l’instant présent. ›› Complètement accro à la technologie, il suit celle-ci pour avoir la fine pointe. Il en abuse sans doute beaucoup trop. ›› Sa religion ; une bière pendant un match de la NFL avec des ailes de poulet. Il aime autant profiter de ce moment entre ami chez lui ou alors dans un bar sportif, ce support, cette camaraderie le ramène chez lui, dans ce bar du village où il allait parfois fêter les victoires des Texans. Si quelqu’un a le malheur de parler en mal du football, des hot-dogs, de la voix portante des américains pendant les matchs, cette personne regrettera vite ses propos. Loin d’être violent, il suffit à Seth de bomber le torse et de déplier son corps de toute sa hauteur pour que personne ne lui cherche des noises. ›› Habitué à bosser sur une ferme, il a toujours eu la forme, malgré tout l’alcool qu’il peut ingurgiter. Aujourd’hui, il ne soulève plus des balles de foin, il va donc dans une salle de gym trois fois semaine. Il y reste environs quatre heures, il n’y va pas avec le dos de la cuillère, mais si cuisiner lui libère l’esprit, s’entraîner le relax. ›› Il a visité des endroits comme Rangoun, Bangkok, Gênes, Bogota, Copenhague, Mumbai, Sao Paulo, Nicaragua, Sri Lanka, Séoul et bien d’autres encore. Avec tous ces voyages, il est devenu polyglotte, il ne parle pas toutes les langues à la perfection, mais il maitrise bien l’espagnol qu’il a appris au collège, l’allemand et l’italien, mais parfois ces langues sont difficiles à comprendre avec son accent Texan. ›› Lorsqu’il repasse ses chemises, il a tendance à chanter du Nikki Minaj et autant dire, les fesses à lui aussi se font aller ! ›› Il possède à son poignet la silhouette de Nessie, un tatouage qui date de son premier voyage en Écosse, lui et tous ses potes on le même. Sinon son plus vieux tatouage remonte à ses 15 ans, lorsque sa sœur pour rire a décidé de le tatouer. C’est un énorme papillon sur les reins qu’il a découvert après. Aussi ridicule que ce soit ça plait aux filles comme aux mecs. En parlant de bêtises qu’il a fait, il s’est fait percer la langue, aujourd’hui il l’a retiré, mais ce n’est pas le cas de son piercing au mamelon, à ses oreilles et celui sous la ceinture !
love me like the moon intended, all the way through the darkness
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  • United Heart
if you asked me to ((lugos)) VEo0rLeU_o
RPs : 0
Pseudo : monocle. / alice
Pronom : elle
Messages : 375
Faceclaim : maverick mcconnell
Crédits : #CHEVALISSE @avatar, CORVIDAE @gif
Inscription : 07/01/2021
Multicomptes : aucun.
Nombre de mots par RP : je m'adapte à mes partenaires, mais ça varie entre 200 et 3000
Fréquence de RP : quotidiennement.
Je suis plutôt : dark et chill.
Instant Crush
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01
ingame
02 zone libre
03
hors-jeu
Citoyen de NYC ✧
(#) Dim 28 Fév - 23:19

if you asked me to / @Lugos Wolf
Ce soir. Tout se jouerait ce soir. Les minutes avaient défilé avant qu’il ne reçoive ce dernier sms et autant dire Seth avait le cœur qui palpitait dans l’attente d’une réponse qu’il avait la sensation ne viendrait jamais. Les points indiquant qu’il était en train d’écrire lui donnait des palpitations encore plus terribles. Il n’avait pas vraiment répondu à sa question, mais il confirmait, ce soir, ils discuteraient tous les deux. Deux chemins s’offraient à lui, une voie remplie de complexité qui s’annonçait difficile et cet autre chemin qu’il empruntait depuis cinq ans, loin du cœur, solitaire. Pendant le reste de la journée, il avait tenté de ne pas y réfléchir, de ne pas penser à quelle pourrait être sa réponse qu’il lui donnerait. Il la connaissait, mais s’il réfléchissait trop, il craignait de faire un pas énorme de reculant. Il écoutait ses patients d’une oreille distraite, tenter de poser lui-même des questions à ceux-ci pour voir ce qu’une personne extérieure pourrait penser de toute son histoire. Lui si jaloux alors qu’il se refusait à voir la vérité en face. Bousculant son quotidien depuis des semaines, le travaillant psychologiquement comme physiquement. Trop difficile à ignorer désormais qu’il avait goûté ce fruit.

Finissant son travail vers 17h, il avait choisi de rentrer à l’appartement. Contrairement à son habitude, il n’était pas sorti pour aller écrire sa thèse. Il avait juste un peu travaillé dans certain dossier qu’il avait ramené avec lui. Bourreau de travail, il laissait le temps filer, jusqu’à se décider à se préparer. Pour se détendre, il se faisait couler un bain. Une chose qu’il ne faisait jamais, mais à cet instant, il en avait besoin. Terriblement besoin. Son corps tendu, ses pensées incapables de se concentrer sur autre chose que ces échanges sms un peu plus tôt. Dans l’eau jusqu’au cou et une débarbouillette sur son front, les yeux fermés. Il pensait à ce qu’il ferait pour accueillir Lugos. Lui offrir une soirée comme il aurait dû le faire le soir de la Saint-Valentin. Un repas fait de ses mains, une atmosphère romantique peut-être… Mais il sombrait dans un sommeil, détendu par la chaleur de l’eau contre sa peau. Le bruit de la porte qui se déverrouillait suffisait à le réveiller. L’eau désormais froide, sa peau plissée par le temps qu’il avait passé dans celle-ci. Il en sortait précipitamment enfilant rapidement les vêtements qu’il avait pris pour la soirée, les enfilant sur sa peau mouillée encore. Sortant de la salle de bain où se trouvait l’immense baignoire, il passait une main dans ses cheveux humides qui laissaient quelques perles rouler sur sa nuque. « Tu rentres tôt ! » disait-il alors que son regard se posait sur le cadran de la cuisinière. « Ou pas… » 20h45… Il avait dormi prêt d’une heure dans le bain. – Bravo Seth, tout ce que tu planifiais tombe à l’eau ! Aucun repas prêt pour son arriver. Il l’accueillait dégoulinant d’eau, les vêtements collés à sa peau, moulant chaque courbe de son corps. « J’ai tout raté encore une fois. » soupirait-il en passant une main dans ses cheveux clairs. « Je voulais faire le dîner, mais je me suis endormi dans le bain. » Ses dents venaient mordre sa lèvre inférieure en posant son regard vers lui. Son myocarde s’emballant alors qu’il prenait conscience que tout se ferait dans les prochaines minutes. Il lui poserait cette fameuse question qu’il lui avait demandé par sms. Des battements affolés à la simple idée de lui répondre. « On peut se faire livrer si tu as faim ? »


par zaja
Lugos Wolf
Lugos Wolf






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Surnom : Wolfie, une référence geek que ses amis aiment utiliser pour le comparer au loup qui apporte régulièrement son aide à un certain Mike dans le jeu vidéo Until Dawn. Mélange de gentillesse, de tendresse et de férocité, comme cet animal qui ne recule devant aucun danger et se bat pour ses convictions et ceux qu'il aime.
Âge : 31
Origines : Principalement américaines, des racines françaises du côté paternel et britanniques du côté maternel.
Occupation : Anciennement militaire déployé en Afghanistan (Capitaine, O-3 d'un escadron), éprouvé sur la durée par toutes les horreurs dont il a été témoin, parfois investigateur, sur le terrain au nom de la "paix". De retour au pays depuis janvier 2020 et Lieutenant de Police depuis (Detective Bureau).
Lieu de résidence : Brooklyn, un entre-deux intéressant d'un point de vue purement financier. Immeuble n°3 (appartement 18).
A New York depuis : toujours, malgré une interruption de plusieurs années au gré de ses missions partout à travers le monde.
Situation Amoureuse : Consacrée à une liberté qui permet de nager à vue, une relation longue qui n'a pas survécue à plusieurs années de déploiement en Afghanistan et un désir d'être surpris plutôt que de provoquer le destin.
Orientation sexuelle : Bisexuel assumé depuis toujours, il aurait pu être dangereux de s'affirmer à l'armée mais personne ne l'a jamais confronté à ce sujet-là.
Trigger Warning : Mort / Violence excessive / Injures / RP' hot

(Ce que je ne tolère pas en rp') : Cruauté animale, inceste, viol.

Lugos, un prénom celtique, inspiré par la mythologie qui l’accompagne. Une référence qui me va plutôt comme un gant. Lugos, ou, « Le Lumineux ». Une divinité spécialisée dans la communication, protecteur des arts. Je ne suis peut-être pas un artiste, mais j’ouvre grand mes yeux d’enfant devant le moindre morceau de bravoure cinématographique. ⌑ Les années quatre-vingt-dix, âge d’or musical aux yeux de plusieurs générations. Des classiques à ne plus savoir quoi en faire et un garçon qui vient au monde quelques minutes, à peine, après son frère. Des jumeaux (Neji Wolf) que tout opposera assez rapidement. ⌑ Une mère qui aime pudiquement, un père très absent, héros et bourreau à la fois. Une armoire à glace à l’éducation primitive, conservatrice diront certains. Un homme qui ne demande l’avis de personne et ne s’inquiète pas de blesser les autres. Un héros aux yeux d’une Nation tout entière, le Diable en chair et en os aux prunelles de ses enfants. ⌑ Un frère que j’ai toujours tenté de protéger en usant et abusant de mon aura de fils prodige. Moi qui, contrairement à Neji, me vouais au même chemin que mon paternel, à une carrière militaire qui ferait la fierté d’un père beaucoup trop sévère et violent. Combien de coups de ceinture, de remarques acerbes, de gifles… Tout le monde a perdu le compte, avec les années. ⌑ Bisexuel affirmé, une sexualité qui a toujours été assumée, et cela depuis mon plus jeune âge. Un premier baiser échangé avec une fille et une mauvaise impression qui m’a donné envie de faire mon coming out à treize ans, puis de me défaire de ma virginité l’année suivante avant une découverte tardive du sexe en compagnie féminine. Une préférence marquée pour les hommes malgré tout, au plus grand désespoir d’un père qui, dès lors, n’a eu de cesse d’assister impuissant à la dégringolade de son fils dans son estime. ⌑ À peine diplômé et déjà enrôlé (2010). Quelques années de formation, de petites missions à même la base militaire new-yorkaise puis l’obtention d’un premier grade (lieutenant) synonyme de premiers déploiements (2013). Un parcours initiatique dans les pas de mon propre père, lui-même envoyé en Irak en son temps (2014-2017). Un second grade (Capitaine) et l’accès à de nouvelles responsabilités. La formation d’une équipe à part entière, d’une famille embarquée en Afghanistan pour une mission sur le long terme. La violence d’un terrain sous-estimé, d’une réalité qui glace le sang et hante jusqu’au plus profond de tes rêves et un traumatisme, comme ultime coup de grâce, qui mène à une démission en mai 2019 avant rapatriement en janvier 2020. Lieutenant Détective depuis 2020, en conflit avec un père qui ne m’adresse plus du tout la parole et estime qu’une pédale dans mon genre n’aura de toute manière jamais assez de cran pour avancer dans la vie.

Célibataire, adepte des relations d’un soir, d’étreintes régulières qui n’engagent rien et n’entrainent pas le moindre problème. Ce n’est pourtant pas faute de rêver à une belle histoire, mais quelque chose semble toujours me retenir de franchir un tel pas. ⌑ Solaire, malgré une stature qui inspire la méfiance de prime abord. Je ne suis pourtant qu’optimisme et joie de vivre. Accroché à la vie au point où mes proches me taquinent souvent en sous-entendant que je sors tout droit d’un dessin animé utopiste. Mon monde, il est pourtant bien plus sombre que cela. Je préfère juste me concentrer sur la lumière afin d’éviter d’être emporté par une obscurité qui fait mal. ⌑ Sportif de haut niveau, entrainement militaire oblige, je continue à énormément m’entrainer à la salle de sport, le tout en combo avec plusieurs sports de combat qui enrichissent ma pratique professionnelle. Une petite dose de natation en supplément, lorsque la musculation me sort par les yeux. ⌑ Engagé, fervent défenseur de la cause LGBT+ au point de participer à l’ensemble des événements organisés dans les environs, qu’il s’agisse d’une Pride ou d’une manifestation plus sensible. J’apporte un soutien financier, bien-sûr, mais surtout humain à plusieurs associations qui apportent leur aide à des jeunes isolés à cause de leur sexualité. Un combat que j’ai également mené à mon échelle, que je continuerais toujours à mener contre mon père. ⌑ Gourmand, ne m’offrez pas de cookies au risque d’être récompensés par une demande en mariage. La nourriture est mon pêché mignon, j’irais même jusqu’à dire qu’il s’agit de mon talon d’Achille.

GREGOIRE (collègue)
chapitre 1 (en cours)
CLARK (psychologue / collègue)
chapitre 1 (en cours)
YURI (bénévole, allié dans l'urgence)
chapitre 1 (en cours)
DIEGO (ancien collègue, asset)
chapitre 1 (en cours)
SETH (suspect initial, match NYCMEET)
chapitre 2 (en cours)
chapitre 3 (en cours)
LESLIE (match NYCMEET)
chapitre 1 (en cours)
MACK (match NYCMEET)
chapitre 1 (en cours)
CHANI (blind date)
chapitre 1 (en cours)

TERMINÉS / ANNULÉS
MARLA (lien annulé Marla)
chapitre 1 (abandonné Marla)
LEITH (informateur)
chapitre 1 (abandonné Leith)
ALAN (politicien / allié)
chapitre 1 (en cours)
SETH (suspect initial, match NYCMEET)
chapitre 1 (sujet terminé)
When you’re constantly thinking of others and what they must be thinking or feeling or expecting, you wind up in this perpetual state of trying to please them. You see yourself through their eyes and you lose sight of who you are. Michael Soll
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  • United Heart
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RPs : 0
Pseudo : BOY BYE
Pronom : IL
Messages : 402
Faceclaim : James Yates
Crédits : monocle.
Inscription : 06/12/2020
Multicomptes : Aucun DC.
Nombre de mots par RP : 400-1800 mots
Fréquence de RP : Plusieurs fois par semaine (disponible)
Je suis plutôt : dark et chill.
Instant Crush
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ingame
02 zone libre
03
hors-jeu
Citoyen de NYC ✧
(#) Lun 1 Mar - 22:28

if you asked me to / @Seth Hogan
Je n’ai aucune idée de ce qui m’attend à la maison. Plus les minutes s’écoulent, et plus mes traits s’étirent et expriment une incertitude qui me berce et me fait passer d’une émotion à une autre depuis plusieurs heures maintenant. Tu es épuisé, complètement vidé par le poids de tes pensées, de doutes qui continuent d’apparaitre en d’ignobles flashs pour te rappeler que tu n’es pas maitre de ton destin. Tu pourrais t’amuser à prétendre l’inverse, mais tu as compris depuis bien longtemps que ton cœur régnait en Maitre absolu sur ta raison et que, cette fois, il ne comptait pas se taire. Les messages que nous avons échangé tout à l’heure, en une montée en puissance que je n’attendais pas, je les redécouvre et les survole d’un geste du pouce entièrement maitrisé. Tu relis ses mots, les tiens et ton myocarde se serre parfois, d’autres fois tu te sens sourire comme un idiot au milieu de cette rame de métro. Puis la fin de cette discussion s’impose inévitablement. Elle s’achève sur cette proposition. Je ne sais même pas ce qui m’est passé par la tête, comment j’en suis arrivé à formuler des mots d’une telle ampleur, tout cela pour obtenir… Rien, si ce n’est la certitude de ne pas savoir comment te positionner. Tu aurais très largement préféré un refus. Tu l’aurais accepté sans même t’en indigner. Tu n’aurais pas été vexé, peut-être même aurais-tu été soulagé de ne pas avoir à affronter les conséquences de telles actions. Je n’ai jamais fait cela, l’exclusivité je ne connais pas et j’ignore si je suis capable d’une telle chose. Tout le monde n’est pas voué à couler des jours heureux en compagnie d’une seule et même personne, d’une âme sœur qui illumine tout et ne laisse jamais les nuages s’appesantir trop longtemps. Tu ne t’es jamais visualisé dans cette configuration. Heureux, à deux, des gosses plein la baraque, une véritable propriété à ton nom, un chien… Le bonheur tel qu’Hollywood adore le mettre en boite. Je ne me suis jamais projeté, tout court. La vie, j’ai toujours pensé qu’elle me serait bêtement arrachée tôt ou tard lorsque j’étais dans l’armée. Une balle ennemie, un guet-apens, une mine savamment disposée… Tous les scénarios habituels. Je devrais être soulagé à présent, plus en sécurité dans ma profession et pourtant l’exposition est encore plus risquée. Tu ne pourras pas anticiper. Tout le monde cache bien son jeu ici, à New-York. Personne ne revendique rien et c’est bien là tout le problème. Je n’envisage pas mon quotidien au-delà d’une journée, parfois d’une semaine. Jamais plus loin. Le futur, il est immédiat. Proche, quand tu te montres vraiment ambitieux et naïf. Ultime arrêt, il est temps de descendre et d’affronter cet homme qui m’attend là où tout pourrait commencer, continuer ou s’arrêter. Des perspectives et d’autres interrogations.

Tu tournes la clé, la retire de la serrure, tout cela pour répéter l’action de l’autre côté de la porte. Tu presses la poignée pour t’assurer d’avoir bien condamné l’entrée et te surprends à sursauter lorsque sa voix s’élève pour signaler sa présence. « Tu m’as fait peur ! » Je constate, la main plaquée contre ma poitrine, un sourire bourré d’auto-dérision dessiné sur les lèvres. Je ne pense plus, j’admire, comme à mon habitude. Il est beau et… Mouillé ? « Mais… Tu es trempé ! Tu as pris une averse ? Ils n’ont pourtant pas annoncé de pluie ? J’étais dehors il y a moins de deux minutes et il ne pleuvait pas… » Il parle, beaucoup et pas assez à la fois pour me permettre de suivre son raisonnement comme il se devrait. Je fronce les sourcils, le laisse s’adonner à un jeu des questions et des réponses qu’il mène tambour battant. Tu n’es pas en avance, bien au contraire, tu as pris tellement de retard, accaparé par tes pensées, que tu as dû accélérer pour espérer te présenter à la maison à une heure convenable. « Ne dis pas n’importe quoi, tu n’as rien raté ! » Je m’approche et tapote son épaule. Tu as l’air vraiment stupide à agir de la sorte, alors que tu pourrais le prendre dans tes bras. La tendresse lorsque les choses se gâtent, tu ne sais pas faire. Tu as ce blocage qu’il est plus difficile à faire sauter que dans ton esprit. « La situation est cocasse, cela dit ! J’aime bien ! » Je termine, taquin, lui adressant au passage un clin d’œil que j’espère plus à même de le détendre. « Je peux nous préparer à manger si tu veux ? De quoi as-tu envie ? » La cuisine et moi, nous apprenons encore à nous connaitre. Tu n’avais jamais cuisiné le moindre plat avant de rentrer de l’armée. Là-bas, vous enchainiez les rations, la nourriture infâme. De tour de permission, tu laissais à ta mère le soin de te traiter comme un Roi. Tu as appris sur le tard, en te retrouvant le nez dans la merde, comme toujours. Ton indépendance, elle est relativement récente. Loin de la meute que vous formiez dans l’armée avec ton unité, celle que tu supervisais et commandais. Tu as vu disparaitre tes coéquipiers, ton univers, tes fondations et ta famille dans la foulée quand tu as renoncé pour te donner une chance de ressortir aussi indemne que possible de cette histoire ô combien traumatique. Je me déplace, le longe, m’éloigne pour rejoindre la salle de bain et attraper une immense serviette de bain dans le placard mural. Je ne lui demande pas son avis, plus détendu, anormalement tendre lorsque j’enroule sa stature de cette dernière et le serre davantage, frottant mes mains contre la serviette afin de lui apporter une source de chaleur convenable. « Tu grelottes ! »



par zaja
Seth Hogan
Seth Hogan






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Surnom : prénom déjà court, on l'interpelle surtout par son nom de famille, Hogan.
Âge : 32
Origines : américain, il est le fruit du sud du pays, sudiste dans l'âme. honte et acceptation se mélangeant pour donner vie à ce garçon un peu rustre.
Occupation : en poste dans un cabinet médical en tant que sexologue, mais travaille aussi comme vendeur à domicile de sextoy.
Lieu de résidence : son appartement détruit par le séisme, il squatte la chambre d'ami de Lugos.
A New York depuis : ses 23 ans.
Situation Amoureuse : célibatard ? il ne recherche rien de sérieux, profitant de sa jeunesse et surtout ce désir de ne pas refaire les mêmes erreurs que par le passé.
Orientation sexuelle : les étiquettes ce n'est pas pour lui, il ne possède pas de préférence simplement parce que tout le monde à droit à sa chance, alors pourquoi se priver de donner du plaisir ?
Trigger Warning : sexisme / homophobie / transphobie / pornographie / pratiques sexuelles variées (hard ou non) / problème sexuel / langage cru / rp hot cru

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Seth sait conduire depuis qu’il a dix ans, sur les terres de sa famille il avait tendance à prendre le pick-up pour aller dans les plaines. Il lui arrivait d’aller chercher les courses sans permis de conduire. Il n’a jamais eu de ticket pour excès de vitesse et pourtant, il en a fait que ce soit en voiture, skidoo, 4 roues… Il a tout essayé comme moyen de transport et avec les années il a obtenu des permis pour voiture, bateau, et il regarde pour prendre des cours d’aviation. Il n'est pourtant pas un grand fan des vélos, consommateur d'essence, il roulerait bien en voiture, mais dans la ville qu’est New York c’est un peu casse-tête. ›› Il avait cinq ans lorsqu’il a tenu sa première arme à feu en main. Très vite son père lui a montrer à s’en servir. Il aime s’adonner à la chasse, mais aussi la pêche. Il pratique quelques sports en nature et il n’est pas rare que durant l’été il parte quelques semaines pour aller camper, se coupant de la société, aucun téléphone, rien d’électronique, seulement lui et la nature. ›› Il fume comme une cheminé environ un paquet par jour minimum. Ça le calme, soi-disant. Il lui est arrivé de tenter d’arrêter, mais il ne fait qu’accumuler les échecs. Il peut fumer autant la cigarette que le cigare, mais il a arrêté la drogue depuis quelque temps maintenant. ›› Cordon bleu, il aime bien passer son temps libre derrière les fourneaux. Il dit toujours que ça lui libère l’esprit, que ça le détend. Il ne suit jamais de recette, laissant libre court à sa créativité que lui inspire l’instant présent. Il cuisine surtout du tex-mex, cette nourriture de chez lui. Il a même fait importer un fumoir du Texas pour avoir le meilleur selon lui. Seth est carnivore, il aime la viande rouge. Pour lui la laitue c’est fait pour les lapins. ›› Peu importe ce qu’il fait chez lui, il laisse toujours un fond sonore, de la musique country majoritairement, parfois, il demande à son assistant google de changer pour du rap ou tout autre style qui lui fait envie dans l’instant présent. ›› Complètement accro à la technologie, il suit celle-ci pour avoir la fine pointe. Il en abuse sans doute beaucoup trop. ›› Sa religion ; une bière pendant un match de la NFL avec des ailes de poulet. Il aime autant profiter de ce moment entre ami chez lui ou alors dans un bar sportif, ce support, cette camaraderie le ramène chez lui, dans ce bar du village où il allait parfois fêter les victoires des Texans. Si quelqu’un a le malheur de parler en mal du football, des hot-dogs, de la voix portante des américains pendant les matchs, cette personne regrettera vite ses propos. Loin d’être violent, il suffit à Seth de bomber le torse et de déplier son corps de toute sa hauteur pour que personne ne lui cherche des noises. ›› Habitué à bosser sur une ferme, il a toujours eu la forme, malgré tout l’alcool qu’il peut ingurgiter. Aujourd’hui, il ne soulève plus des balles de foin, il va donc dans une salle de gym trois fois semaine. Il y reste environs quatre heures, il n’y va pas avec le dos de la cuillère, mais si cuisiner lui libère l’esprit, s’entraîner le relax. ›› Il a visité des endroits comme Rangoun, Bangkok, Gênes, Bogota, Copenhague, Mumbai, Sao Paulo, Nicaragua, Sri Lanka, Séoul et bien d’autres encore. Avec tous ces voyages, il est devenu polyglotte, il ne parle pas toutes les langues à la perfection, mais il maitrise bien l’espagnol qu’il a appris au collège, l’allemand et l’italien, mais parfois ces langues sont difficiles à comprendre avec son accent Texan. ›› Lorsqu’il repasse ses chemises, il a tendance à chanter du Nikki Minaj et autant dire, les fesses à lui aussi se font aller ! ›› Il possède à son poignet la silhouette de Nessie, un tatouage qui date de son premier voyage en Écosse, lui et tous ses potes on le même. Sinon son plus vieux tatouage remonte à ses 15 ans, lorsque sa sœur pour rire a décidé de le tatouer. C’est un énorme papillon sur les reins qu’il a découvert après. Aussi ridicule que ce soit ça plait aux filles comme aux mecs. En parlant de bêtises qu’il a fait, il s’est fait percer la langue, aujourd’hui il l’a retiré, mais ce n’est pas le cas de son piercing au mamelon, à ses oreilles et celui sous la ceinture !
love me like the moon intended, all the way through the darkness
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Nombre de mots par RP : je m'adapte à mes partenaires, mais ça varie entre 200 et 3000
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Je suis plutôt : dark et chill.
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(#) Mar 2 Mar - 22:32

if you asked me to / @Lugos Wolf
La vérité restait que Seth n’avait pas la moindre idée de ce qu’il l’attendait ce soir. Il avait beau laisser son cœur palpité dès que son regard se posait sur cette double demande faite par le blond, il restait que son esprit ne savait pas quoi faire. Être en couple, était-il prêt ? Trop longtemps, il avait passé à se dire que plus jamais il ne donnerait son cœur. Il ne s’en sentait toujours pas capable, pas entièrement – tout du moins, pour le moment. En contrepartie, s’il pensait à la conséquence de perdre Lugos, une douleur vive lui broyait les entrailles. La réponse, il ne la possédait pas ou alors il se voilait les yeux pour ne pas voir l’évidence. Il ne pouvait imaginer un monde sans que le blond ne partage sa vie. S’il refusait, resteraient-ils amis ? Étaient-ils amis ? Pourrait-il continuer à le voir en sachant qu’après leurs aveux il l’avait repoussé ? Est-ce qu’ils feraient comme si rien de tout cela avait eu lieu ? Même, Lugos agirait-il ainsi en arrivant à l’appartement ? Des messages traînant sur leur conversation, oublié comme s’ils n’avaient aucune importance… Seth espérait que non, après tout dans l’un de ses messages, il avait sous-entendu sa réponse. Il l’avait fait, alors qu’il n’acceptait simplement pas une demande écrite aussi banalement. Au plus profond de lui, il avait besoin de perdre son regard dans les opales de son hôte, d’y voir toute la sincérité de sa demande. Que celle-ci ne soit en rien un caprice ou demandé à regret. Il avait besoin de quelque chose de concret pour oser se jeter dans une relation dont il craignait tout de sa possible tournure. Le cœur meurtri n’avait jamais réellement guéri et c’était un fait qu’il ne pouvait pas effacer de sa vie. La sécurité d’une histoire prenait tout son sens lorsqu’on comprenait pourquoi il était toujours célibataire. Par amour, il pouvait tellement offrir qu’il pourrait se perdre. Ce sentiment détruisait toute sa force, le laissant choyer cette personne à un tel point qu’il s’oubliait pour combler ce bonheur. Toutefois, se mettre en couple avec Lugos reviendrait à l’aimer avec autant d’ardeur qu’il avait pu faire six ans plus tôt ? Tout ceci restait un mystère pour lui. Mystère qu’il se sentait tout de même prêt à affronter, discutant ensemble comme ils se l’étaient promis.

D’un sommeil léger, il s’était endormi dans la baignoire, lieu qu’il n’avait pas coutume de fréquenter. Ce fut dans son empressement, qu’il négligeait de se sécher pour rejoindre rapidement le blond, dévoilant à sa hâte son envie de le retrouver. Lugos étonné de le voir, Seth s’en mordait doucement la lèvre, malhabile et légèrement gêné de lui avoir causé une frayeur involontaire. « Navré. » soufflait-il qu’il sentît sur son visage des perles d’eau rouler sur sa peau. « Je me suis pas séché. » marmonnait-il en passant une main dans ses cheveux ras d’un blond à la légère repousse naturelle. Il se sentait idiot, dans cet enthousiasme de le retrouver, il n’avait même pas pris la peine de s’essuyer. Il fallait être complètement dépassé pour oublier une chose aussi élémentaire dans le concept de prendre un bain-douche. En plein hiver de surcroit, tout pour choper une grippe d’homme. – Est-ce qu’il prendrait soin de moi si j’étais malade ? Une pensée fugace qui mourrait aussitôt dans son esprit, bien loin de chercher à savoir ce que pourrait ressembler ce genre de moment. Et puis, l’observant, il s’attendait à quelque chose de plus. Ses orbes posés sur le châtain, cœur battant alors qu’il se perdait sur ses lèvres qui lui affirmait que ce n’était pas grave, qu’il n’avait rien raté. Son myocarde qui se libérait de ses questionnements les plus fous, avant de mourir, s’éteignant en sentant cette tape sur son épaule. Geste désenchanteur, Seth remettait en question certaines choses, notamment cette demande évoquer un peu plus tôt par sms. Et si Lugos avait pris conscience que c’était idiot, qu’il n’avait pas envie de lui… Il ne se sentait pas soulagé face à cette éventualité, bien au contraire, de marbre à l’extérieur, son cœur quant à lui s’effritait malgré lui. Pourquoi ressentait-il tout cela ? Un sourire prenait tout de même place sur ses lèvres, masque sur lequel il se fondait pour cacher son déroutement. Peut-être était-ce mieux ainsi ? Alors pourquoi avait-il la sensation que son cœur saignait ? Sans doute un simple écho de ces questions qu’il s’était posé tout l’après-midi, il ne voyait que cela. Lugos comme lui ne semblait pas prêt à s’engager, sans doute ne le seraient-ils jamais ? Il faisait mine de réfléchir, laissant ses pensées se déstructurer pour laisser de côté ce mal être qui l’envahissait et en arriver à l’idée préconçue qu’il ne devait plus rien attendre de cette soirée si ce n’était un moment tranquille pour discuter. « Mmmh, je suis pas bien difficile tant que y’a de la viande et pas trop de légumes. » disait-il en haussant les épaules, si c’était lui qui avait cuisiner, il aurait pousser bien plus loin pour lui offrir un repas comme il savait en faire quand il s’en donnait la peine, mais sinon son régime se réduisait à de la viande. Carnivore, pour lui salade n’égalait d’autres que nourriture pour rongeur. Le regardant s’éclipser, il se sentait idiot dans le couloir trempé, inondant le sol d’une accumulation d’eau à ses pieds. Baissant son regard, il passait sa main sur son visage. – T’es qu’un pauvre con Seth, comment pourrait-il vouloir de toi ? Une serviette se posant sur ses épaules, il tournait la tête pour le regarder avec étonnement. Oui, il grelottait, de froid, de peur, de peine. Le regardant, il baissait son regard, le laissant s’occuper de lui prodiguer de la chaleur. Une envie de lui souffler de le réchauffer avec son corps, mais il n’en disait rien. Sa main se levait tout de même, venant se poser sur son poignet. « Je vais aller me changer, tu t’occupe du repas ? » Il tentait un sourire, alors qu’il réalisait avoir trop mal pour rester entre ses mains, ce besoin de reprendre contenance avant de simplement redevenir celui qu'il était : un mec sans attente. Un mec qui devrait arrêter d’être jaloux pour simplement s’effacer comme il avait appris à le faire. Gardant la serviette, il se séchait les cheveux en se dirigeant vers sa chambre pour aller enfiler des vêtements secs.

par zaja
Lugos Wolf
Lugos Wolf






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Surnom : Wolfie, une référence geek que ses amis aiment utiliser pour le comparer au loup qui apporte régulièrement son aide à un certain Mike dans le jeu vidéo Until Dawn. Mélange de gentillesse, de tendresse et de férocité, comme cet animal qui ne recule devant aucun danger et se bat pour ses convictions et ceux qu'il aime.
Âge : 31
Origines : Principalement américaines, des racines françaises du côté paternel et britanniques du côté maternel.
Occupation : Anciennement militaire déployé en Afghanistan (Capitaine, O-3 d'un escadron), éprouvé sur la durée par toutes les horreurs dont il a été témoin, parfois investigateur, sur le terrain au nom de la "paix". De retour au pays depuis janvier 2020 et Lieutenant de Police depuis (Detective Bureau).
Lieu de résidence : Brooklyn, un entre-deux intéressant d'un point de vue purement financier. Immeuble n°3 (appartement 18).
A New York depuis : toujours, malgré une interruption de plusieurs années au gré de ses missions partout à travers le monde.
Situation Amoureuse : Consacrée à une liberté qui permet de nager à vue, une relation longue qui n'a pas survécue à plusieurs années de déploiement en Afghanistan et un désir d'être surpris plutôt que de provoquer le destin.
Orientation sexuelle : Bisexuel assumé depuis toujours, il aurait pu être dangereux de s'affirmer à l'armée mais personne ne l'a jamais confronté à ce sujet-là.
Trigger Warning : Mort / Violence excessive / Injures / RP' hot

(Ce que je ne tolère pas en rp') : Cruauté animale, inceste, viol.

Lugos, un prénom celtique, inspiré par la mythologie qui l’accompagne. Une référence qui me va plutôt comme un gant. Lugos, ou, « Le Lumineux ». Une divinité spécialisée dans la communication, protecteur des arts. Je ne suis peut-être pas un artiste, mais j’ouvre grand mes yeux d’enfant devant le moindre morceau de bravoure cinématographique. ⌑ Les années quatre-vingt-dix, âge d’or musical aux yeux de plusieurs générations. Des classiques à ne plus savoir quoi en faire et un garçon qui vient au monde quelques minutes, à peine, après son frère. Des jumeaux (Neji Wolf) que tout opposera assez rapidement. ⌑ Une mère qui aime pudiquement, un père très absent, héros et bourreau à la fois. Une armoire à glace à l’éducation primitive, conservatrice diront certains. Un homme qui ne demande l’avis de personne et ne s’inquiète pas de blesser les autres. Un héros aux yeux d’une Nation tout entière, le Diable en chair et en os aux prunelles de ses enfants. ⌑ Un frère que j’ai toujours tenté de protéger en usant et abusant de mon aura de fils prodige. Moi qui, contrairement à Neji, me vouais au même chemin que mon paternel, à une carrière militaire qui ferait la fierté d’un père beaucoup trop sévère et violent. Combien de coups de ceinture, de remarques acerbes, de gifles… Tout le monde a perdu le compte, avec les années. ⌑ Bisexuel affirmé, une sexualité qui a toujours été assumée, et cela depuis mon plus jeune âge. Un premier baiser échangé avec une fille et une mauvaise impression qui m’a donné envie de faire mon coming out à treize ans, puis de me défaire de ma virginité l’année suivante avant une découverte tardive du sexe en compagnie féminine. Une préférence marquée pour les hommes malgré tout, au plus grand désespoir d’un père qui, dès lors, n’a eu de cesse d’assister impuissant à la dégringolade de son fils dans son estime. ⌑ À peine diplômé et déjà enrôlé (2010). Quelques années de formation, de petites missions à même la base militaire new-yorkaise puis l’obtention d’un premier grade (lieutenant) synonyme de premiers déploiements (2013). Un parcours initiatique dans les pas de mon propre père, lui-même envoyé en Irak en son temps (2014-2017). Un second grade (Capitaine) et l’accès à de nouvelles responsabilités. La formation d’une équipe à part entière, d’une famille embarquée en Afghanistan pour une mission sur le long terme. La violence d’un terrain sous-estimé, d’une réalité qui glace le sang et hante jusqu’au plus profond de tes rêves et un traumatisme, comme ultime coup de grâce, qui mène à une démission en mai 2019 avant rapatriement en janvier 2020. Lieutenant Détective depuis 2020, en conflit avec un père qui ne m’adresse plus du tout la parole et estime qu’une pédale dans mon genre n’aura de toute manière jamais assez de cran pour avancer dans la vie.

Célibataire, adepte des relations d’un soir, d’étreintes régulières qui n’engagent rien et n’entrainent pas le moindre problème. Ce n’est pourtant pas faute de rêver à une belle histoire, mais quelque chose semble toujours me retenir de franchir un tel pas. ⌑ Solaire, malgré une stature qui inspire la méfiance de prime abord. Je ne suis pourtant qu’optimisme et joie de vivre. Accroché à la vie au point où mes proches me taquinent souvent en sous-entendant que je sors tout droit d’un dessin animé utopiste. Mon monde, il est pourtant bien plus sombre que cela. Je préfère juste me concentrer sur la lumière afin d’éviter d’être emporté par une obscurité qui fait mal. ⌑ Sportif de haut niveau, entrainement militaire oblige, je continue à énormément m’entrainer à la salle de sport, le tout en combo avec plusieurs sports de combat qui enrichissent ma pratique professionnelle. Une petite dose de natation en supplément, lorsque la musculation me sort par les yeux. ⌑ Engagé, fervent défenseur de la cause LGBT+ au point de participer à l’ensemble des événements organisés dans les environs, qu’il s’agisse d’une Pride ou d’une manifestation plus sensible. J’apporte un soutien financier, bien-sûr, mais surtout humain à plusieurs associations qui apportent leur aide à des jeunes isolés à cause de leur sexualité. Un combat que j’ai également mené à mon échelle, que je continuerais toujours à mener contre mon père. ⌑ Gourmand, ne m’offrez pas de cookies au risque d’être récompensés par une demande en mariage. La nourriture est mon pêché mignon, j’irais même jusqu’à dire qu’il s’agit de mon talon d’Achille.

GREGOIRE (collègue)
chapitre 1 (en cours)
CLARK (psychologue / collègue)
chapitre 1 (en cours)
YURI (bénévole, allié dans l'urgence)
chapitre 1 (en cours)
DIEGO (ancien collègue, asset)
chapitre 1 (en cours)
SETH (suspect initial, match NYCMEET)
chapitre 2 (en cours)
chapitre 3 (en cours)
LESLIE (match NYCMEET)
chapitre 1 (en cours)
MACK (match NYCMEET)
chapitre 1 (en cours)
CHANI (blind date)
chapitre 1 (en cours)

TERMINÉS / ANNULÉS
MARLA (lien annulé Marla)
chapitre 1 (abandonné Marla)
LEITH (informateur)
chapitre 1 (abandonné Leith)
ALAN (politicien / allié)
chapitre 1 (en cours)
SETH (suspect initial, match NYCMEET)
chapitre 1 (sujet terminé)
When you’re constantly thinking of others and what they must be thinking or feeling or expecting, you wind up in this perpetual state of trying to please them. You see yourself through their eyes and you lose sight of who you are. Michael Soll
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Crédits : monocle.
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Nombre de mots par RP : 400-1800 mots
Fréquence de RP : Plusieurs fois par semaine (disponible)
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(#) Ven 5 Mar - 18:39

if you asked me to / @Seth Hogan
Devant la porte de mon propre appartement, la clé insérée dans la serrure, le verrou emporté vers la gauche afin de libérer l’accès à l’entrée, je marque un temps d’arrêt nécessaire afin de retrouver mes esprits. Je ne sais pas comment envisager la soirée qui s’apprête à démarrer. D’un point de vue purement temporel, elle est déjà bien avancée puisqu’il est tard mais je sais également à quel point le temps s’arrête lorsque je suis en sa compagnie. Prétendre le contraire ne serait en rien productif, la sincérité en prendrait un sacré coup, qui plus est, et j’ai toujours été relativement transparent sur mes idées. Tu n’as pas pour habitude de mentir, de dissimuler des informations qui pourraient être essentielles mais lorsque les sentiments s’imbriquent et qu’il faut s’ouvrir à des perspectives inconnues, tout se complique. Tu es tout bonnement incapable de trouver la bonne tonalité, la bonne approche, la vision nécessaire à de telles introspections. Tu ressens mais tu n’entends pas. Tu vibres mais tu ne comprends pas. Tu ne sais pas faire et personne ne devrait t’en tenir rigueur, tu n’es pas entièrement responsable de tes failles, pas sur ce point-là. Peut-on vraiment me pointer du doigt pour ne jamais avoir eu le temps de tomber amoureux ? Cette occasion ne s’est jamais présentée, pas de la manière que tout le monde envisage, ces papillons qui me parlent vaguement, cette chaleur qui se distille partout à travers ton corps en un claquement de doigts, ce myocarde censé s’emballer jusqu’à frôler l’implosion… Comment aurais-je pu m’éveiller à tout cela avec le peu de temps que j’ai passé en qualité de simple quidam ? Le soldat en moi a toujours pris l’ascendant sur l’homme, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que des cendres du parfait petit militaire voué à une carrière sans bavures. Un an et des broutilles, un anniversaire particulier, celui d’une liberté retrouvée, d’une vie qui commence véritablement, tant bien que mal. Tu pourrais faire un pas en avant et apprendre à aimer. Tu en as envie, tu le désires et tu sais cette démarche motivée par la sincérité. Je ne suis pas désespéré. Je suis toujours parvenu à me trouver un équilibre satisfaisant sans cela et malgré la pression qu’aime placer la société sur les célibataires. Tu n’es pas un vieux garçon. Plus que jamais tu profites de la vie, des nombreuses rencontres que tu fais à certaines périodes et d’une simplicité dont tu as toujours été privé par tes objectifs professionnels. Il est temps, je m’appuie sur la poignée et lance un engrenage sur lequel je n’ai plus aucun contrôle à présent. Une dernière inspiration, tu es prêt à le rejoindre.

Mes prunelles se perdent sur lui, longent ses formes et brillent d’une étincelle qui ne se tarit jamais ! Tu as l’impression de le découvrir pour la toute première fois chaque soir, lorsque tu rentres d’une longue journée de travail. Chaque matin, lorsque tu te lèves après une nuit passée en solitaire, loin de lui et si près à la fois, et que tu aperçois sa silhouette bien trop peu recouverte pour ton propre bien. Il est à tomber et mes mollets en attestent, confirment ce sentiment. Eux ,qui se mettent à trembloter. Tu es plus fort que cela et tu te tiens bien droit, debout face à lui, à remarquer cette humidité que tu n’arrives pas à justifier. Pourquoi est-il trempé alors qu’il ne pleut pas dehors ? « Tu es fou ! » Je constate, hilare et tendrement moqueur à la fois. « Tu vas tomber malade, déshabille-toi ! » Un ordre qui, dans ma tête, sonnait le plus innocemment du monde mais qui, prononcé de la sorte, fait s’accélérer les battements d’un myocarde qui se fait des idées. Tu ne serais pas contre, tu te sens déjà légèrement à l’étroit rien qu’en l’imaginant se dévêtir devant toi, sexy en diable, provocateur à souhait et partisan d’une sensualité qui te laisserait complètement sur les fesses. Je lui propose un plan d’attaque, une stratégie simple, que j’espère d’une efficacité redoutable pour chasser cette culpabilité qui semble le ronger après s’être endormi dans le bain plutôt que de préparer le repas qu’il avait en tête. « Tu auras un peu de viande blanche, de la sauce barbecue comme tu m’as appris à la faire maison et, cerise sur le gâteau, des pommes de terre au four ! » Je souris, marque très volontairement un temps d’arrêt qu’il doit voir venir de très loin, puisqu’il commence à bien me connaitre à présent. « ET DES LÉGUMES ! Tu me remercieras pour cela plus tard, quand tu me prépareras des bons repas avec une portion raisonnable de légumes à chaque fois… J’en suis persuadé ! » Tu ne te rends même pas compte de cet avenir que tu dessines avec entrain, celui au centre duquel il aurait toute sa place, essentiel à un quotidien qui n’aurait pas cette saveur sans lui… Sauce barbecue d’une viande trop peu assaisonnée sans sa présence si particulière et riche à la fois. Je l’abandonne le temps de trouver une serviette suffisamment grande pour un gabarit comme le sien, comme le nôtre, et de revenir sur mes pas, là où il se trouve encore. Je l’entoure, le recouvre et le serre, tente de le réchauffer d’une friction tendre et régulière qu’il décide d’interrompre à ma plus grande surprise de cette main qui accroche mon poignet et me repousse. Ton cœur manque un battement, il est tellement contracté que tu peines à reprendre ton souffle. Tu ne pensais pas… À quoi m’attendais-je ? Cette conversation par SMS s’est terminée d’une bien étrange manière, sur une réponse qui n’en était pas une de sa part, sur une invitation à la formulation en face à face et… Tu ne sais pas, tu n’as pas su quoi lui répondre, persuadé qu’il essayait tant bien que mal de te faire passer un message négatif. Tu as pour règle de ne jamais rejeter quelqu’un par message. Ce doit être son cas à lui aussi et tu le réalises d’autant plus à présent. Je baisse la tête, encaisse et recule de quelques pas pour mieux pouvoir fuir ce regard qu’il porte sur moi, aussi peu à l’aise et tout aussi enclin à ne pas croiser mes prunelles. Tout est dit, tu le sais à présent. « Je… On fait comme ça. Le diner devrait être prêt d’ici une trentaine de minutes, peut-être un peu plus… Tu as le temps. Je t’appelle quand je décapsule les bières pour l’apéro ! » Je termine sur un clin d’œil et le laisse ici. Je dois me distancer, il le faut. Tu atterris dans la cuisine, isolé. Prends cinq ou six secondes pour te remémorer la scène étrange qui vient de se jouer, tu expires un grand coup, comme pour laisser retomber la frustration. Vous concocter un repas t’aideras à ne plus y penser alors tu t’élances à la conquête des ingrédients nécessaires à l’accomplissement de l’idée que tu as en tête.




par zaja
Seth Hogan
Seth Hogan






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Surnom : prénom déjà court, on l'interpelle surtout par son nom de famille, Hogan.
Âge : 32
Origines : américain, il est le fruit du sud du pays, sudiste dans l'âme. honte et acceptation se mélangeant pour donner vie à ce garçon un peu rustre.
Occupation : en poste dans un cabinet médical en tant que sexologue, mais travaille aussi comme vendeur à domicile de sextoy.
Lieu de résidence : son appartement détruit par le séisme, il squatte la chambre d'ami de Lugos.
A New York depuis : ses 23 ans.
Situation Amoureuse : célibatard ? il ne recherche rien de sérieux, profitant de sa jeunesse et surtout ce désir de ne pas refaire les mêmes erreurs que par le passé.
Orientation sexuelle : les étiquettes ce n'est pas pour lui, il ne possède pas de préférence simplement parce que tout le monde à droit à sa chance, alors pourquoi se priver de donner du plaisir ?
Trigger Warning : sexisme / homophobie / transphobie / pornographie / pratiques sexuelles variées (hard ou non) / problème sexuel / langage cru / rp hot cru

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RPS EN COURS
www. leslie #1
www. lugos #2
www. alicia #2
www. lugos #3
www. ezeckiel #1
www. alexis #1 (à venir)

RPS TERMINÉS/ABANDONNÉS
www. lugos #1 (terminé)
www. elvedin #1 (archivé par le staff)
www. yuri #1 (archivé par le staff)
www. alicia #1 (archivé par le staff)
www. suhee #1 (abandonné)

LIENS
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Seth sait conduire depuis qu’il a dix ans, sur les terres de sa famille il avait tendance à prendre le pick-up pour aller dans les plaines. Il lui arrivait d’aller chercher les courses sans permis de conduire. Il n’a jamais eu de ticket pour excès de vitesse et pourtant, il en a fait que ce soit en voiture, skidoo, 4 roues… Il a tout essayé comme moyen de transport et avec les années il a obtenu des permis pour voiture, bateau, et il regarde pour prendre des cours d’aviation. Il n'est pourtant pas un grand fan des vélos, consommateur d'essence, il roulerait bien en voiture, mais dans la ville qu’est New York c’est un peu casse-tête. ›› Il avait cinq ans lorsqu’il a tenu sa première arme à feu en main. Très vite son père lui a montrer à s’en servir. Il aime s’adonner à la chasse, mais aussi la pêche. Il pratique quelques sports en nature et il n’est pas rare que durant l’été il parte quelques semaines pour aller camper, se coupant de la société, aucun téléphone, rien d’électronique, seulement lui et la nature. ›› Il fume comme une cheminé environ un paquet par jour minimum. Ça le calme, soi-disant. Il lui est arrivé de tenter d’arrêter, mais il ne fait qu’accumuler les échecs. Il peut fumer autant la cigarette que le cigare, mais il a arrêté la drogue depuis quelque temps maintenant. ›› Cordon bleu, il aime bien passer son temps libre derrière les fourneaux. Il dit toujours que ça lui libère l’esprit, que ça le détend. Il ne suit jamais de recette, laissant libre court à sa créativité que lui inspire l’instant présent. Il cuisine surtout du tex-mex, cette nourriture de chez lui. Il a même fait importer un fumoir du Texas pour avoir le meilleur selon lui. Seth est carnivore, il aime la viande rouge. Pour lui la laitue c’est fait pour les lapins. ›› Peu importe ce qu’il fait chez lui, il laisse toujours un fond sonore, de la musique country majoritairement, parfois, il demande à son assistant google de changer pour du rap ou tout autre style qui lui fait envie dans l’instant présent. ›› Complètement accro à la technologie, il suit celle-ci pour avoir la fine pointe. Il en abuse sans doute beaucoup trop. ›› Sa religion ; une bière pendant un match de la NFL avec des ailes de poulet. Il aime autant profiter de ce moment entre ami chez lui ou alors dans un bar sportif, ce support, cette camaraderie le ramène chez lui, dans ce bar du village où il allait parfois fêter les victoires des Texans. Si quelqu’un a le malheur de parler en mal du football, des hot-dogs, de la voix portante des américains pendant les matchs, cette personne regrettera vite ses propos. Loin d’être violent, il suffit à Seth de bomber le torse et de déplier son corps de toute sa hauteur pour que personne ne lui cherche des noises. ›› Habitué à bosser sur une ferme, il a toujours eu la forme, malgré tout l’alcool qu’il peut ingurgiter. Aujourd’hui, il ne soulève plus des balles de foin, il va donc dans une salle de gym trois fois semaine. Il y reste environs quatre heures, il n’y va pas avec le dos de la cuillère, mais si cuisiner lui libère l’esprit, s’entraîner le relax. ›› Il a visité des endroits comme Rangoun, Bangkok, Gênes, Bogota, Copenhague, Mumbai, Sao Paulo, Nicaragua, Sri Lanka, Séoul et bien d’autres encore. Avec tous ces voyages, il est devenu polyglotte, il ne parle pas toutes les langues à la perfection, mais il maitrise bien l’espagnol qu’il a appris au collège, l’allemand et l’italien, mais parfois ces langues sont difficiles à comprendre avec son accent Texan. ›› Lorsqu’il repasse ses chemises, il a tendance à chanter du Nikki Minaj et autant dire, les fesses à lui aussi se font aller ! ›› Il possède à son poignet la silhouette de Nessie, un tatouage qui date de son premier voyage en Écosse, lui et tous ses potes on le même. Sinon son plus vieux tatouage remonte à ses 15 ans, lorsque sa sœur pour rire a décidé de le tatouer. C’est un énorme papillon sur les reins qu’il a découvert après. Aussi ridicule que ce soit ça plait aux filles comme aux mecs. En parlant de bêtises qu’il a fait, il s’est fait percer la langue, aujourd’hui il l’a retiré, mais ce n’est pas le cas de son piercing au mamelon, à ses oreilles et celui sous la ceinture !
love me like the moon intended, all the way through the darkness
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Nombre de mots par RP : je m'adapte à mes partenaires, mais ça varie entre 200 et 3000
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Je suis plutôt : dark et chill.
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(#) Dim 7 Mar - 3:30

if you asked me to / @Lugos Wolf
Aucune pensée rationnelle trouvait sa place dans son esprit, trop préoccupé par cette question qu’il attendait. Peut-être un peu trop naïf de croire que ça aurait été la première chose que Lugos lui aurait dit en arrivant. L’attente de ce moment qui s’envolait à mesure que les secondes s’égrainaient, un retour brutal sur la terre ferme. Pourtant, il savait qu’il ne devait pas s’emballer à ce propos, lui-même étant incapable de savoir ce qu’il désirait. Était-il prêt à former un couple ? La réponse d’un côté comme de l’autre le terrifiait, son cœur disait oui, alors que sa tête se raisonnait à dire non. Un duel qui faisait rage depuis qu’il avait vu sa question sur l’écran de son téléphone. Maintenant face à lui, il attendait, laissant l’eau serpenter sur sa peau. « Quoi ? » Cet ordre le déstabilisait, il devait bien l’admettre. Sa raison lui soufflait que ce fût normal, qu’il devrait retirer ces vêtements trempés avant de tomber malade, mais la fantaisie de son esprit voguait sur des désirs qui lui échappaient. Prenant le rebord de son t-shirt, il passait tout de même celui-ci par-dessus sa tête, laissant le tissu coller à sa peau si retirer avec lenteur, roulant pour y dévoiler cette musculature au repos mais bien présente tout de même. Il gardait le t-shirt mouillé entre ses mains, jouant avec celui-ci tout en regardant le châtain face à lui. Pourquoi se sentait-il rougir tout à coup ? Ce n’était pourtant pas une première, et malgré cela, il en avait la sensation. Comme s’il se dévoilait à lui, qu’il le laissait entrevoir une part de son être qu’il n’avait jamais montré. « Tu peux toujours courir, je cuisine pas les légumes, sauf sur le barbecue et encore. Je te donnerai les miens. » disait-il avec un léger sourire en coin. Les légumes c’étaient fades, sans goûts, ça n’avaient jamais eu grand intérêt pour lui. Le texan en cuisinait tout de même, mais en très petite quantité, jamais pour lui et surtout pas en salade. Il ne ferait tout de même pas la fine bouche, si on lui en faisait, il les mangerait plus par politesse que par envie, bien que les pommes de terre ça il acceptait volontiers. Tout avait bien commencé, jusqu’à cette tape sur son épaule et ce moment où Lugos l’avait enveloppé d’une serviette. Le cerveau de Seth jouait au yo-yo avec ses états d’âme, berçant un moment le désir d’y voir une tournure romantique, avant de le balancer tête première contre le sol pour qu’il s’y fracture le cou. En pleine chute libre lorsqu’il se retrouvait avec la serviette sur ses épaules et cette chaleur l’enveloppant, Seth en perdit le contrôle. Tétanisé à l’idée que tout cela ne soit que mascarade alors que le châtain devait avoir fait le choix de ne rien lui demandé, il prit peur. Ses sentiments gonflaient en lui, brisaient son être et sa raison revenait en force, alors que son cœur mourait entre ses mains. Il avait tenté de lui répondre, mais cette envie de lui demander pourquoi il ne faisait rien brûlait sa langue et l’empêchait de parler. Il se contentait d’hocher la tête, le regardant s’éloigner vers la cuisine alors qu’il parlait vers sa chambre. Deux chemins qui se séparaient, pourraient-ils retrouver celui qui les guiderait l’un vers l’autre ?

Dans sa chambre, Seth retirait tout ce qu’il avait enfilé, balançant ses vêtements dans un panier qu’il utilisait pour son linge sale. Nu, il s’essuyait cette fois avant de prendre des vêtements plus décontractés. Il avait tenté un style plus recherché, mais puis qu’il s’était mouillé, il trouvait inutile d’en faire des caisses. Aucun caleçon, simplement un jogging posé sur ses hanches, un peu trop bas sans doute puis qu’il dévoilait légèrement cette flèche vers le paradis accentuée par ce V bien découpé qu’il cachait par un t-shirt assez long pour couvrir cette peau alléchante. Seth prenait place finalement sur son lit, basculant sur le dos pour observer le plafond. Il n’avait pas la moindre idée de ce qu’il devait faire, de ce qu’on attendait de lui et de ce qu’il attendait de Lugos. Il aurait aimé en avoir une réponse claire et nette, mais la vie n’avait rien d’aussi facile à offrir. S’il désirait cet homme qui se trouvait dans la cuisine et ne pouvait l’avoir, il savait au moins une chose. Se relevant, il quittait sa chambre pour se diriger vers la cuisine. Arrivé, il trouvait Lugos occupé à cuisiner, lui faisant dos. Seth s’appuyait contre l’arche de l’entré, croisant les bras en observant le blond de dos qui semblait ignorer sa présence. Être ami, c’était un début, voilà ce qu’il s’était dit étendu sur son lit. Ils pourraient être amis, sans plus, justes amis. Une pensée qui mourait une fois de plus alors qu’il le regardait faire. Ses orbes lorgnaient les courbes de son corps, ce physique qui avait immédiatement attiré son regard. Seulement, en lui parlant il avait appris à connaître un homme bon et en vivant avec lui, il avait compris que jamais ils ne seraient amis. Pour la simple et bonne raison qu’il était tombé amoureux. Avançant vers le blond, il se plaçait dans son dos, regardant par-dessus son épaule ce qu’il faisait. « Tu as encore du mal. » disait-il doucement, en passant ses bras autour de lui, pour venir guider ses mains et lui montrer une fois de plus la méthode pour couper les légumes rapidement et avec aisance. Le bruit sur la planche qui résonnait à ses oreilles, ce parfum qui caressait son être, alors qu’il venait poser ses lèvres contre la nuque de son colocataire. « C’est ce que tu imaginais quand tu disais vouloir qu’on soit ensemble ? » demandait-il en continuant de l’aider à couper un second légume. « Pourquoi ne me demandes-tu pas ? Tu n’as plus envie de moi ? Qu’ai-je fait Lugos pour que tu changes d’avis ? » relâchant ses mains, il laissait ses doigts effleurer les bras du châtain, reculant assez pour laisser ce dernier se retourner s’il le désirait. – Ne me laisse pas tomber…


par zaja
Lugos Wolf
Lugos Wolf






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Surnom : Wolfie, une référence geek que ses amis aiment utiliser pour le comparer au loup qui apporte régulièrement son aide à un certain Mike dans le jeu vidéo Until Dawn. Mélange de gentillesse, de tendresse et de férocité, comme cet animal qui ne recule devant aucun danger et se bat pour ses convictions et ceux qu'il aime.
Âge : 31
Origines : Principalement américaines, des racines françaises du côté paternel et britanniques du côté maternel.
Occupation : Anciennement militaire déployé en Afghanistan (Capitaine, O-3 d'un escadron), éprouvé sur la durée par toutes les horreurs dont il a été témoin, parfois investigateur, sur le terrain au nom de la "paix". De retour au pays depuis janvier 2020 et Lieutenant de Police depuis (Detective Bureau).
Lieu de résidence : Brooklyn, un entre-deux intéressant d'un point de vue purement financier. Immeuble n°3 (appartement 18).
A New York depuis : toujours, malgré une interruption de plusieurs années au gré de ses missions partout à travers le monde.
Situation Amoureuse : Consacrée à une liberté qui permet de nager à vue, une relation longue qui n'a pas survécue à plusieurs années de déploiement en Afghanistan et un désir d'être surpris plutôt que de provoquer le destin.
Orientation sexuelle : Bisexuel assumé depuis toujours, il aurait pu être dangereux de s'affirmer à l'armée mais personne ne l'a jamais confronté à ce sujet-là.
Trigger Warning : Mort / Violence excessive / Injures / RP' hot

(Ce que je ne tolère pas en rp') : Cruauté animale, inceste, viol.

Lugos, un prénom celtique, inspiré par la mythologie qui l’accompagne. Une référence qui me va plutôt comme un gant. Lugos, ou, « Le Lumineux ». Une divinité spécialisée dans la communication, protecteur des arts. Je ne suis peut-être pas un artiste, mais j’ouvre grand mes yeux d’enfant devant le moindre morceau de bravoure cinématographique. ⌑ Les années quatre-vingt-dix, âge d’or musical aux yeux de plusieurs générations. Des classiques à ne plus savoir quoi en faire et un garçon qui vient au monde quelques minutes, à peine, après son frère. Des jumeaux (Neji Wolf) que tout opposera assez rapidement. ⌑ Une mère qui aime pudiquement, un père très absent, héros et bourreau à la fois. Une armoire à glace à l’éducation primitive, conservatrice diront certains. Un homme qui ne demande l’avis de personne et ne s’inquiète pas de blesser les autres. Un héros aux yeux d’une Nation tout entière, le Diable en chair et en os aux prunelles de ses enfants. ⌑ Un frère que j’ai toujours tenté de protéger en usant et abusant de mon aura de fils prodige. Moi qui, contrairement à Neji, me vouais au même chemin que mon paternel, à une carrière militaire qui ferait la fierté d’un père beaucoup trop sévère et violent. Combien de coups de ceinture, de remarques acerbes, de gifles… Tout le monde a perdu le compte, avec les années. ⌑ Bisexuel affirmé, une sexualité qui a toujours été assumée, et cela depuis mon plus jeune âge. Un premier baiser échangé avec une fille et une mauvaise impression qui m’a donné envie de faire mon coming out à treize ans, puis de me défaire de ma virginité l’année suivante avant une découverte tardive du sexe en compagnie féminine. Une préférence marquée pour les hommes malgré tout, au plus grand désespoir d’un père qui, dès lors, n’a eu de cesse d’assister impuissant à la dégringolade de son fils dans son estime. ⌑ À peine diplômé et déjà enrôlé (2010). Quelques années de formation, de petites missions à même la base militaire new-yorkaise puis l’obtention d’un premier grade (lieutenant) synonyme de premiers déploiements (2013). Un parcours initiatique dans les pas de mon propre père, lui-même envoyé en Irak en son temps (2014-2017). Un second grade (Capitaine) et l’accès à de nouvelles responsabilités. La formation d’une équipe à part entière, d’une famille embarquée en Afghanistan pour une mission sur le long terme. La violence d’un terrain sous-estimé, d’une réalité qui glace le sang et hante jusqu’au plus profond de tes rêves et un traumatisme, comme ultime coup de grâce, qui mène à une démission en mai 2019 avant rapatriement en janvier 2020. Lieutenant Détective depuis 2020, en conflit avec un père qui ne m’adresse plus du tout la parole et estime qu’une pédale dans mon genre n’aura de toute manière jamais assez de cran pour avancer dans la vie.

Célibataire, adepte des relations d’un soir, d’étreintes régulières qui n’engagent rien et n’entrainent pas le moindre problème. Ce n’est pourtant pas faute de rêver à une belle histoire, mais quelque chose semble toujours me retenir de franchir un tel pas. ⌑ Solaire, malgré une stature qui inspire la méfiance de prime abord. Je ne suis pourtant qu’optimisme et joie de vivre. Accroché à la vie au point où mes proches me taquinent souvent en sous-entendant que je sors tout droit d’un dessin animé utopiste. Mon monde, il est pourtant bien plus sombre que cela. Je préfère juste me concentrer sur la lumière afin d’éviter d’être emporté par une obscurité qui fait mal. ⌑ Sportif de haut niveau, entrainement militaire oblige, je continue à énormément m’entrainer à la salle de sport, le tout en combo avec plusieurs sports de combat qui enrichissent ma pratique professionnelle. Une petite dose de natation en supplément, lorsque la musculation me sort par les yeux. ⌑ Engagé, fervent défenseur de la cause LGBT+ au point de participer à l’ensemble des événements organisés dans les environs, qu’il s’agisse d’une Pride ou d’une manifestation plus sensible. J’apporte un soutien financier, bien-sûr, mais surtout humain à plusieurs associations qui apportent leur aide à des jeunes isolés à cause de leur sexualité. Un combat que j’ai également mené à mon échelle, que je continuerais toujours à mener contre mon père. ⌑ Gourmand, ne m’offrez pas de cookies au risque d’être récompensés par une demande en mariage. La nourriture est mon pêché mignon, j’irais même jusqu’à dire qu’il s’agit de mon talon d’Achille.

GREGOIRE (collègue)
chapitre 1 (en cours)
CLARK (psychologue / collègue)
chapitre 1 (en cours)
YURI (bénévole, allié dans l'urgence)
chapitre 1 (en cours)
DIEGO (ancien collègue, asset)
chapitre 1 (en cours)
SETH (suspect initial, match NYCMEET)
chapitre 2 (en cours)
chapitre 3 (en cours)
LESLIE (match NYCMEET)
chapitre 1 (en cours)
MACK (match NYCMEET)
chapitre 1 (en cours)
CHANI (blind date)
chapitre 1 (en cours)

TERMINÉS / ANNULÉS
MARLA (lien annulé Marla)
chapitre 1 (abandonné Marla)
LEITH (informateur)
chapitre 1 (abandonné Leith)
ALAN (politicien / allié)
chapitre 1 (en cours)
SETH (suspect initial, match NYCMEET)
chapitre 1 (sujet terminé)
When you’re constantly thinking of others and what they must be thinking or feeling or expecting, you wind up in this perpetual state of trying to please them. You see yourself through their eyes and you lose sight of who you are. Michael Soll
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(#) Mar 23 Mar - 20:39

if you asked me to / @Seth Hogan
Notre conversation continue de me revenir, de me tourner dans la tête sans jamais totalement s’estomper, même dans les moments les plus calmes. Ses mots, rédigés au détour de plusieurs SMS envoyés à la hâte, avec une maladresse relative à ce genre de format, trouvent un océan tout entier d’échos qui me donnent le vertige et m’empêchent de faire preuve de cet esprit critique, intellectuel et habituellement enclin à trancher favorablement, ou défavorablement, en réaction à ce que l’on est en droit d’attendre de moi. Tu aimerais être capable d’un tel réflexe, à peine arrivé, face à lui, mais tu te sens glisser comme une anguille qu’il serait difficile de saisir en plein vol. Tu te liquéfies, incapable de trouver comment faire sens, comment exprimer un ressenti que tes propres mots ne parviennent pas à illustrer. Tout, en toi, hurle à la contradiction. Ton désir contre tes angoisses, tes certitudes s’opposent violemment à tes incertitudes et les couleurs finissent par se mélanger pour ne plus laisser place qu’à un bordel flagrant, qu’il semble impossible de résoudre en un claquement de doigts. Les pièces d’un puzzle pourtant fluide et simple, de prime abord, se mélangent et m’arrachent à des idées qui ne parviennent plus à faire sens pour le moment et nécessitent que j’improvise, sur le tard. Tu es bon à cet exercice, habitué à arborer une parfaite neutralité d’expression au fil de tes interrogatoires. Tu sais très bien, au fond de toi, qu’agir ainsi face à Seth ne peut que te porter préjudice mais tu ne sais tout bonnement pas faire autrement. Tu reviens à tes mécanismes de survie, ceux qui ne risquent pas de te trahir. Son état m’interroge davantage et me permet de m’éloigner d’un fil de pensées qui fait mal. Je me concentre sur lui, sur ce corps qui ruisselle encore de gouttelettes d’eau et imbibe l’ensemble de ses vêtements. Il grelotte et cette image m’inspire un profond inconfort, un désaccord que je suis obligé d’affronter droit dans les yeux en lui offrant des alternatives nettement plus appréciables. Le tout, porté par une première injonction qu’il a bien du mal à comprendre sur le moment. « Déshabille-toi, avant de tomber malade ! » Comme pour en attester et l’encourager, je me penche au-dessus de lui afin de tirer sur la ceinture de son t-shirt que j’étire vers le haut pour guider le morceau de tissu humide et collant vers son menton, puis vers une chute délicate jusqu’au sol. « Lève les bras ! » Il m’accompagne dans ce processus et conserve le t-shirt entre ses doigts, comme s’il lui était nécessaire de s’accrocher à quelque chose pour ne pas sombrer, lui aussi. « Tu parles ! Tu mangeras tes légumes comme le grand garçon que tu es sinon… Sinon je peux t’assurer que tu resteras à table et que j’te donnerais la béquée s’il le faut ! Une bouchée après l’autre ! » D’humeur théâtrale, je me mets à mimer l’avion qui, symbolisé par une fourchette, s’envolerait à destination de ses lèvres, de pulpeuses délicates qui m’inspirent bien d’autres idées, au même titre que son torse dénudé. Tu le trouves magnifique, et pas uniquement parce qu’il est musclé comme un Dieu vivant. Sa beauté est supérieure à tout ce que tu as déjà connu par le passé à bien des niveaux. Je m’éloigne, tapote son épaule, attrape une serviette à la salle de bain, reviens jusqu’à lui et… Le néant. Plus rien, si ce n’est ma cuisine au centre de laquelle je m’évertue à tenter de me vider la tête pour ne pas penser au râteau qu’il vient de me mettre. Tes doutes, eux, ne veulent pas s’en aller. Ton cœur se serre dans ta poitrine sans que tu saches comment adresser une telle problématique. Tu détestes cela… Tu n’as JAMAIS connu une telle sensation de mal-être. Tu étouffes sans parvenir à trouver la moindre solution convenable. Tu te penches sur tes ingrédients et, l’espace d’un instant, tu parviens à suffisamment te concentrer pour maintenir un semblant de quiétude dans ton esprit. C’est de cela, dont tu as cruellement besoin ce soir.

Le couteau claque contre la planche en bois sur laquelle s’écrasent les légumes coupés en lamelles. J’avance, progresse à une allure convenable, même si complètement dépourvu d’une technique suffisamment précise pour atteindre les sommets de la petite gastronomie. Tu n’as pas le temps de t’intéresser davantage à la cuisine, malheureusement. Tu as passé les dix dernières années de ta vie à l’armée, à essentiellement te nourrir de provisions, de boites de converse… Tu n’as jamais appris à cuisiner, tu n’avais pas le temps pour cela et maintenant… Si tu maitrises les essentiels, tu es incapable de cuisiner sans l’aide apportée par Youtube et les nombreux tutoriels qui inondent la toile. Je frissonne lorsque je le sens se coller contre mon dos et glisser ses bras le long de ma taille. Ses doigts se referment contre les miens et guident mes mouvements, pressent le couteau afin de couper plus finement et rapidement les morceaux du poivron qui se trouve devant mes yeux. Tu as tout le mal du monde à te concentrer, alors que ton cœur bat la chamade pour cet homme que tu ressens là, à quelques millimètres à peine. Son souffle humide et brûlant s’engouffre contre ta nuque et menace de te rendre complètement chèvre. Tu souris, même s’il ne peut pas le voir et tu apprécies. « Tu avais promis de m’apprendre, j’attends toujours ! » Je réponds, provocateur, en redressant légèrement la tête pour pouvoir l’incliner et l’observer, lui adresser ce sourire qui s’éveille à son contact. Il ouvre la bouche à nouveau et ses mots me renversent, je ne les attendais pas… Je ne les espérais plus vraiment après la douche froide provoquée tout à l’heure. « C’est ce que j’imaginais… Oui ! Toi et moi, tous les deux ! » Je me sens complètement à poil, inquiet, en panique, à découvert et je déteste cela. Peut-être même encore plus qu’à l’époque de l’armée. Il continue et ses interrogations me tordent le cœur. « Tu n’as rien fait ! » Je renonce au couteau, que je laisse tomber à même le plan de travail, et me retourne pour pouvoir lui capturer les joues entre mes doigts malgré le jus des légumes qui accompagne la pulpe de mes phalanges. « Je pourrais le demander, je le ferais sans y réfléchir une seule seconde si je m’écoutais mais… » Parce qu’il y a un mais, comme d’habitude. Je laisse le silence me guider, ce temps-mort que j’utilise à bon escient pour lier le bout de mon nez au sien et caresser ce visage si parfait dessiné. « Je ne veux pas me précipiter. Je n’ai jamais fait tout cela… Tu sais… Tu serais le… Le premier et… Je ne veux pas faire les choses n’importe comment. Je préfère prendre le temps qu’il faut et ne rien regretter, jamais ! Je ne veux rien regretter avec toi ! »




par zaja
Seth Hogan
Seth Hogan






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Surnom : prénom déjà court, on l'interpelle surtout par son nom de famille, Hogan.
Âge : 32
Origines : américain, il est le fruit du sud du pays, sudiste dans l'âme. honte et acceptation se mélangeant pour donner vie à ce garçon un peu rustre.
Occupation : en poste dans un cabinet médical en tant que sexologue, mais travaille aussi comme vendeur à domicile de sextoy.
Lieu de résidence : son appartement détruit par le séisme, il squatte la chambre d'ami de Lugos.
A New York depuis : ses 23 ans.
Situation Amoureuse : célibatard ? il ne recherche rien de sérieux, profitant de sa jeunesse et surtout ce désir de ne pas refaire les mêmes erreurs que par le passé.
Orientation sexuelle : les étiquettes ce n'est pas pour lui, il ne possède pas de préférence simplement parce que tout le monde à droit à sa chance, alors pourquoi se priver de donner du plaisir ?
Trigger Warning : sexisme / homophobie / transphobie / pornographie / pratiques sexuelles variées (hard ou non) / problème sexuel / langage cru / rp hot cru

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RPS EN COURS
www. leslie #1
www. lugos #2
www. alicia #2
www. lugos #3
www. ezeckiel #1
www. alexis #1 (à venir)

RPS TERMINÉS/ABANDONNÉS
www. lugos #1 (terminé)
www. elvedin #1 (archivé par le staff)
www. yuri #1 (archivé par le staff)
www. alicia #1 (archivé par le staff)
www. suhee #1 (abandonné)

LIENS
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INFOS EN VRAC
Seth sait conduire depuis qu’il a dix ans, sur les terres de sa famille il avait tendance à prendre le pick-up pour aller dans les plaines. Il lui arrivait d’aller chercher les courses sans permis de conduire. Il n’a jamais eu de ticket pour excès de vitesse et pourtant, il en a fait que ce soit en voiture, skidoo, 4 roues… Il a tout essayé comme moyen de transport et avec les années il a obtenu des permis pour voiture, bateau, et il regarde pour prendre des cours d’aviation. Il n'est pourtant pas un grand fan des vélos, consommateur d'essence, il roulerait bien en voiture, mais dans la ville qu’est New York c’est un peu casse-tête. ›› Il avait cinq ans lorsqu’il a tenu sa première arme à feu en main. Très vite son père lui a montrer à s’en servir. Il aime s’adonner à la chasse, mais aussi la pêche. Il pratique quelques sports en nature et il n’est pas rare que durant l’été il parte quelques semaines pour aller camper, se coupant de la société, aucun téléphone, rien d’électronique, seulement lui et la nature. ›› Il fume comme une cheminé environ un paquet par jour minimum. Ça le calme, soi-disant. Il lui est arrivé de tenter d’arrêter, mais il ne fait qu’accumuler les échecs. Il peut fumer autant la cigarette que le cigare, mais il a arrêté la drogue depuis quelque temps maintenant. ›› Cordon bleu, il aime bien passer son temps libre derrière les fourneaux. Il dit toujours que ça lui libère l’esprit, que ça le détend. Il ne suit jamais de recette, laissant libre court à sa créativité que lui inspire l’instant présent. Il cuisine surtout du tex-mex, cette nourriture de chez lui. Il a même fait importer un fumoir du Texas pour avoir le meilleur selon lui. Seth est carnivore, il aime la viande rouge. Pour lui la laitue c’est fait pour les lapins. ›› Peu importe ce qu’il fait chez lui, il laisse toujours un fond sonore, de la musique country majoritairement, parfois, il demande à son assistant google de changer pour du rap ou tout autre style qui lui fait envie dans l’instant présent. ›› Complètement accro à la technologie, il suit celle-ci pour avoir la fine pointe. Il en abuse sans doute beaucoup trop. ›› Sa religion ; une bière pendant un match de la NFL avec des ailes de poulet. Il aime autant profiter de ce moment entre ami chez lui ou alors dans un bar sportif, ce support, cette camaraderie le ramène chez lui, dans ce bar du village où il allait parfois fêter les victoires des Texans. Si quelqu’un a le malheur de parler en mal du football, des hot-dogs, de la voix portante des américains pendant les matchs, cette personne regrettera vite ses propos. Loin d’être violent, il suffit à Seth de bomber le torse et de déplier son corps de toute sa hauteur pour que personne ne lui cherche des noises. ›› Habitué à bosser sur une ferme, il a toujours eu la forme, malgré tout l’alcool qu’il peut ingurgiter. Aujourd’hui, il ne soulève plus des balles de foin, il va donc dans une salle de gym trois fois semaine. Il y reste environs quatre heures, il n’y va pas avec le dos de la cuillère, mais si cuisiner lui libère l’esprit, s’entraîner le relax. ›› Il a visité des endroits comme Rangoun, Bangkok, Gênes, Bogota, Copenhague, Mumbai, Sao Paulo, Nicaragua, Sri Lanka, Séoul et bien d’autres encore. Avec tous ces voyages, il est devenu polyglotte, il ne parle pas toutes les langues à la perfection, mais il maitrise bien l’espagnol qu’il a appris au collège, l’allemand et l’italien, mais parfois ces langues sont difficiles à comprendre avec son accent Texan. ›› Lorsqu’il repasse ses chemises, il a tendance à chanter du Nikki Minaj et autant dire, les fesses à lui aussi se font aller ! ›› Il possède à son poignet la silhouette de Nessie, un tatouage qui date de son premier voyage en Écosse, lui et tous ses potes on le même. Sinon son plus vieux tatouage remonte à ses 15 ans, lorsque sa sœur pour rire a décidé de le tatouer. C’est un énorme papillon sur les reins qu’il a découvert après. Aussi ridicule que ce soit ça plait aux filles comme aux mecs. En parlant de bêtises qu’il a fait, il s’est fait percer la langue, aujourd’hui il l’a retiré, mais ce n’est pas le cas de son piercing au mamelon, à ses oreilles et celui sous la ceinture !
love me like the moon intended, all the way through the darkness
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Nombre de mots par RP : je m'adapte à mes partenaires, mais ça varie entre 200 et 3000
Fréquence de RP : quotidiennement.
Je suis plutôt : dark et chill.
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(#) Mer 24 Mar - 6:01

if you asked me to / @Lugos Wolf
Cœur au gouffre de l’abysse, esprit qui divague, alors que Seth posait son regard sur l’inspecteur. Paralysé. Incertain. Attendant que les mots viennent et le caresse, il fut vite désillusionné de ses propres espérances. Les mots qui ne venaient pas, évitant d’apaiser ses craintes et le laissant s’envelopper de ce qu’il avait toujours été. Ce garçon prêt à mettre de côté tout ce qu’il pouvait éprouver pour ne jamais souffrir. Si souvent il l’avait fait, de son propre chef comme cette façon de fuir sans même le réaliser. Une bataille qu’il ne cherchait pas cette fois, baissant les armes, prêt à capituler si ça pouvait pendant un instant apaiser son âme. Sans comprendre, Lugos s’insinuait en lui, marquait ses rêves, brouillait son jugement, il en devenait maladif à un point tel qu’il ne se reconnaissait plus. Seth le libertin, cet homme qu’on ne pouvait brider, sauvage destrier qui préférait sa liberté à tout le reste courbait la tête et se laissait tomber à genoux devant l’homme qui sans rien faire avait su capturer la bête. Apprivoiser sans même le tenter, docile et pourtant encore si fougueux. Il pourrait ruer dans les brancards, mais il n’en ferait rien, simplement parce qu’il n’en avait pas envie. Leurs prunelles se croisèrent, leurs mains s’effleurant alors qu’ils lui retiraient son t-shirt. Ne disant plus rien, le texan se sentait vulnérable devant ces orbes qui le détaillait. Bien des nuits avaient été marquées par son sommeil de ce regard enjôleur, des moments qui au matin s’estompaient dès qu’il ouvrait les yeux sur ce lit combler que de sa propre présence. Pourquoi l’avait-il autant dans la peau ? Il ne pouvait dire, c’était plus fort que lui, tout son être vibrait de ce sentiment qui lui faisait perdre la tête. « Tu peux toujours rêver papa ours ! » répliquait-il en lui adressant un sourire en coin, amusé et pourtant, curieux de le voir tenter une telle technique pour le faire manger ces légumes qu’il n’était pas prêt à engloutir. Cette bataille serait peine perdue, il le savait, carnivore jusqu’au bout des doigts, ne se laissant pas attendrir par la nourriture pour rongeur. Si cette atmosphère bon enfant lui donnait des ailes, l’envie de croire que tout viendrait à qui sait attendre, s’envolait en un instant. Les fragments de son cœur se fissurant, attendant le coup de grâce pour voler en éclat. Ce coup, il ne lui accordait toutefois pas, s’éloignant en brisant ces rêves qui s’insinuaient en lui pour le rendre plus désemparé qu’il ne le laissait le voir.

Tout se bousculait dans sa tête, la peur, l’inquiétude, cette manière de ne pas savoir vraiment comment arriver à trouver un terrain d’entente. Si le blond ne désirait plus de lui, Seth savait qu’il n’avait qu’à espérer qu’ils restent amis. Cette idée, il la faisait tourner en boucle dans sa tête. Elle parvenait à s’immiscer en lui, entrer par la force et la violence d’un esprit déterminé. C’est ce qu’il croyait, jusqu’à le voir là dans la cuisine à lui faire dos. Quand était-il tomber amoureux ? L’était-il réellement ? L’idée même de se dire qu’ils seraient amis, qu’ils ne seraient qu’amis lui lacérait le cœur et déchirait ses entrailles. Guidé par son seul désir d’être près de cet homme, il se glissait dans son dos, caressait ses flancs pour venir conduire ses mouvements. Cette approche leur offrant une intimité qu’ils n’avaient jamais eu jusqu’à présent. Ses lèvres s’étirant en l’écoutant, ses jades se posant sur ce regard à peine dévoiler qu’il croisait ainsi liés tous les deux. « Je te montrerai. » disait-il de cette voix chaleureuse, empli de sensation qu’il peinait à cet instant à camoufler. Il espérait pouvoir s’en dérober, cette étreinte qu’il avait lui-même créé, mais les barreaux de sa cage se refermaient autour de lui, pauvre homme amoureux qu’il devenait. Accepter sans rien dire lui était impossible, pas lui qui aimait savoir et ne mâchait pas ses mots. Seth reculait, s’attendant à se faire jeter sans plus. Il s’y préparait, laissant un rempart s’ériger autour de lui, avant de le voir se retourner. Son myocarde s’emballait dans sa poitrine, une chaleur l’enveloppant, alors qu’il rivait son regard dans celui de l’ancien militaire. Souffle coupé à ce contact sur ses joues, il interrompait sa respiration pour lui donner toute son attention. Le mais venait tout de même le frapper en pleine gueule, cependant, il n’en démontrait rien, continuant de regard l’homme en face de lui, ne démordant pas de ses mots. « Je… je comprends. » disait-il en posant ses mains sur ces larges compairs. « Il y a quelques années, j’ai eu une relation qui m’a intoxiqué et je me suis juré que plus jamais je me laisserais embarquer dans une relation de couple… Jusqu’à te connaître. J’ignore ce que tu m’as fait Lugos… » disait-il en serrant ses doigts contre ceux de l’homme, fermant les yeux pour cacher le miroir de son âme. « Je deviens fou alors que je te sais avec quelqu’un d’autre, mon cœur se déchire lorsque je me dis que c’est un autre que tu touche et pourtant, nous n’avons pas tant de contact intime. J’ai peur de ce que tu me fais ressentir, peur de souffrir encore une fois et malgré cela, je ne pourrais jamais être simplement ton ami… Ce n’est pas ce que je veux. » Il ouvrait ses yeux, le regardant cette fois avec la plus limpide des sincérités. « Mais je suis prêt à attendre, attendre que tu te sentes prêt pour qu’on fasse les choses biens. » Un sourire étirait ses lippes, des étincelles apparaissant dans son regard, alors qu’il posait son front contre celui du châtain. « Quand tu seras prêt, tu me proposeras un rencard… Je ne te laisserai pas faire n’importe quoi pour ta première relation. » Mais d’ici-là que seront-ils ? Ami ? Colocataire ? Amant ? Prétendant ? Une question dont Seth ignorait la réponse, craintif de la posée, bien qu’il n’en ressentît pas l’envie à cet instant, alors qu’il se perdait dans les azures de l’homme qu’il aime, l’espoir de partager peut-être un jour les mêmes sentiments.



par zaja
Lugos Wolf
Lugos Wolf






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Surnom : Wolfie, une référence geek que ses amis aiment utiliser pour le comparer au loup qui apporte régulièrement son aide à un certain Mike dans le jeu vidéo Until Dawn. Mélange de gentillesse, de tendresse et de férocité, comme cet animal qui ne recule devant aucun danger et se bat pour ses convictions et ceux qu'il aime.
Âge : 31
Origines : Principalement américaines, des racines françaises du côté paternel et britanniques du côté maternel.
Occupation : Anciennement militaire déployé en Afghanistan (Capitaine, O-3 d'un escadron), éprouvé sur la durée par toutes les horreurs dont il a été témoin, parfois investigateur, sur le terrain au nom de la "paix". De retour au pays depuis janvier 2020 et Lieutenant de Police depuis (Detective Bureau).
Lieu de résidence : Brooklyn, un entre-deux intéressant d'un point de vue purement financier. Immeuble n°3 (appartement 18).
A New York depuis : toujours, malgré une interruption de plusieurs années au gré de ses missions partout à travers le monde.
Situation Amoureuse : Consacrée à une liberté qui permet de nager à vue, une relation longue qui n'a pas survécue à plusieurs années de déploiement en Afghanistan et un désir d'être surpris plutôt que de provoquer le destin.
Orientation sexuelle : Bisexuel assumé depuis toujours, il aurait pu être dangereux de s'affirmer à l'armée mais personne ne l'a jamais confronté à ce sujet-là.
Trigger Warning : Mort / Violence excessive / Injures / RP' hot

(Ce que je ne tolère pas en rp') : Cruauté animale, inceste, viol.

Lugos, un prénom celtique, inspiré par la mythologie qui l’accompagne. Une référence qui me va plutôt comme un gant. Lugos, ou, « Le Lumineux ». Une divinité spécialisée dans la communication, protecteur des arts. Je ne suis peut-être pas un artiste, mais j’ouvre grand mes yeux d’enfant devant le moindre morceau de bravoure cinématographique. ⌑ Les années quatre-vingt-dix, âge d’or musical aux yeux de plusieurs générations. Des classiques à ne plus savoir quoi en faire et un garçon qui vient au monde quelques minutes, à peine, après son frère. Des jumeaux (Neji Wolf) que tout opposera assez rapidement. ⌑ Une mère qui aime pudiquement, un père très absent, héros et bourreau à la fois. Une armoire à glace à l’éducation primitive, conservatrice diront certains. Un homme qui ne demande l’avis de personne et ne s’inquiète pas de blesser les autres. Un héros aux yeux d’une Nation tout entière, le Diable en chair et en os aux prunelles de ses enfants. ⌑ Un frère que j’ai toujours tenté de protéger en usant et abusant de mon aura de fils prodige. Moi qui, contrairement à Neji, me vouais au même chemin que mon paternel, à une carrière militaire qui ferait la fierté d’un père beaucoup trop sévère et violent. Combien de coups de ceinture, de remarques acerbes, de gifles… Tout le monde a perdu le compte, avec les années. ⌑ Bisexuel affirmé, une sexualité qui a toujours été assumée, et cela depuis mon plus jeune âge. Un premier baiser échangé avec une fille et une mauvaise impression qui m’a donné envie de faire mon coming out à treize ans, puis de me défaire de ma virginité l’année suivante avant une découverte tardive du sexe en compagnie féminine. Une préférence marquée pour les hommes malgré tout, au plus grand désespoir d’un père qui, dès lors, n’a eu de cesse d’assister impuissant à la dégringolade de son fils dans son estime. ⌑ À peine diplômé et déjà enrôlé (2010). Quelques années de formation, de petites missions à même la base militaire new-yorkaise puis l’obtention d’un premier grade (lieutenant) synonyme de premiers déploiements (2013). Un parcours initiatique dans les pas de mon propre père, lui-même envoyé en Irak en son temps (2014-2017). Un second grade (Capitaine) et l’accès à de nouvelles responsabilités. La formation d’une équipe à part entière, d’une famille embarquée en Afghanistan pour une mission sur le long terme. La violence d’un terrain sous-estimé, d’une réalité qui glace le sang et hante jusqu’au plus profond de tes rêves et un traumatisme, comme ultime coup de grâce, qui mène à une démission en mai 2019 avant rapatriement en janvier 2020. Lieutenant Détective depuis 2020, en conflit avec un père qui ne m’adresse plus du tout la parole et estime qu’une pédale dans mon genre n’aura de toute manière jamais assez de cran pour avancer dans la vie.

Célibataire, adepte des relations d’un soir, d’étreintes régulières qui n’engagent rien et n’entrainent pas le moindre problème. Ce n’est pourtant pas faute de rêver à une belle histoire, mais quelque chose semble toujours me retenir de franchir un tel pas. ⌑ Solaire, malgré une stature qui inspire la méfiance de prime abord. Je ne suis pourtant qu’optimisme et joie de vivre. Accroché à la vie au point où mes proches me taquinent souvent en sous-entendant que je sors tout droit d’un dessin animé utopiste. Mon monde, il est pourtant bien plus sombre que cela. Je préfère juste me concentrer sur la lumière afin d’éviter d’être emporté par une obscurité qui fait mal. ⌑ Sportif de haut niveau, entrainement militaire oblige, je continue à énormément m’entrainer à la salle de sport, le tout en combo avec plusieurs sports de combat qui enrichissent ma pratique professionnelle. Une petite dose de natation en supplément, lorsque la musculation me sort par les yeux. ⌑ Engagé, fervent défenseur de la cause LGBT+ au point de participer à l’ensemble des événements organisés dans les environs, qu’il s’agisse d’une Pride ou d’une manifestation plus sensible. J’apporte un soutien financier, bien-sûr, mais surtout humain à plusieurs associations qui apportent leur aide à des jeunes isolés à cause de leur sexualité. Un combat que j’ai également mené à mon échelle, que je continuerais toujours à mener contre mon père. ⌑ Gourmand, ne m’offrez pas de cookies au risque d’être récompensés par une demande en mariage. La nourriture est mon pêché mignon, j’irais même jusqu’à dire qu’il s’agit de mon talon d’Achille.

GREGOIRE (collègue)
chapitre 1 (en cours)
CLARK (psychologue / collègue)
chapitre 1 (en cours)
YURI (bénévole, allié dans l'urgence)
chapitre 1 (en cours)
DIEGO (ancien collègue, asset)
chapitre 1 (en cours)
SETH (suspect initial, match NYCMEET)
chapitre 2 (en cours)
chapitre 3 (en cours)
LESLIE (match NYCMEET)
chapitre 1 (en cours)
MACK (match NYCMEET)
chapitre 1 (en cours)
CHANI (blind date)
chapitre 1 (en cours)

TERMINÉS / ANNULÉS
MARLA (lien annulé Marla)
chapitre 1 (abandonné Marla)
LEITH (informateur)
chapitre 1 (abandonné Leith)
ALAN (politicien / allié)
chapitre 1 (en cours)
SETH (suspect initial, match NYCMEET)
chapitre 1 (sujet terminé)
When you’re constantly thinking of others and what they must be thinking or feeling or expecting, you wind up in this perpetual state of trying to please them. You see yourself through their eyes and you lose sight of who you are. Michael Soll
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(#) Jeu 1 Avr - 19:05

if you asked me to / @Seth Hogan
Je lui retire ce t-shirt complètement trempé d’un geste vif et immensément doux à la fois. Soucieux de ne pas le blesser davantage sans même réaliser la douleur que je provoque sous la surface de mon comportement indécis. Je le libère de ce tissu humide, les yeux dans les yeux, le cœur aux abois. Quelque chose se produit. Je la ressens, cette électricité qui pétille le long de ma colonne vertébrale et euphorise la chose qui me sert de myocarde. Je dévore ce regard à la profondeur incroyable, chavire à le soutenir de la sorte, têtu comme une mule, à ne surtout pas vouloir baisser les yeux. C’est un peu comme lorsque je me trouve face à un criminel que j’interroge, en quête des réponses qui m’échappent au moment présent. Dévier le regard revient à admettre son infériorité, sa faiblesse ou ses doutes et moi, tout ce que je veux dans des instants comme ceux-là, c’est paraitre en pleine possession de mes moyens. Suffisamment en confiance pour bouleverser et accéder à ce qui me questionne véritablement, sous mes airs de ne pas y toucher. Tu n’hésites pas à cause de tes appréhensions, lorsque tu songes à ce que vous pourriez devenir. Si l’inverse se vérifie, tu ne te l’admets pas encore. Ce qui te pousse à agir avec prudence, c’est que tu n’as jamais été en couple avec personne. Tu n’as jamais connu toutes ces étapes sur lesquelles tu lorgnes discrètement depuis des semaines. Toi, tu es l’amant que tout le monde adore avoir dans son lit, sans prétention aucune, tu es le garçon que l’on pense immédiatement à appeler lorsqu’on a envie d’une baise torride, qualitative et régulière ou non. Tu es à l’aise avec cette manière de fonctionner, libéré des obligations, des crises de jalousie, de tout ce qui vient foutre la merde dans toutes les belles histoires dès qu’elles deviennent officielles. De jolies contes de fées, tu n’en as jamais vraiment eu sous les yeux, pas même tes parents. Tu as du mal à croire qu’il soit possible d’être heureux à deux, toute sa vie, avec un seul et même individu. Une erreur de jugement ? Tu n’as jamais eu preuve du contraire. Tu ne peux, cependant, pas t’empêcher d’écouter cette curiosité grandissante qui se distille dans ton esprit lorsque tu penses à lui. C’est bien simple, tu perds pied dès que tu l’imagines en compagnie d’un(e) autre que toi. N’est-ce pas un signe avant-coureur ? Tu préfères ne même pas y penser, tu as bien vu ce que cela donnait quelques heures en arrière. Un capharnaüm monumental sur lequel tu n’arrives plus à reprendre le contrôle, tu ne sais tout simplement pas quoi dire, encore moins quoi faire… Tu ne sais pas, car tu n’as jamais fait ni jamais éprouvé de telles choses. Tu démarres de zéro. « Sauf que tu oublies un détail ô combien essentiel. Mes rêves, j’ai plaisir à les concrétiser, tous, sans exception ! Tu sais ce que cela veut dire pour toi et tes légumes ? » Je reprends, assuré et provocateur à souhait, de ce petit regard espiègle qui fait toute ma beauté et tout le sel de cette proximité que je me refuse à briser sous-prétexte que… Que quoi ? Pourquoi devrais-je justifier cela ? Un geste maladroit et tout s’emballe. Je l’observe à travers ses jades avant même d’en réaliser la teneur. Il se dérobe, se dégage de ma présence et me laisse seul face à cette incompréhension qui me serre le cœur. Tu as fait quelque chose de mal, mais tu ne sais pas quoi. Tu crèves d’envie de te sentir coupable mais, à nouveau, tu ne sais pas vraiment de quoi tu te rends responsable.

Concentré face à un plan de travail qui déborde de produits, j’évolue rapidement, au risque de favoriser la vitesse à la précision. La cuisine, c’est tout nouveau pour moi, à croire que j’apprends tous les jours à compenser ce retard longuement accumulé pendant toutes ces années. Cet immense pan de ma vie où survivre et me tenir en alerte rimaient comme les seuls éléments de sens à placer derrière un quotidien qui était constamment sous tension. On apprend beaucoup, à l’armée. D’autant plus lorsqu’on sert de tampon comme ce fut le cas de mon bataillon en Afghanistan. On gagne en maturité, en sérénité tout en développant des compétences fantastiques autant qu’on se coupe d’un monde qui ne nous attend pas, continue d’évoluer avec ou sans nous et nous apparait dès lors complètement inaccessible quand on se décide à le réintégrer complètement. Tu as, aujourd’hui encore, parfois du mal à t’adapter. Tu serres le poing et tu donnes le change mais, au fond, tu sais qu’un long processus est encore à enclencher. Les séances de thérapie requises par tes supérieurs avant ton entrée en fonction au commissariat t’ont fait le plus grand bien mais n’ont jamais été proposées en nombre suffisant. Une bonne manière d’échapper à tes traumatismes ? Il se joint à moi, se glisse contre mon dos et son souffle chaud contre ma nuque me déconcentre. Ses doigts s’animent contre les miens et mènent chaque mouvement du couteau à l’encontre des légumes devant moi. Tu frissonnes, très rapidement tenté de maudire ce cœur qui n’en fait qu’à sa tête et tambourine au point de te faire perdre le sens de tes priorités du moment : lui concocter un bon petit plat. « Tu promets de m’apprendre ? » Je persiste, comme s’il s’agissait d’une bouteille que je lançais désespérément à la mer. Il y a cet aspect pédagogique, bien-sûr, car je déteste être mis face à mes imperfections… Mais la proposition est différente, elle gagne en ampleur pour qui sait comment l’interpréter. Je me retourne lorsque ses mots prennent l’ascendant sur tout le reste et font voler ce petit univers fictif en éclats. Il parle, moi aussi, et je me surprends à mettre des termes derrière ce rebond incessant que fait mon palpitant. J’en ai envie, je ne veux que cela et pourtant… Pourtant je ne fais rien comme il est en droit de l’attendre. Placer des mots, rendre tout ceci officiel est effrayant, je ne sais même pas si j’aimerais cela… Ma seule certitude, c’est qu’ainsi présent contre lui, l’idée d’obtenir un rencard tôt ou tard me parle et fait s’animer mon sourire en une moue pleinement satisfaite. Heureuse ? « Ça me plairait beaucoup, quand le moment sera venu ! » Je marque une pause pour réduire un peu plus encore cette distance de l’arête d’un nez qui cherche le sien et flirte avec ses lèvres. « En attendant… J’ai très envie que tu m’embrasses. Pas dans cinq minutes, ni même dans quelques instants… Je veux que tu m’embrasses maintenant ! Tout de suite, sans perdre une minute ! » Je l’ordonne comme s’il était un voyou que je mettais en joug. Pourtant il n’en est rien, il a les pleins pouvoirs et putain ce que ça me fait peur… Bordel ce que ça m’excite.


par zaja
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