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mon bloc note
the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
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(#) Ven 19 Juin - 17:15

EMBRASÉ PAR L'ÂME




La route n'a pas été longue, et pourtant, quelque chose vous a changé. Juste vous deux, en voiture, vous regardant l'un l'autre. Tu t'es retrouvé détendu comme tu ne l'as jamais été. Et une sensation de liberté t'a envahi alors que vous quittiez la foule de la ville New-yorkaise. Deux heures seulement, et vous êtes arrivés près des montagnes Catskill, un paysage incroyable et dépaysant. Rien ne vous a préparé à cela, juste vous deux face à la nature. Et en ce vendredi soir, votre premier instant dans ce contexte, tu ressens une émotion t'envahir : la paix. Lui et toi venez de monter les tentes, préparer les affaires comme elles doivent l'être. Tu sens le feu derrière toi brûlant, allumé depuis peu. Tu as cette impression d'être coupé du monde, celui qui rend fou et fait perdre pieds. Ta seule compagnie est cet amant si doux, si humain, si aimant à sa manière. Vous êtes finalement assis sur une épaisse couche de tissu, adossés à un enchainement de hautes pierres semblant avoir été déposées là. Les bois autour de vous apaisent, des hiboux s'échangeant quelques onomatopées bien senties. Tu glisses ta main dans la sienne, laissant tes doigts pénétrer les creux de celle-ci pour s'accrocher à elle. Vos deux mains ne font qu'une. De l'autre qui est libre, tu soulèves un morceau de brioche dans lequel tu croques avant de le présenter à la personne à tes côtés. Tu prends ? Ou tu veux garder pour après ? Je crève de faim, moi... finis-tu par avouer en gloussant de rire, tes yeux accrochés au sien. À cet instant, tout te semble simple, limpide et tu peux te l'avouer : tu es tout bonnement heureux.
(c) ekolta
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(#) Sam 20 Juin - 0:30
L'après-midi était vite arrivé, les sacs embarqués dans la voiture, le trajet qui avait passé sans que vous ne voyiez défiler les secondes. Ces plans d'évasion te trottaient dans la tête depuis quelques semaines déjà: quitter le périmètre de New York, ville qui ne dort jamais, avait quelque chose de rafraîchissant et libérateur. La fenêtre ouverte, l'effet du vent frais des montagnes fouettant ton visage, était exaltant. Et la présence d'Adrian était plus qu'agréable. Passer du temps avec lui était simple, sa présence te rassurait, te réchauffait, le coeur s'emballait, les sens en alerte, réveillés par l'esprit et le corps de cet homme qui était débarqué spontanément dans ta vie, comme un courant d'air frais, comme une bulle de bonheur. Tous les deux, loin de tout, ensemble. Les examens achevés, la vie continuait. Ou plutôt.. la vie commençait, pour lui. Et c'était un excellent moment de s'enfuir quelques jours.

Tout était installé depuis peu, et voilà que le calme, la plénitude, vous enveloppait. Tu étais serein. Le paysage qui se profilait devant vous à perte de vue était à couper le souffle et tu l'appréciais pleinement, alors que la main d'Adrian venait s'entremêler à la tienne, tout naturellement. La douceur du geste t'arracha un sourire. Interpellé par la voix d'Adrian, qui vient perturber le silence, tu tournes la tête vers lui, ce sourire ineffaçable collé au visage. Je n'ai pas encore d'appétit, ce sera peut-être pour plus tard.. Tu reposes ton regard sur les arbres à l'infini, sur le ciel bleu dont les nuages blancs dansent au loin, portés par le vent frais, mais pas désagréable sur la peau. Tu apprécies le moment, pleinement. Je suis content que tu aies pu et voulu m'accompagner. Tes doigts font pression sur les siens, tout aussi naturellement. Geste affectif, qu'il apprécie sûrement. Je pourrais rester devant ce paysage pendant des heures... pas toi?

@Adrian Deslauriers heaart
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(#) Sam 20 Juin - 5:01

EMBRASÉ PAR L'ÂME




Monsieur se refuse à satisfaire ses papilles gustatives et cela ne peut que te plaire. Tu croques une seconde bouchée avant de déposer ce qui reste de côté, sur des affaires à proximité. Sa tête se tourne et son sourire vient illuminer son faciès. Ce genre de sourire pour lesquelles n'importe qui serait prêt à se damner, un sourire qui t'emporte et te donne simplement envie de l'embrasser. Ses yeux se perdent ensuite sur le décor, et tous deux êtes en admiration devant ce changement de paysage. Quelque chose d'impressionnant, de si grand par rapport à vous s'impose comme une évidence. La nature reprend ses droits et vous deux, petits êtres, venez vous inscrire dans un court instant du cours de son évolution. Deux êtres réunis par plusieurs désirs dont celui d'être tous les deux, main dans la main. Littéralement. Je suis vraiment heureux de pouvoir partager ça avec toi, c'est... Si agréable... déclares-tu en le regardant, les yeux remplis de douceur. Il t'apaise comme personne d'autre ne peut le faire, et la pression de ses doigts sur les tiens vient enflammer ton bas ventre. On a pas d'exigences, je peux rester autant de temps que tu veux ici. Délicatement, tu poses ta tête sur son épaule, regarde la sienne tourner vers toi, toujours le sourire aux lèvres, et tu lui voles un doux baiser au passage. Les flammes devant vous ne font office que de décoration tant tu sens l'envie de te coller à lui monter. Une simple envie d'être proche de lui, toujours plus. Alors ta main quitte la sienne, glisse le long de son bras en remontant le sien et se fait une place derrière son cou alors que tu relèves la tête. Ton bras vient encercler ses cervicales, ta main reposant sur son épaule et tu sens sa taille se déposer contre ton épaule. Tu sens sa chevelure crépiter contre le tissu, et ta peau peut presque la sentir. Tes lèvres se penchent et déposent un baiser sur sa tempe, tout en délicatesse puis tu te redresses et de ton autre bras, tu lui saisis un bras, trifouillant avec ses doigts, fusionnant avec son épiderme. Et ça me fait plaisir de te voir aussi relax, aussi bien... Un court instant passe où les battements de son coeur se mêle aux tiens, et comme en unisson, ces derniers se jouent de vous, organisent une ballade qui te fait sourire comme un être mielleux. Comment tu te sens..? J'ai l'impression d'avoir encore tellement de choses à savoir sur mon teddy bear. La tendresse de tes mots accompagne l'intensité de ton regard que tu fixes sur son visage. Tu ne peux le quitter tant tu as envie de le posséder. Ses yeux, sa bouche, son corps, son âme. Tout en lui t'électrifie et tout en lui t'inspire. Il est la douce mélodie que tu ne pensais jamais entendre, celle jouée dans tes fantasmes.
(c) ekolta
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(#) Dim 21 Juin - 20:29
Tu ne crois pas t'être senti si bien depuis... trop longtemps. Une éternité. L'année dernière avait été rough, une année remplie de déceptions et d'obstacles, de peine et de souffrances, de nouveauté et d'histoires terminées. Ce sont plus de quatorze mois qui se sont écoulés depuis que tu as déposé tes valises à New York, dans l'espoir de bâtir un avenir. Le tien, dénué de cris et de larmes, de trahisons et d'échecs. Les rêves ne sont parfois qu'illusions, et les espoirs, vains. Aussi ridicule cela puisse-t-il sembler, ce weekend était une opportunité pour toi de souffler, de te libérer des démons qui t'accablent, de ces boulets que traînent péniblement tes pieds depuis trop longtemps maintenant, alourdis par la charge. Nouvelle ville, nouveau boulot, nouvelles rencontres, New York t'avait d'abord inspiré l'avenir et les possibilités, avant que son voile sombre ne se referme sur toi, t'entraînant dans une chute interminable, dont la pente, abrupte, annonçait un atterrissage douloureux, fatal. Pour la première fois depuis des mois, tu te sentais épanoui. Loin du brouhaha et des dramas, loin des souvenirs. Le paysage était à couper le souffle, si bien que son apparence dénuée de tous défauts te transportait ailleurs, en quête de ces rêves autrefois abandonnés, laissés au détour du chemin du désespoir. Restons ici jusqu'à la fin des temps, réponds-tu avec humour, mais l'envie est bien présente. Celle d'être loin de la réalité, de t'échapper de ce train de vie trop rapide, qui te happe et t'emporte violemment, te heurtant au passage, t'arrachant chaque fois un peu plus une parcelle de ton âme, de ton coeur.

Le moment est doux, agréable. Guère besoin de parler pour échanger, les regards suffisent pour communiquer. Les gestes sont délicats, il n'y a que vous deux. Seuls être dans ce décor de rêve, à profiter d'une ambiance toute aussi rêvée, enivrante. Loin des regards curieux, loin des attentes, loin des déceptions, loin du train de vie rapide, du rythme effréné de la ville. Si dans un autre contexte, le silence aurait pu être lourd, ici, il était paisible. Le crépitement du feu, la luminosité du décor qui baissait lentement, les couleurs qui ne tarderaient pas à parsemer le ciel, derrière les nuages qui feraient place aux étoiles, plus tard. C'était parfait. Doux. Les lèvres qui s'unissent brièvement, les caresses qui se font ressentir sur l'épiderme, les poils qui s'hérissent comme à chaque contact. Il se sent déjà faiblir à son toucher, entre ses doigts. Vos doigts entremêlés l'empêche de s'éloigner de toi, tu le retiens avec une douce pression. Ton bien-être semble émaner de ta personne, puisqu'Adrian te le fait remarquer. J'crois pas que je me suis senti aussi bien depuis... depuis plus d'un an. Le paysage y était pour quelque chose, la compagnie aussi. C'est à ton tour d'initier un contact. Tes doigts s'échappent des siens à contre-coeur, mais retrouvent vite la chaleur de son épiderme, alors qu'ils se glissent sur la cuisse, mouvements réguliers et lents sur la peau, alors que ton visage pivote en sa direction, pour lui voler un baiser à ton tour. Restez ici éternellement, qui d'vous deux avait besoin de retourner à New York?

@Adrian Deslauriers

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(#) Dim 21 Juin - 23:42

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Quelques mots glissés avec plaisanterie ont raison de ton sourire. Tu ne peux le nier, tu partages également son désir. Jamais s'isoler ne fut aussi agréable que maintenant. Un rien fait plaisir, tout est agréable. Toi, habitué au bruit, à la foule et aux rires. Tu te retrouves ici avec le silence, la douceur et son sourire. Tu peux tout quitter et rester vivre ici, vous seriez si biens. Plus de pression, plus d'attente, juste vous deux comme deux animaux, à s'unir chaque soir et profiter chaque journée. En toute simplicité, tu te sens fondre. Ses doigts quittent ta main, glisse sur ta cuisse pour quelques caresses si tendres. Tes poils se tendent, et tu souris avec cet air de gêne car tes joues semblent soudainement chaudes. Ton coeur bat comme il bat rarement, sa présence t'apaise et te déroute à la fois. Ça me fait plaisir que tu te sentes comme ça... Tu es encore plus beau quand tu es dans cet état. Ses lèvres s'accrochent aux tiennes l'espace d'un instant, et tu en désires bien plus. Appuyant ta force sur ton bras autour de son cou, tu rapproches sa tête de la tienne, un léger sourire en coin. Ton autre main vole doucement près de son faciès, se pose sur sa joue. Vos deux pairs de yeux se font face, et tu sens une volonté de mourir chaque soir si c'est pour te réveiller chaque jour pour les admirer. Pour lui. Avec nonchalance, tu penches ta tête, déposes tes lèvres sur les siennes en toute finesse. Dans une mouvance poétique, vos lunes s'enlacent encore et encore, tes yeux se fermant en goûtant à cette chaleur. Les doigts glissent sur sa mâchoire et se cale en son angle. Et avant de quitter totalement sa bouche, tu agrippes animalement sa lèvre inférieure, les yeux dans les siens, un regard tel un chien ayant son jouet en bouche. Tu tires délicatement dessus avant de la pétrir du bout de tes lèvres et de relâcher. Je pourrai faire cela tout le temps, tu sais ? Le sourire écrasant ton visage, le sien s'illuminant, tes mains et les siennes se tordent sur vos corps respectifs, la tension monte. Et le feu devant vous se meurt à mesure que le celui en vous grandit. Et la passion prend le pouvoir.

Dimanche soir, le dernier soir.

À ses côtés, tu ouvres les yeux. Vos carcasses nues, se réchauffant l'une contre l'autre. Votre dernier instant enfermés dans une fausse cage. Une fin d'après-midi à simplement se reposer dans votre tente après un début à marcher, découvrir, s'aventurer. Quelques heures vous séparent du départ. Du coin de l'oeil, tu le regardes. Un enfant au corps d'adulte, aussi beau que bon. Une lumière comme personne sur cette terre irradie. Et pour lui, tu es prêt à des compromis. Un Deslauriers qui se laisse attendrir, un second soldat tombé au combat de l'émotionnel. Tu ne perds cependant pas toutes tes barrières. Il y a tant de choses que tu peux lui dire, tant de choses à comprendre sur toi. La première demeure celle qui te trotte en tête autant qu'en coeur. Doucement, tu déposes un baiser sur son bras, puis un second, puis un énième en attendant de voir ses paupières se rouvrir.
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(#) Lun 22 Juin - 3:16
Tu t'extirpes doucement des bras de Morphée. Engourdi par le sommeil, l'horloge biologique déréglée par l'absence de temps et par le contexte dépaysant. Tels des animaux sauvages en liberté, vous dormez quand vous voulez, mangez quand vous avez faim, vous promenez lorsque le coeur vous en dit et vous dansez à l'unisson de ces corps attentifs et insatiables, comme s'il n'y avait pas de lendemain. Une sieste d'après-midi après une journée d'exploration. Les derniers moments partagés dans cet environnement paradisiaque, s'annoncent. C'en est presque irréel, tant l'effet que ce périple aux côtés d'Adrian a sur toi est libérateur. Couché sur le ventre, tu expies l'air de tes poumons au réveil, le corps libéré de toutes les tensions accumulées par les derniers mois, les dernières semaines. Un premier frisson te traverse le corps au même moment, malgré la chaleur du soleil qui s'abat sur toi, à travers la toile de la tente. Enveloppé dans les brumes du sommeil, il te faut quelques secondes pour réaliser que les frissons sont une réaction physique directe à ces lèvres qui parsèment l'épiderme de ton bras. Les yeux s'ouvrent difficilement, se posent sur la silhouette tout aussi nue que la tienne à tes côtés, et ce visage qui se rapproche du tien, escaladant le bras, peut-être dans le but de te réveiller, ou non? Good morning, darlin', murmures-tu, la voix enrouée par le sommeil, bien que celui-ci ne soit guère matinal, comme tu le prétends. Réveillé depuis longtemps.. ? Jambe qui s'active à son tour, s'étire et vient s'enrouler sur celle d'Adrian, remontant et descendant, le pied qui glisse et chatouille l'épiderme, les chevilles qui se rencontrent.

@Adrian Deslauriers
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(#) Lun 22 Juin - 3:51

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La chaleur se fait ressentir sur vos corps, provenant de ce soleil-même qui finit par te réveiller malgré tout. De baisers en baisers sur la peau de son bras, tu entends la respiration de ton acolyte changer, se mouvoir et posant ton regard sur son visage, tu discernes les deux pierres de mer incrustées sur sa bouille se poser sur la tienne. La voix s'élève peu et elle est granuleuse, comme après un réveil. Quelques mots se distingues qui te font sourire et toi, souriant comme une étoile, ravivée par sa douceur, tu lui souffles doucement dessus comme pour le taquiner. Good afternoon, babe. De nouveau surnom en nouveau surnom, de petites attentions et changements presque imperceptibles qui font valser ton coeur comme jamais auparavant. Réveillé depuis quelques minutes et toi bien dormi ? J'ai eu le temps d'ouvrir mes yeux et de te regarder dormir comme un bébé un instant plaisantes-tu alors que tes lèvres se posent sur les siennes. Aucune précipitation, tu le fais délicatement comme si tu caressais les pétales d'une fleur du bout de tes doigts. Sa jambe se mêle à la tienne, son pied chatouillant celle-ci, et les poils se dressent de toute part. Lentement tu glisses contre lui, entourant sa jambes des tiennes, l'emprisonnant comme une souris dans un piège. Ta tête quitte la sienne, le pousse à soulever son bras pour te réfugier contre son torse. Brièvement, tu humes son odeur, chatouille son thorax du bout de ton nez avant d'embrasser la peau face à toi. Tes cheveux tombent sur son torse aussi, et tu le sens raidir. Tu ne peux pas dire si ce sont tes baisers qui le stimulent ou tes cheveux qui chatouillent son épiderme. Une chose est certaine, il semble remercier mère nature de lui apporter pareil réveil. Alors tu baises le bas de ses épaules puis te perds dans son cou avant de redresser la tête pour faire face à son oreille. Ça va être dur de bouger, pas vrai..? lui murmures-tu dans un élan de flemmardise. Un court instant, tu reviens sur son cou et le chatouille de ta bouche, puis plante gentiment tes crocs dans son épaule, t'amuses à la titiller. Quelques élans animals à s'amuser avec l'impulsivité d'un enfant. Reposant ta tête contre le sol, faisant face à la sienne, tes jambes s'articulant autour de la sienne pour la libérer et simplement fusionner les vôtres. Tu ne le quittes pas des yeux, le moindre traits de son visage. Lui et son aura angélique, lui et cette beauté qui émane de chacun de ses ports. Lui au coeur tendre et au corps dur. Quel weekend... J'ai jamais fait ça de toute ma vie. Si je pouvais juste suspendre le temps, je le ferai, crois-moi. Ta voix est posée, calme mais colorée. Un voile s'est levé depuis que tu le connais et, à son rythme, t'a laissé entrevoir le monde sous différentes couleurs. Les yeux qui décortiquent ses formes, les corps qui s'effritent l'un contre l'autre, les souffles qui s'harmonisent. Quelques tendresses de lui et tu abandonnes le jeu des masques. Plus avec lui, pas avec lui. Plus jamais.
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(#) Ven 26 Juin - 4:43
Fais-moi la tendresse, l'amour sans chagrin, des mots sans promesses. Déjà, le réveil tardif qui se fait prometteur, les gestes doux, les corps qui s'entremêlent et les souffles qui se mêlent. Promesses d'avenir éphémères, contradiction subtile dont la menace qui s'installe à tâtons ne se fait pas encore envahissante. C'est son visage qui t'apparaît en ouvrant les yeux, image enveloppante, celle d'un bonheur qui s'installe et chatouille ton estomac, dont la boule qui y réside depuis plusieurs mois, se démêle peu à peu de ses nœuds, et t'apporte enfin réconfort et soulagement. Respirer, tu en retrouves le plaisir. Tableau paradisiaque, celle d'une perfection, d'un idéal. Lèvres qui s'unissent dans une danse brève, mais enivrante. C'est charmant ou pas, un ours qui dort? La bave qui dégouline, les ronflements bestiaux.. C'est ce dont t'as besoin, Warren. Les rires et la tendresse. La proximité et les caresses, la chaleur humaine. La froideur, l'absence d'émotions, l'aspect mécanique de la chose, de ce qui devrait être considéré avant tout comme un partage, c'est pas pour toi. Habilement, il t'emprisonne, s'enroule comme un serpent autour de sa proie, se sert de toi pour éveiller tes sens, entièrement à sa merci, au bon soin de ses lèvres, de sens dents, et de ses mains. Affamé. Il est affamé de toi, et réveille rapidement ton appétit, ta faim de lui. Une chaleur t'envahit, c'est le corps qui réagit bien au même rythme que la tête. Tu ne t'entends plus penser. Tu brûles. Les poils se hérissent sur ta peau, la transpercent comme de véritables petites aiguilles. Délicieuse douleur. Ronronnement de bonheur, de bien-être, mélangé à quelques soupirs d'aise. Le chat, petite bestiole poilue qui demande quelques caresses supplémentaires. Tu resterais là la vie entière. Et Adrian vient rejoindre tes pensées immédiate, ton désir de prolonger ce moment éternellement, jusqu'à ce que tout s'éteigne, que vous ne fassiez plus qu'un. On reviendra, dis? J'te le répète, mais.. j'me sens tellement léger. Main qui glisse naturellement sur le bras, qui escalade vers le bas et se laisse retomber sur la hanche pour le tirer à toi, et sentir pleinement son corps nu contre le tien. Cette même main qui n'en a pas fini d'explorer, bifurque vers le dos, longe lentement la colonne vertébrale en remontant, jusqu'à atteindre la nuque, sur laquelle tes doigts se perdent pour agripper les cheveux, s'y mêler, l'attirer à toi, même si la distance qui sépare vos visages est minime. Tes lèvres capturent les siennes, avec entrain, avec une fougue passionnée, et tu l'embrasses, encore une fois, comme s'il n'y avait pas de lendemain.

@Adrian Deslauriers
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(#) Dim 28 Juin - 3:58
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(#) Mar 7 Juil - 23:47
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