AccueilAccueil  CalendrierCalendrier  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  Les personnagesLes personnages  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
mon bloc note
the end
La grande pomme ne dort jamais. Alors que tous pensaient que le calme reviendrait sur la ville et que les gens se préparent au festival à venir, c'est une série vols qui font progressivement la une des journaux locaux. Nul n'a encore réussi a appréhender les auteurs de ces délits ou définir leurs cibles de prédilection. Faites bien attention à vous.
(c) Disjointed Societies 2021
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €


Disjointed Societies
Disjointed Societies






https://www.disjointedsocieties.com https://www.disjointedsocieties.com https://www.disjointedsocieties.com https://www.disjointedsocieties.com https://www.disjointedsocieties.com
Surnom : DS
Âge : 60
Origines : Le cerveau de plusieurs personnes.
Occupation : Vous amuser.
Lieu de résidence : Partout et nulle part à la fois.
A New York depuis : Le 5 janvier 2019.
Situation Amoureuse : En couple avec vous tous.
Orientation sexuelle : Polysexuel ?
Trigger Warning : Exemples de TW : suicide / mort / viol / violence excessive / maladies mentales / pédophilie / racisme / homophobie / transphobie / cruauté animale / inceste / enlèvement / grossesse / fausse couche / avortement / Pornographie / RP hot cru / Addictions / automutilation / bodyshaming / discrimination / (trans-)misogynie / religiophobie / classisme...

Une question ?
Hanseol
Bae |Laura
tips/ Utilise le hashtag #staff quand tu souhaites
attirer notre attention sur une zone hors-gestion.
La société fait les lois suivant ses instincts, et les viole suivant ses besoins.
COHÉRENCE DES BLESSURES ET TROUBLES PSY EN RP * C8YVj9xo_o
  • Aucune association
COHÉRENCE DES BLESSURES ET TROUBLES PSY EN RP * 2StvcuH6_o
RPs : 0
Pseudo : Je n'en ai pas. Juste DS.
Pronom : NC.
Messages : 5578
Faceclaim : Au gré des humeurs et des versions, je change.
Crédits : Cela varie, toujours une personne du staff.
Inscription : 06/10/2018
Multicomptes : Tous les PNJs.
Nombre de mots par RP : Beaucoup, des sujets admins parfois bien trop longs.
Fréquence de RP : Je vous en poste souvent, quand même.
Je suis plutôt : dark et chill.
Non-Joueur
COHÉRENCE DES BLESSURES ET TROUBLES PSY EN RP * DbtPdFil_o
01
ingame
02 zone libre
03
hors-jeu
Citoyen de NYC ✧
(#) Ven 1 Mai - 2:16
BLESSURES & TROUBLES PSY

savoir tout sur tout

Qui dit forum avec de la criminalité et de la violence dit bobos occasionnels, cela va de soit, n'est-ce pas ?
Il est donc normal que parfois, votre personnage se retrouve dans des situations où s'en sortir indemne est impossible.
Avant d’infliger une blessure ou développer une maladie mentale à votre personnage, il est important que vous vous renseigniez bien au préalable. En effet, certaines blessures physiques ou psychologiques peuvent être vraiment contraignantes pour votre personnage. De ce fait, vous allez devoir prendre plusieurs facteurs en compte :

  • La cohérence. On ne le répètera jamais assez, mais par exemple vous ne pouvez pas prendre une balle dans la jambe et remarcher le lendemain.  Il faut prendre en compte la convalescence ainsi que les frais médicaux que cela peut engendrer.
  • Pour une maladie mentale, il faut vraiment prendre en considération les limites que cela peut donner à votre personnage. Ex : Un kleptomane, volera souvent pour ressentir l’adrénaline et non pour éviter de payer en magasin.

NOTA BENE : Le staff de DS n'est pas diplômé en psychologie ou en médecine. Aussi, si quelqu'un maîtrise mieux le sujet (avec des preuves qui ne sont pas issues de la culture cinématographique), cette personne peut maitriser.


Blessures
Troubles psychologiques


Entorse
Descriptif : Que ce soit du poignet, genou ou cheville, une entorse peut être bénigne mais empirer si elle est mal soignée. Votre personnage se retrouve donc avec une attelle et s'il ne respecte pas les consignes de sécurité et aggrave son cas, peut même terminer en plâtre. Les mouvements du membre blessé sont limités au possible et bloqués.

Temps de convalescence : De 15 jours (bénignes) à 6 semaines (grave)


Contusions / Hématomes
Descriptif : Si cela n'empêche pas l'utilisation du membre blessé, le contact reste douloureux et la blessure est parfaitement visible. Passant par plusieurs couleurs jusqu'à disparaître complètement, la zone est souvent enflée et douloureuse, accompagnée parfois des blessures internes plus graves.

Temps de guérison : 1 semaine à 4 semaines.


Fractures / Os cassés
Descriptif : Blessure trop souvent prise à la légère IRP, selon l'os cassé le temps de convalescence est différent et la guérison totale s'étale sur des mois entiers car l'os fragilisé, même si votre personnage peut se mouvoir, reste susceptible d'être cassé plus facilement. Ne sous-estimez pas le temps de consolidation.

Temps de convalescence : Différent selon les os, nous vous invitons à consulter ces deux images : Haut du corps / Bas du corps. Les images sont tirées de cette page web : crédits. Le temps de récupération est en moyenne de 3 mois.


Blessure par tranchant (légère)
Descriptif : S'il s'agit d'une éraflure, d'un coup de couteau perdu qui ne fait que trancher en surface, alors la plaie sera douloureuse, nécessitera des points de sutures mais les mouvements n'en seront pas affectés (selon l'endroit évidemment).

Temps de convalescence : Le temps de cicatrisation dépend de la profondeur et de la surface de la blessure : entre 2 semaines et 5 semaines, mais cela est sans compter le temps de cicatrisation total. Une marque restera visible, possiblement à vie si la plaie n'est pas bien soignée.


Blessure par tranchant (grave)
Descriptif : Un coup de couteau n’est pas anodin. Selon l'endroit visé, la conséquence n'est pas du tout la même. Tout l'abdomen est une zone particulièrement sensible pouvant mener à des hémorragies internes et nécessiter une intervention chirurgicale afin de nettoyer les organes si jamais la blessure est trop profonde. Lorsqu'un muscle est touché, celui-ci doit se reconstruire en interne, retrouver sa motricité et son élasticité. La perte de sang conséquente est le facteur le plus dangereux qui aura un impact sévère sur votre personnage.

Temps de convalescence : Immobilité d’au moins 3 jours, déplacements limités et fébrilité entre 2 et 5 semaines, reprise d'activités physiques après 3 mois de manière progressive. Les chances de faire totalement disparaître la cicatrice sont faibles. Bandages refaits tous les 2 jours, risque d'infection à maîtriser car élevé. Motricité réduite et grande fatigue physiquement pendant 1 mois.


Blessure par balle (sortie)
Descriptif : Mortelle dans le pire des cas et handicapante dans le meilleurs des cas. Le traumatisme corporel est tel que même si la zone touchée n'est pas mortelle, le temps de convalescence est très élevé. Ce qui entraine de lourdes conséquences pour votre personnage.  Lésions musculaires suivies d'un long travail de rééducation pour récupérer de la motricité. Cela peut également entraîner une lésion nerveuse pouvant causer la perte d'usage du membre ou amputation.

Temps de convalescence : Minimum 5 jours alités, 4 semaines d'handicap moteur, médication, et rééducation progressive à partir de 4 semaines jusqu'à 2 mois minimum. Bandages refaits tous les 2 jours, risque d'infection à maîtriser car élevé. Motricité réduite et grande fatigue physique pendant 1 mois.


Blessure par balle (logée)
Descriptif : Les informations sont plus ou moins similaires que la blessure de la balle sortie (ci dessus). Sauf que l'énergie cinétique de cette dernière rend le traumatisme plus diffus et elle peut intoxiquer la blessure et donc l'organisme. Une opération  est très souvent nécessaire et une telle blessure non soignée peut causer la mort.

Temps de convalescence : Comme ci-dessus, sauf si l'opération chirurgicale est très lourde. Nous vous invitons à vraiment faire des recherches pour ces cas précis mais approximativement, l'hospitalisation dure au minimum 7 jours avec visites régulières durant les 3 premières semaines. Bandages refaits tous les 2 jours, risque d'infection à maîtriser car élevé. Motricité réduite et grande fatigue physique pendant 1 mois.


Coma
Descriptif : Lorsqu'on se réveille d'un coma, il en résulte souvent des séquelles psychologiques, physiques, ou intellectuelles. Qu'il s'agisse de perte de mémoire, de motricité, de connaissances, de capacités intellectuelles, la récupération et rééducation du cerveau peut prendre des années et parfois ne jamais complètement guérir. Les troubles cognitifs sont souvent les premières complications, difficulté de concentration, de mémorisation et une mauvaise gestion d’humeur. Plus le coma perdure, plus le travail est de longue haleine. Peut causer un changement de personnalité.

Temps de convalescence : Long check-up pluridisciplinaire étalé sur minimum 2 semaines. Pour les plus longs et grave, la rééducation peut durer jusqu'à plus d'un an, parfois à vie. Psychologue, neuropsychologue, ergothérapeute, orthophoniste, kinésithérapeute, la liste des professionnels impliqués est longue.


Traumatismes crâniens
Descriptif : Les traumatismes crâniens ne sont pas si rares mais le fossé entre un simple choc et un traumatisme grave est immense. Les cas graves peuvent provoquer des lésions au cerveau, un œdème ou une hémorragie cérébrale ; le premier risque dans ce cas est la mort par asphyxie du cerveau. Aussi, un mouvement trop brusque de la tête peut entraîner un choc et causer une perte de connaissance brève et des lésions neuronales. Les conséquences peuvent rejoindre celles du coma (voir ci-dessus).

Temps de convalescence : Check-up de 1 semaine minimum pour les traumatismes légers/moyens. Pour graves, cela peut aller jusqu'à plus d'un an, parfois à vie. Psychologue, neuropsychologue, ergothérapeute, orthophoniste, kinésithérapeute, la liste des professionnels impliqués est longue.

Bipolarité
Descriptif : Le trouble bipolaire alterne deux phases. On a la phase maniaque ou hypomaniaque (manie: obsession pour une idée // hypomanie: contraire de la manie) qui est un moment d'euphorie, d'hyperactivité. On a également la phase dépressive qui est un moment de tristesse, culpabilité avec une mauvaise estime de soi et un manque de confiance qui pourrait amener la personne à vouloir mettre fin à ses jours. La personne peut passer d'un moment à l'autre dans l'une des deux phases émotionnels. Elle peut être en stress constant, être poussée à l'isolement et à l'envie de constamment dormir durant sa période de dépression. Tandis que durant sa phase maniaque/hypomaniaque, la personne va  vouloir rencontrer le plus de monde possible. C'est dans cette première phase que la personne peut se sentir puissante et plus irritable (elle n'aime pas être contredite et s'en fiche de l'opinion des autres). Elle peut en venir aux mains, être insomniaque.

Comment contracte-t-on ce trouble ? : génétique et/ou héréditaire, il se manifeste à l'adolescence et peut, s'il ne se déclenche pas, apparaître plus tard à la suite d'un choc émotionnel.

À savoir : Ces personnes étant atteintes par ce trouble vivent très difficilement au quotidien. Elles peuvent avoir de sérieux problèmes d'addiction (alcool, drogue, sexe, problèmes financiers). Le diagnostic est long et tumultueux pour trouver un bon suivi psychiatrique. Il faut avoir à l'esprit que ce trouble ne se soigne pas totalement: il se stabilise avec les médicament et les rendez-vous psychiatriques (on ne voit pas son psy une fois tous les deux ans tout de même); Ce trouble n'est pas à prendre à la légère, ça influe totalement la personnalité du personnage et ses liens de son entourage.


TCA (Trouble de Comportement Alimentaire)
Descriptif : Trouble qui a des conséquence importante sur la santé physique et mentale. Boulimie: manger jusqu’à n’en plus pouvoir. A l’inverse, une personne atteinte d’anorexie se restreint de manger quitte à perdre du poids (la majorité des personnes ne deviennent pas squelettique. Sauf, cas extrêmes).

Comment contracte-t-on un TCA ? : La majorité des cas commencent à l’adolescence (entre 12 à 20 ans), ce sont les filles qui souffrent davantage que les garçons. Les causes sont peuvent être liés au contexte social, familial, scolaire, personnel, professionnel etc.

À savoir : L’anorexie entraîne la personne dans la dépression, la disparition des règles (aménorrhée ou cycle périodique), une hypotension artérielle. Il arrive dans certains cas de boulimies d’alterner entre plusieurs phases: l’anorexie et les crises de frénésie alimentaire pour ensuite compenser l’ingestion par des vomissements causées par la personne anorexique elle-même ou la prise des médicaments laxatifs ou diurétiques. Tandis que dans une boulimie extrême, la personne fait face à des problèmes de sur-poids morbide ou d’obésité (diabète, hypertension artérielle etc…) et aussi d'anxiété, en plus du stress et de la dépression. En général, les personnes souffrant de ces troubles arrivent à le camoufler.A prendre au sérieux. Cette maladie incontrôlable sans suivi peut mener la personne atteinte à la mort.


Pyromanie
Descriptif : C’est un trouble du contrôle des impulsions. Forme d’addiction, la pyromanie provoque chez le malade, une fascination et de la curiosité pour le feu. Généralement, le pyromane planifie son passage à l’acte. Après avoir résisté, il finit par céder en éprouvant de l’excitation et en rentrant dans un état second. A tel point, que parfois, il doute même d’avoir accompli sa pulsion. Il faut savoir que ce n’est pas un geste motivé par la haine ou par une envie de faire du mal.  Le pyromane ne ressent aucune culpabilité et aucune honte. Il ne sera même pas affecté s’il cause un décès. Il faut comprendre que les vrais cas de pyromanie sont extrêmement rares.

Cause : La pyromanie se manifeste souvent durant l’adolescence. Certains psychiatres pensent que ce comportement est dû à un déséquilibre de la personnalité. Les facteurs familiaux (ex : un parent absent) peuvent être responsables. Cependant, cela peut aussi être associé à une frustration sexuelle et à un besoin de dominer. Enfin, il apparaîtrait que dans 11% des cas, les pyromanes sont atteints de plusieurs troubles mentaux.

À savoir : La pyromanie n'est pas une maladie en soit, c'est un symptôme associé à d'autres.


Amnésie
Descriptif : L’amnésie ! Tout le monde connaît l’amnésie et a bien dû avoir au moins un personnage étant atteint de ce mal-être. C’est une perte partielle ou totale de la mémoire, qui peut être transitoire (temporaire) ou permanent (définitif).
Nous avons plusieurs types d’amnésie. L’amnésie rétrograde, qui est perte de mémoire des souvenirs antécédents et contrairement à ce qu’on peut voir dans les films et séries, l’amnésie rétrograde n’est jamais totale. L’amnésie antérograde  qui est une incapacité à se souvenir de ce qui lui est arrivé depuis le début de son amnésie. L’AMP (Amnésie de la Mémoire Procédurale) c’est l’oubli des habitudes et des réflexes acquis : conduire, couper une bûche. L’amnésie traumatique : la personne est incapable de se souvenir de l’événement traumatisant, c’est une sorte de protection que le cerveau fait.

Comment contracte-t-on l’amnésie ? : Il y a plusieurs facteurs qui causent une amnésie comme les traumatismes crâniens dus à un accident ou une agression, la consommation de drogue, les AVC (ou rupture d’anévrisme), les tumeurs cérébrales ou encore le plus commun: l’alcoolisation aka le back-out.

À savoir : Le traumatisme n’est pas le seul facteur qui peut causer la perte de mémoire. Aussi, l’amnésie totale est très rare.


Mégalomanie
Description : La mégalomanie est un trouble qui se manifeste de manière régulière chez une personne. Les caractéristiques de ce trouble sont une surestimation de soi, un délire de grandeur et de puissance, un désir immense de gloire et un orgueil démesuré. On parle souvent de « folie des grandeurs ». La mégalomanie rentre dans les psychoses « maniaco-dépressives » et est caractérisée par des troubles dans des comportements normaux ainsi qu’associée à des hallucinations ou délires. Le plus souvent ce trouble traduit un manque affectif.

Cause : Il est difficile de trouver les facteurs qui favorisent un accès de mégalomanie, mais  des facteurs comme un choc émotionnel, un conflit affectif, des affections somatiques ou un deuil peuvent être responsable. A noter que généralement la mégalomanie est un des signes d’autres pathologies psychiatriques tels que les troubles de la personnalité narcissique ou antisociale, la schizophrénie ou le trouble bipolaire.

À savoir : Il n’existe pas de traitement contre la mégalomanie, mais des moyens pour essayer de la minimiser. Pour cela, il faut combiner de la psychothérapie ainsi que des stabilisateurs d’humeur et des anti-psychotiques/anti-dépresseurs. Si la mégalomanie est excessive, une hospitalisation dans un établissement psychiatrique peut être possible.


Schizophrénie
Descriptif : La schizophrénie, un trouble mental sévère, chronique et très complexe appartenant à la classe des troubles psychotiques. Elle se manifeste par la désintégration de la personnalité et la perte du contact avec la réalité. Même si les traitements permettent aujourd'hui de mieux vivre avec le trouble, il fait encore l'objet de stigmatisation voire de discrimination.  Les symptômes principaux sont, les idées paranoïaques, les hallucinations, le comportement désorganisé, l'absence d'expressions ou d'émotions, des problèmes de concentration, des discours abrégés et dénués de détails, la difficulté de planifier en vue d'atteindre des objectifs, des problèmes de mémoire, de la confusion sur le plan de la réflexion et du discours, de la difficulté à tenir une conversation ainsi que des comportements insensés.

Comment contracte-t-on le trouble ? : Les premiers symptômes se déclarent chez les hommes entre 16 et 25 ans et chez les femmes entre 16 et 35 ans. La recherche n'a pas mis en évidence de cause unique. Il existe probablement un facteur génétiques.
Des facteurs environnementaux pourraient aussi avoir un rôle comme par exemple :


  •  des problèmes au cours du développement fœtal, comme la contamination par la grippe de la mère pendant la grossesse;
  • la consommation de substances psychotropes, comme le cannabis, de manière régulière avant 18 ans, les risques sont multipliés par deux;
  • chez les sujets vulnérables, la vie en milieu urbain ou la migration peuvent augmenter les risques.


Il existe des traitements ? : Un traitement précoce est crucial pour contrôler la schizophrénie. Les chances d'un rétablissement complet ou quasi complet sont ainsi accrues.  Des traitements efficaces sont désormais disponibles, qu'il s'agisse d'antipsychotiques, de psychothérapie, de formation axée sur les compétences, de soutien à la famille et d'éducation. Pour éviter les rechutes, il est important de suivre le traitement prescrit et de recevoir un soutien psychosocial adéquat.

À savoir : La schizophrénie est un trouble cérébral qui résulte d'un déséquilibre des systèmes chimiques du cerveau. La schizophrénie n'est pas synonyme d'un dédoublement de la personnalité. Les symptômes se développent généralement progressivement, bien qu'ils puissent apparaître soudainement. Les personnes touchées peuvent devenir déprimées ou être victimes de sautes d'humeur, comme c'est le cas pour les bipolaires. Elles présentent également un risque accru de suicide.


Cleptomanie
Descriptif : On associe cela à un trouble des impulsions. Le cleptomane ne vole pas s’enrichir ou pour utiliser un objet, mais à l’inverse, il agit pour soulager une impulsion. Aussi, avant de commettre l’acte, la personne va ressentir une sorte de tension ou de la nervosité. Pendant l’acte, elle va ressentir de l’euphorie, suivie par un apaisement. Un peu plus tard des signes de culpabilités peuvent apparaître. En clair, c’est une forme de dépendance. Difficile à vivre, ce trouble peut même provoquer une dépression.

Cause : Assez rare. Seul 0,5% de la population est concerné. Actuellement, les facteurs génétiques seraient responsables, mais pas seulement. En effet, les cleptomanes sont généralement des personnes avec un manque de confiance ; frustrés  ou ayant vécu un épisode psychologique marquant.

TROUBLE DE PERSONNALITÉ
Descriptif : Le trouble borderline, également appelé trouble de la personnalité limite, est un trouble psychiatrique complexe, dont les manifestations sont très variables d'une personne à une autre.
Hyperémotives, ces personnes sont souvent dans l'excès. Elles ont en général une très mauvaise image d'elles-mêmes. Souvent instables sur le plan relationnel, elles peuvent s'auto-mutiler. Les comportements à risque (alcool, drogues, jeux, alimentation...) sont fréquents pour les personnes souffrant d'un trouble de la personnalité limite ; les tentatives de suicide aussi.
Le trouble borderline est souvent associé à d'autres troubles de la personnalité ou à d'autres troubles mentaux comme le trouble anxieux, les troubles de l'alimentation, les troubles dépressifs ou le TDAH.

Comment contracte-t-on le trouble ? : Les causes sont multiples et pas toutes bien établies. Ce trouble serait en tout cas multifactoriel. Il existe par exemple des causes biologiques, chimiques (manque de sérotonine notamment) mais aussi génétiques. Des anomalies au niveau cérébral, notamment dans la zone de régulation des émotions, pourraient être responsables d'apparition de ce trouble de la personnalité limite.

À savoir : Généralement, les personnes touchées présentent une instabilité affective et émotionnelle importante. Elles rencontrent des difficultés à gérer leur émotions. Elles peuvent s'emporter facilement, de manière imprévisible, et avoir des comportements impulsifs. Les sautes d'humeur ou les sensations de vide sont fréquentes.
Il est difficile de partager le quotidien des personnes borderline. On peut avoir du mal à comprendre le comportement de la personne malade. Parfois, cette dernière réussit à cacher son trouble à son entourage. Malgré des symptômes difficiles, les personnes atteintes peuvent vivre normalement et travailler, avec un traitement et un suivi adaptés. Dans certains cas, une hospitalisation se révèle nécessaire.

TSPT
Descriptif : Le trouble de stress post-traumatique est un trouble anxieux sévère qui se manifeste suite à une expérience vécue traumatisante avec une confrontation à des idées de morts. Ce trouble survient après un épisode traumatique (viol, torture, accident grave etc). Les souvenirs du trauma reviennent sans cesse dans les pensées en flashback ou en rêve. Ce trouble est souvent associé à trois symptômes persistants : l’intrusion c’est-à-dire revivre le moment sans pouvoir empêcher ses souvenirs de refaire surface. L’évitement, le patient tente d’éviter les situations ou les facteurs déclencheurs qui pourraient lui faire revivre ce moment et l’hyper-stimulation c’est-à-dire la difficulté à se concentrer ou à mener ses activités à termes à cause d’une hyper-vigilance.

Cause : Les causes sont multiples et variés, mais elles sont souvent causés par l’expériences d’événements traumatisants. Le plus souvent, les personnes dites à risques sont les militaires, les victimes de catastrophes naturelles et les victimes de crimes violents  ( violences familiales, toxicomanie, traumatismes crâniens, le harcèlement, les agressions ou alors la prostitution.)

À savoir : Aucun réel traitement existe pour soigner ce trouble. Les traitements existants ont pour but de faire disparaître ou de minimiser les symptômes chez le patient. Il existe plusieurs traitements médicamenteux pour bloquer les effets des symptômes. A noté qu’aux Etats-Unis, il existe des moyens de préventions comme l’intervention d’institutions sociales appropriées qui accueillent en urgence les victimes d’événements traumatisants.

Viol / Agression sexuelle
Descriptif :  Il s'agit d'un acte de pénétration sexuelle non consenti, commis sur la personne d'autrui ou sur sa propre personne. La loi réprime le viol quel que soit le cadre où il a été accompli. Ainsi, un homme qui commet un acte de pénétration sexuelle sur la personne de son épouse, sans le consentement de celle-ci, peut être poursuivi et condamné pour viol. La loi considère la fellation forcée et la pénétration digitale comme un viol. (l'inverse est également valable du viol d'un homme par une femme)

Il y a tentative de viol lorsque, malgré sa détermination d'accomplir une pénétration, l'auteur n'y est pas parvenu, indépendamment de sa volonté.
Il est important de préciser si, au moment des faits, l'auteur manifeste sincèrement la volonté de laisser partir sa victime. Dans ce cas, il y aura agression sexuelle et non une tentative de viol. La sanction sera donc moins lourde.

Conséquences psychologiques :  Le viol engendre aussi pour ses victimes des troubles psychologiques et neurologiques graves, pouvant aller jusqu'à un état de sidération avec perte de mémoire. La personne se sent honteuse et elle culpabilise ce qui peut mener une inadaptation sociale et un mal-être dans les situations impliquant la séduction et la sexualité. Avec des périodes de souffrance intense lorsque les mécanismes d'évitement sont mis en défaut.
Ainsi, on peut observer une peur de l'intimité. Au niveau de la sexualité, les victimes de viols peuvent souffrir de vaginisme, de problèmes liés au désir, de dysfonctions sexuelles liées à l'excitation ou au plaisir. Des situations d'échecs répétées sont fréquentes.

Démarche à suivre : Vous portez plainte. Ou vous n'y allez pas.
Chaque victime le ressent différemment. Pour certain(e)s, c'est une étape importante de la reconstruction, pour d'autres non. Quoique vous choisissiez, rappelez-vous qu'il est dans votre droit de porter plainte, tout comme vous avez le droit de ne pas le faire si vous ne vous estimez pas capable d'y faire face.


Merci à Ana, Léa, Marine et Ange pour leurs recherches.



Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum