codax delsius
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| Nom(s) : delsius Prénom(s): codax Âge : 29 ans Nationalité: américain Origine: anglo-américain Orientation sexuelle: bisexuel État civil: veuf depuis un peu plus d'un an Diplôme(s) / Emploi(s) : diplômé en commerce et en langues étrangères de Yale, aujourd'hui, il dirige sa propre entreprise d'informatique, tout en possédant des actions dans diverses autres éléments de la société. Statut financier: jeune riche. billet de loterie gagnant, le jackpot qui tombe. il a investi dans diverses entreprises fleurissantes, décuplant sa nouvelle fortune. le cul bordé de nouille. aujourd'hui, il vit avec plus qu'il n'a besoin.
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RÉSUMÉ RAPIDE ombre qui palpite dans les iris du brun, laissant apercevoir le chaos qui règne en lui. poésie morbide que sont ses traits séduisants, aux émotions faussées. il imite pour donner l’impression d’être normal, ou pire, banal. il ressent, mais ne sait pas exprimer ses propres émotions, ressentant celles-ci de façon si intense, qu’elles restent empiétées dans ses tripes. alors il manipule, donne ce que les autres veulent avoir. un jeune homme séduisant, souriant, gentleman, sombre et pourtant, dangereux. jeune riche, la perte de sa fille l’a énormément affecté, se prélassant dans les relations sans lendemain pour oublier ses peines. si il est mauvais? peut-être...peut-être pas...a vraie dire, il n’en sait trop rien.
ma noirceur (f/m) ils s’observent, chiens de faïences, âmes brutes bordées de ténèbres. ils se savent mutuellement détruit, par instinct. ils savent reconnaître les chutes, les coups, l’agonie. ils savent...et c’est ce qui les attire l’un envers l’autre, comme des aimants imperturbables, laissant une atmosphère chaotique s’enrouler autour de leurs chevilles, de leurs tripes. désir, curiosité, amusement. ils n’en savent rien, tates le terrain, comme des débutants malicieux qui veulent frapper un coup dans la fourmilière. mais ils vont se détruire, c’est une évidence. ils seront le poison de l’un, de l’autre, prompt à se tirer vers le bas, un sourire en coin...cachant la douleur.
mon soleil (f) sourire toujours pointé sur le bout des lèvres, rêveuse invétérée. c’est beau, c’est doux, c’est lumineux. il en a besoin, en quelque sorte. comme si les rayons de cette jeune femme pouvait le réchauffer, le faire changer. elle étouffe les ténèbres autour de lui, comme une caresse rassurante. il va s’y accrocher comme à une bouée de sauvetage, n’ayant pas l’habitude de regarder la lumière, mais davantage les ténèbres. il va trouver en elle une main tendue, qu’il ne va pas accepter tout de suite. il a peur. peur de l’empoisonner, d’éteindre le soleil qui brille en elle. il est la bête, elle est la belle..
ma chute (m). une nuit. une nuit là où il n'en avait jamais eu auparavant, aimant les hommes, sans pour autant céder aux tentations dévastatrices de la chaire. une nuit qui va recommencer, encore, puis encore, puis encore. et la jalousie dévorante, la dangerosité s'embrasera. l'un comme l'autre ne sont pas des tendre, vont tirer des balles perdues pour éliminer les êtres aux alentours. ils veulent se posséder, pour des raisons qu'ils ne parviennent pas à comprendre. conneries, égoïsme, imbécillité...ils seront monstrueux, ils seront beaux, mais ils seront aussi très stupides.
ma douceur (f/m) douceur que l'autre porte dans les veines, douceur qui manque à codax de façon évidente. ça l'intrigue, ce sentiment, cette qualité que porte l'autre sur son derme. le monstre va s'approcher, presque hypnotisé. lui qui a toujours manqué de douceur, d'attention, de tendresse...ça va faire remonter la douleur, cependant, il va accueillir celle-ci avec facilité, avec aisance, si c'est pour gouter, ne serais-ce qu'un peu, à cette foutue douceur.